4. – Реестр книгам, расхищенным неприятелем во время вторжения в Москву 1812 года Из всеобщей истории in 4°. 15. Encyclopédie méthodique, à Paris. 68 томов. 26. Büschings Magazin 2-ter u. 3-ter Theil. Hamb. 1767. in 8°. 23. Tableau des revolutions de l´Europe par M-r Koch. 2 tomes, à Paris. 1790. 24. Letres historiques, critiques et politiques sur les évenemens qui se sont passes depuis 1778 jusqu´à present, a Londres. 1787. 14 tomes. 25. Unser Jahrhundert, oder Darstellung der interessantesten Merkwürdigkeiten und Begebenheiten, und der grössten Manner desselben. 3 Theile. Altona 1795. 25а. История XVIII столетия. Часть IV. Москва. 1806 27. Politique de tous les cabinets de l´Europe. 2 tomes, à Paris. 1794. 42.Schlötzers Staatsanzeigen 2-ter Theil. Gòttingen. 1782. 46. Mercure historiques et politique etc., 1693, tome XV. Из Российской истории 17. Указ о учреждении Воспитательного дома, in fol. 42b. Список 7-классным чиновникам 1811 и 1812 года, in fol. 56. Diarium itineris in Moscoviam. Viennae Aust., in fol. 54. Царственный летописец, в Спб. 1792. 4°. 132.Histoire de Pierre I, par M-r Mavillon, a Amst. 1742. 4°. 194. Описание всех в Российском государстве обитавших народов. Соч. проф. Георгия. 3 части, в Спб. 4°. in 8°. 10. Духовный регламент. 1721. 47. Общий тариф. 1796. 86. Повествователь древностей Российских. Изд Н. Новиковым. Ч. I. Спб. 1776. 87. Dissertations sur les antiguités de la Russie par Gatterie. St Pet. 1795. 91 Ядро Российской истории кн. Хилкова, в Москве, 1770. 92.Chilkows Kern Russischer Geschichte, Moskwa. 1786. 93. Новое ядро Российской истории. Соч. Нехачина. 2 части. Москва. 1795. 181. Жизнь Минина. Спб. 1799. 231. Деяния Петра I. Соч Ив. Голиковым. Ч. 1, 4 и 7. Москва. 1788. – Дополнение к Деяниям Петра I. Часть 1 и 15 239. Etat présent de la grande Russie par Perry 1717. 326Ь.Жизнь Екатерины II. Москва 1801. 326b. Lobrede auf Catharina II. Riga. 1802. 327. Potemkin – Halle. 1804. 328. Жизнь Павла I Москва. 1805. 333. Tagebuch eines französischen Offziers ets Amst 1776.

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L’Église orthodoxe russe a récemment fondé l’Exarchat patriarcal d’Afrique et travaille sur le continent africain à la pastorale des expatriés russes, ainsi qu’à celle des chrétiens orthodoxes locaux. La nécessité de développer notre présence en Afrique est apparue après le schisme survenu dans le monde orthodoxe. En même temps, la présence de l’Église orthodoxe russe sur le territoire de l’Afrique n’est pas une innovation sans précédent. Des paroisses russes ont commencé à être fondées sur le continent dès la fin du XIXe siècle et le début du XXe. Ainsi, des églises ont été bâties en Abyssinie en 1889 et en 1896. L’Église orthodoxe russe dispose en permanence d’une paroisse en Égypte depuis 1914. Après la révolution, et avec l’afflux de réfugiés russes, de nombreuses paroisses ont ouvert sur le continent africain : une église a été consacrée à Tunis en 1920, en 1922 une paroisse a été fondée à Alger ; en 1927, des paroisses orthodoxes russes ont ouvert au Maroc. En 1998, j’ai moi-même consacré la première église russe d’Afrique du Sud. En tant que président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, puis en tant que patriarche, j’ai visité 18 pays du continent africain entre 1971 et 2016 : au Nord, au Sud, à l’Est, à l’Ouest, et dans le centre. Je considère comme particulièrement marquante ma rencontre avec M. Nelson Mandela, chez lui à Soweto, début novembre 1990. Cette même année, le 11 février, il avait été libéré de prison, et je crois avoir été le premier étranger qu’il ait reçu. M. Mandela m’a demandé de transmettre aux autorités de l’Union soviétique sa gratitude pour son aide décisive dans le soutien et la livraison du nécessaire pour la lutte contre le régime d’apartheid. Comme on sait, il est devenu président de l’Afrique du Sud en 1994. A présent, permettez-moi de revenir à l’actualité. A mon grand regret, en 2019, le patriarche Théodore, primat de l’Église grecque d’Alexandrie, a décidé sous la force de pressions extérieures de reconnaître une organisation schismatique en Ukraine, contrevenant par-là gravement aux canons ecclésiastiques. Ces tristes circonstances, je le répète, ont incité l’Église orthodoxe russe à fonder en décembre 2021 l’Exarchat patriarcal d’Afrique, dont la mission est de prendre soin aussi bien des expatriés russes sur le continent que des chrétiens d’Afrique désireux de découvrir l’antique tradition orthodoxe préservée par l’Église russe.

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Car la personne humaine était appelée, selon saint Maxime, «à réunir par l’amour la nature créée avec la nature incréée en les faisant apparaître dans l’unité et l’identité par l’acquisition de la grâce 203 ». L’unité et l’identité se rapportent ici à la personne, à l’hypostase humaine. L’homme devait donc réunir par la grâce deux natures dans son hypostase créée, devenir «un dieu créé», un «dieu par la grâce», à l’encontre du Christ, personne divine ayant assumé la nature humaine. Le concours des deux volontés est nécessaire pour parvenir à cette fin: d’une part, la volonté divine déifiante conférant la grâce par le Saint-Esprit présent dans la personne humaine d’autre part, la volonté humaine qui se soumet à la volonté de Dieu en recevant la grâce, en l’acquérant, en la laissant pénétrer entièrement la nature. La volonté étant une force agissante de la nature raisonnable, elle agira par la grâce dans la mesure où la nature participera à la grâce, où elle deviendra ressemblance par «le feu du changement 204 ». Les Pères grecs représentent la nature humaine tantôt comme un composé tripartite – esprit, âme, corps (νος, ψυχ, σμα), tantôt comme l’union de l’âme et du corps. La différence entre les partisans du trichotomisme et du dichotomisme se réduit, en somme, à une question de terminologie: les dichotomistes voient dans le νος la faculté supérieure de l’âme raisonnable, faculté par laquelle l’homme entre en communion avec Dieu. La personne ou hypostase humaine embrasse les parties de ce composé naturel, s’exprime dans l’ensemble de l’être humain qui existe en elle et par elle. Image de Dieu, elle est le principe stable de la nature, dynamique et changeante, toujours tendue par la volonté vers un but extérieur. On peut dire que l’image est un sceau divin qui marque la nature en la mettant dans un rapport personnel avec Dieu, rapport absolument unique pour chaque être. Ce rapport s’effectuera, se réalisera par la volonté qui ordonne l’ensemble de la nature vers Dieu, dans lequel l’homme doit trouver la plénitude de son être.

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Ces tentatives ont suscité une grande inquiétude dans notre Église. Le 22 octobre 1991, le Saint-Synode a exprimé sa conviction que la modification des frontières de l’état, à la suite de l’effondrement de l’Union soviétique, ne devait pas entraîner de changements dans la composition de l’Église, ni l’autocéphalisation de certaines de ses parties. « Les évènements actuels, est-il dit dans cette déclaration, rappelent dans une certaine mesure ce qui suivit les évènements de 1917. A l’époque, la chute de l’Empire russe et la formation d’états ayant déclaré leur indépendance sur son territoire, avaient donné prétexte à des désordres à l’intérieur de l’Église... On entend aujourd’hui s’élever la voix de gens étrangers à l’Église, tout prêts à voir dans le fait même de l’existence du Patriarcat de Moscou une « dernière structure impériale », et encourageant par tous les moyens les dispositions séparatistes, afin de susciter un schisme préjudiciable dans le milieu ecclésiastique... Suivant la pratique canonique en vigueur dans l’Orthodoxie, l’autonomie et l’indépendance administrative sont admises à l’intérieur des Patriarcats dans les diocèses et leurs associations. Le Patriarcat n’entrave pas l’autonomie des structures ecclésiales qui le composent, mais il assure leur unité et leur communication. Les frontières du Patriarcat ne correspondent pas forcément aux frontières de l’état... Le Patriarcat n’est pas un concept politique, ni national, ni même géographique. Le Patriarcat est une réalité de droit canon ecclésiastique, établie pour maintenir l’unité et la collégialité des structures ecclésiales qui le composent . » En Ukraine, les processus politiques conséquents à la formation d’un état indépendant ont été une grande épreuve pour l’unité de l’Église orthodoxe russe. Les dirigeants de ce pays ont provoqué et soutenu un schisme dans l’Orthodoxie ukrainienne, qui reste jusqu’à présent une plaie béante sur le corps de notre Église. Les représentants de la vieille élite soviémiqueь qui se retrouvèrent du jour au lendemain à la tête d’un nouvel état et cherchèrent à conserver leur pouvoir, avaient cruellement besoin d’un soutien sur lequel ils auraient pu s’appuyer.

http://new.mospat.ru/fr/news/46324/

Puisque les actions illégales de Constantinople se poursuivent et que les idées qui altèrent la doctrine orthodoxe sur l’Église continuent à se développer, nous considérons qu’il est de notre devoir de rappeler à nos fidèles les principes fondamentaux sur lesquels l’ecclésiologie orthodoxe a été construite pendant des siècles et de témoigner à tout le Plérôme orthodoxe de notre fidélité à ces principes immuables. C’est précisément la violation de ces principes par le patriarche Bartholomée de Constantinople qui est devenue la cause du schisme dans l’Orthodoxie mondiale. 1. Les revendications du patriarche de Constantinople à la primauté de pouvoir sur l’Église universelle L’Église a été établie sur terre par le Seigneur Jésus-Christ Lui-même. C’est l’assemblée des croyants en Christ, dans laquelle Il appelle Lui-même chacun à entrer. L’Église n’est pas une communauté humaine ordinaire, le Saint-Esprit y est présent et agit. L’Église est un organisme divino-humain, le Corps mystique du Christ, comme le dit l’apôtre Paul : « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis dans le Christ par toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes…, qui a mis toutes choses sous ses pieds, et qui l’a placé au-dessus de toutes choses, comme chef de l’Église, qui est son Corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous » (Eph. I,3, 22-23). L’image du corps renvoie à l’unité de tous les membres de l’Église sous une seule Tête, le Seigneur Jésus-Christ (cf. Col. 1,18). Le but de l’Église est le salut des hommes et du monde entier. Le salut ne peut être trouvé que dans l’Église du Christ. Selon les mots du saint hiéromartyr Cyprien de Carthage, « on ne peut plus avoir Dieu pour Père si l’on n’a pas l’Église pour mère »  . Le Credo indique quatre propriétés essentielles de l’Église : l’unicité, la sainteté, la catholicité et l’apostolicité. L’Église est une parce que Dieu est un. L’Église est une et unique parce qu’elle unit les croyants par l’unité de la foi, le Baptême, le don de l’Esprit Saint et la communion eucharistique avec le Seigneur Jésus-Christ. L’Église est indivisible : « Là où est le Christ, là est l’Église »  , « Là où est l’Esprit Saint, là est l’Église » [iv] .

http://mospat.ru/fr/news/90540/

Здесь же коротали век свои в уединении, молитвах и трудах некоторые Царевны Русские. Выше заметили мы, что сюда не редко заключаемы были особы женского пола за преступления, или по какому либо подозрению. Монастырь сей посещали Цари в Сыропустную и Светлую недели для поклонения праху опочивших предков и родственников своих, и на память их слушали панихиды. В праздники здесь служивали обедни Патриархи, а в 1667 году три Патриарха Антиохийский, Александрийский и Московский здесь совершали Божественную литургию и пели панихиду над Царицыными гробами. Великия Князья и Цари издревле жаловали в обитель Вознесенскую на поминовение предков своих вотчины и другие вклады. 802 Так еще 1453 года Великая Княгиня Софья Витовтовна отказала в нее село Доренское и двор свой внутри города; Иоанн III, в 1472 году село Петровское с половинным серебром; Князь Михаил Верейский в 1486 году село Вахрутинское и 50 руб. На поминовение Царевны Феодосии Борис Годунов в 1592 году пожаловал село Чертень в Мосальском уезде. 803 В сей обители монахини и белицы издревле занимались разными рукодельями: вышивали шелком и золотом, обнизывали образа, митры и облачение жемчугом и дорогими каменьями. К Вербному Воскресенью оне доныне приготовляют нарядную вербу. Пред монастырем на площади тогда бывает народное гулянье. По древнему уставу, во всю первую неделю Великого поста ворота запираются. 765 Карамз. И. Г. Р. V, пр. 137. «Умер Симеов Яма в Москве и погребен в монастыре Вознесения». 773 Nouveaux mémoires sur Pelai présent de la grande Russie ou Moscovie (sine loco et anno), in 12. 783 К сожалению, не имев случая сам обозреть ризницу Вознесенского м. я должен заимствовать некоторые сведения об ней из книги: Москва, или исторический путеводитель по знаменитой столице государства Российскаго, М. 1827, ч. 785 Древней Росс. Вивлиоф. ч. XI, стр. 256: о погребенных в Моск. Вознесенском м. Государынях, Царицах, Великих Княгинях, Царевнах и других высоких Царского рода женских лиц. 786 Слово Римлянка не уместно; ибо София по роду, языку и по вере была Гречанка; из того же не следует назвать ее Римлянкою, что она 17 девических лет провела в Риме.

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Sur la base de ce qui précède, et pour d’autres raisons encore, dont l’expérience récente de division au sein de l’Églsie orthodoxe bulgare, la résolution de cette question douloureuse grâce au saint Concile panorthodoxe supra-juridictionnel élargi, convoqué à Sofia en 1998, nous exprimons la conviction qu’une solution faisant autorité dans le conflit en Ukraine, dans la situation actuelle, n’est possible que par la discussion panorthodoxe et la convocation d’une Concile panorthodoxe. Il y a quelques jours, le Patriarcat d’Antioche a également proposé de convoquer une rencontre des primats des Églises locales. Au cours de ce Concile panorthodoxe, nous devrions, avant tout, nous en tenir aux canons et à l’unité de l’Orthodoxie, parce que, comme le disait le métropolite Nathanaël, de bienheureuse mémoire, s’adressant au patriarche Bartholomée de Constantinople dans son allocution au Concile de 1998, « nous sommes rassemblés pour guérir le schisme, mais le résultat de ce Concile panorthodoxe ne doit surtout pas être un nouveau schisme » (Actes du Concile de Sofia, 1998). Nous estimons important de citer la réponse de Sa Toute-Sainteté le patriarche Bartholomée de Constantinople, très respecté de nous : « Nous remercions le métropolite de Nevrokopi... Concernant certains passages de son discours, nous ne croyons pas que notre saint frère estime que nous souhaitons collaborer avec l’état au détriment de l’Église canonique du pays. Quant à ce que disent les schismatiques, selon lesquels nous reculerons, et que chaque Église les reconnaîtra tels qu’ils se présentent eux-mêmes, nous disons que le schisme qui sera formé après le 20 octobre est ridicule, et que personne ne sera obligé de reconnaître une fausse église. L’église de Skopje (Macédoine) lutte depuis des années pour être reçue, pour être reconnue des autres Églises, mais, comme elle s’est formée et s’est organisée dans les conditions que nous connaissons, personne ne la reconnaît jusqu’à présent, et nous ne pensons pas que cela aura lieu à l’avenir. Personne ne peut faire pression sur une Église orthodoxe dans ce sens. »

http://mospat.ru/fr/news/47078/

Paradoxe ! On ignore la volonté des orthodoxes ukrainiens, affirmée durant près de trois décennies, de rester fidèles à l’Église canonique face au schisme, soutenu alors et depuis par les autorités ukrainiennes, tandis que ceux qui s’entêtent dans le schisme sont récompensés en étant reconnus par le Patriarcat de Constantinople, et en recevant la promesse du statut d’autocéphalie pour la nouvelle structure qui sera créée avec leur participation. En même temps, malgré les promesses du pouvoir de ne forcer personne à intégrer cette structure, des projets de lois attendent leur examen à la Rada suprême visant pratiquement à légaliser les raids contre les églises, et prévoyant de priver l’Église canonique de sa dénomination historique, ainsi que d’autres mesures discriminatoires. Par ailleurs, le chef du « patriarcat de Kiev » schismatique déclare ouvertement que les antiques sanctuaires orthodoxes – la laure des Grottes de Kiev et la laure de Potchaïev – doivent être transférées à la nouvelle structure. Les noms de ces deux sanctuaires ont déjà été inclus à sa titulature « patriarcale ». Les tentatives généralisées d’expropriation des églises, de transfert des grands sanctuaires aux schismatiques susciteront le mécontentement de multiples fidèles. Dès à présent, malgré la base législative actuelle, des bâtiments cultuels sont expropriés avec le soutien d’extrémistes. Qu’en sera-t-il lorsque ces « raids » deviendront généraux ? Indubitablement, « la création d’une église ukrainienne autocéphalie unifiée » n’est pas un projet ecclésiastique, mais un projet politique. C’est pourquoi les mesures conduisant à sa réalisation sont prises dans un contexte politique, au mépris de l’avis de la plupart des orthodoxes du pays, de l’Église orthodoxe ukrainienne canonique. On ne peut pas ne pas remarquer que le principal moteur de la réalisation du projet « d’autocéphalie » est le président Petro Porochenko, qui en fait la promotion à la veille du début de la campagne électorale, puisque les élections doivent avoir lieu l’an prochain.

http://mospat.ru/fr/news/46983/

Nous avons examiné successivement les éléments fondamentaux de la théologie orthodoxe, sans jamais perdre de vue le but final, celui de l’union avec Dieu. Orientée vers cette fin, toujours sotériologique dans son intention, cette tradition doctrinale nous est apparue comme très homogène, malgré la richesse de ses expériences, malgré la diversité des cultures et des époques qu’elle embrasse. C’est une seule famille spirituelle où l’on reconnaît facilement la parenté, bien que ses membres soient éloignés les uns des autres dans le temps et dans l’espace. Pour témoigner de la même spiritualité, nous avons pu nous référer, au cours de ces études, à Denys l’Aréopagite et à Grégoire Palamas, à Macaire d’Égypte et à Séraphin de Sarov, à Grégoire de Nysse et à Philarète de Moscou, à Maxime le Confesseur et aux théologiens russes modernes, sans avoir eu l’impression de changer de climat spirituel en passant d’une époque à une autre. C’est que l’Église où les personnes humaines réalisent leur vocation, où s’accomplit leur union avec Dieu, est toujours la même, bien que son «économie» à l’égard du monde extérieur doive changer selon les époques et les milieux différents dans lesquels l’Église accomplit sa mission. Les Pères et les Docteurs qui ont dû défendre et formuler, au cours de son histoire, les dogmes différents, n’en appartiennent pas moins à une seule tradition ils sont les témoins d’une même expérience. Cette tradition demeure commune à l’Orient et à l’Occident, tant que l’Église rend son témoignage éclatant aux vérités qui se rattachent à l’Incarnation. Mais les dogmes plus intérieurs pour ainsi dire, plus mystérieux, ceux qui ont trait à la Pentecôte, les enseignements sur le Saint-Esprit, sur la grâce, sur l’Église, ne sont plus communs à l’Église de Rome et aux Églises d’Orient. Deux traditions séparées s’opposent l’une à l’autre. Même ce qui leur a été commun jusqu’à un certain moment reçoit rétrospectivement un accent différent, apparaît à présent sous un autre jour, comme des réalités spirituelles appartenant à deux expériences distinctes. Dorénavant, saint Basile ou saint Augustin seront différemment interprétés, selon qu’on les considère dans la tradition catholique romaine ou orthodoxe. C’est inévitable, car on ne peut admettre l’autorité d’un auteur ecclésiastique, si ce n’est dans l’esprit de la tradition dont on se réclame. Dans notre exposé, nous avons essayé de mettre en relief les caractères propres à la tradition de l’Église orthodoxe, en nous basant exclusivement sur les témoignages des Pères orientaux, afin d’éviter toute confusion ou malentendu possibles.

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Соч.: Il Reversurus ovvero la Turchia ed il papato. R., 1872; Les droits civils et la liberté religieuse des catholiques d " Orient. R., 1872; Le Vatican et les Arméniens. R., 1873; Дух армян. К-поль, 1879. Антилиас, 1955 (на арм. яз.); Единство армян. К-поль, 1879. Париж, 1958 (на арм. яз.); Армянская молодежь. К-поль, 1880 (на арм. яз.); Армянская нация. К-поль, 1880 (на арм. яз.); Престол Армянский. Вагаршапат, 1886 (на арм. яз.); Энциклика о браке. К-поль, 1901 (на арм. яз.); Церемониальный словарь//Подробный календарь армянской больницы Св. Спасителя. К-поль, 1905. С. 319-377; 1906. С. 81-204; 1907. С. 213-254; 1908. С. 73-104. Антилиас, 1957, 1979. Ер., 1992 (на арм. яз.) (англ. пер.: A Dictionary of the Armenian Church/Transl. B. Norehad. N. Y., 1984); Воспоминания о двенадцатилетнем Патриаршестве. К-поль, 1910 (на арм. яз.); Амапатум=Синопсис. К-поль, 1911. Антилиас, 1953, 1983. Эчмиадзин, 1997. Тегеран, 2002 (на арм. яз.); L " église arménienne: Son histoire, sa doctrine, son régime, sa discipline, sa liturgie, sa littérature, son présent. P., 1910. Antélias, 1954 (арм. пер.: Армянская Церковь/Пер. с франц.: М. Орманян. К-поль, 1911, 1912, 1913. Буэнос-Айрес, 1949. Антилиас, 1952. Бейрут, 1960, 2009. Ер., 1993, 2016; рус. пер.: Армянская Церковь: Ее история, учение, управление, внутренний строй, литургия, лит-ра, ее настоящее/Пер. с франц.: Б. Рунт. М., 1913. Ер., 2005, 2006, 2012, 2015, 2016); Азгапатум=История нации. К-поль, 1912-1914. Т. 1-2. Иерус., 1927. Т. 3. Бейрут, 1959-1961. Антилиас, 2001. Эчмиадзин, 2001. Т. 1-3; 2002. Т. 4: Указ. (на арм. яз.); Книга наблюдений: Исслед. и освещение нового устава, сост. для Иерусалима. Иерус., 1915 (на арм. яз.); Катастрофа турецких армян: Ист. док-ты/Новые примеч. и прил.: Г. Ачемян. Эчмиадзин, 1919 (на арм. яз.); Раздумья и заветы. Иерус., 1929, 1990 (на арм. яз.); Армянский Иерусалим. Иерус., 1931 (на арм. яз.); Чистая вера Армянской Церкви: Две энциклики. Антилиас, 1956 (на арм. яз.); Поминовения [святых на утренней службе] в церквах Иерусалима/Изд.: архиеп. А. Асланян. Иерус., 1965, 2007 (на арм. яз.); Практическая литургика Святой Армянской Церкви/Изд.: архиеп. А. Асланян. Иерус., 1977 (на арм. яз.); Основы богословия. Иерус., 1985 (на арм. яз.); Сведения об Общенародном церк. избирательном соборе для выбора патриарха всех армян (1892)/Ред.: архиеп. М. Мутафян. Стамбул, 1995 (на арм. яз.); Блудный сын. Стамбул, 2012. (Армаш; 2) (на арм. яз.).

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