Pendant des siècles, les deux Églises ont toujours été ensemble et le restent, se soutenant l’une l’autre comme les membres d’une famille se soutiennent l’un l’autre. Aujourd’hui, elles partagent la même vision de la vie ecclésiale. Mais les gens d’aujourd " hui sont surtout inquiets de nombreux problèmes séculiers, notamment politiques et autres. Les médias donnent de nombreux exemples en contradiction avec la compréhension biblique de la famille, des rapports humains. Des notions fondamentales sont corrompues : la vertu est condamnée, l’homme bon est appelé méchant, ce qui est vrai est considéré comme mauvais, tandis que le mal est souvent approuvé, le blanc appelé noir et le noir – blanc. Cependant, la voix de l’Évangile se fera toujours entendre. Et les orthodoxes, notamment l’Église orthodoxe russe et l’Église orthodoxe d’Antioche, annonce au monde l’Évangile du Christ. « Nous savons et nous sentons la situation actuelle en Russie, nous voyons ce qui arrive aux croyants en Ukraine. Nous sentons votre douleur et prions invariablement avec vous », a souligné le primat de l’Église orthodoxe d’Antioche. Selon Sa Béatitude, la visite de la délégation du Patriarcat de Moscou est « un témoignage de l’amour du patriarche Cyrille et de toute l’Église orthodoxe russe pour l’Église orthodoxe d’Antioche aujourd’hui éprouvée. » « Nous vous aimons beaucoup, nous sommes toujours avec vous, nous sommes une famille et une Église », a remarqué le patriarche Jean. Répondant aux salutations du patriarche, le métropolite Antoine de Volokolamsk lui a exprimé sa gratitude pour ses bonnes paroles et sa bénédiction à rendre visite à l’antique Patriarcat d’Antioche, l’Église où les disciples du Christ ont été appelés chrétiens pour la première fois. Mgr Antoine a transmis les salutations fraternelles du patriarche Cyrille au patriarche Jean, ainsi que ses bons souhaits et l’assurance de son soutien indéfectible. Le président du DREE a remercié le patriarche Jean de ce qu’il fait pour préserver l’unité du monde orthodoxe, malheureusement confronté aujourd’hui, à certaines menaces : « Les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe écoutent avec une grande attention vos paroles fortes et sages de soutien à l’unité ecclésiale, de soutien aux fidèles enfants de notre Église qui, comme vous l’avez mentionné, sont soumis actuellement à de violentes persécutions.

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Car l’Église n’est pas seulement la nature une dans l’hypostase du Christ, elle est aussi les hypostases multiples dans la grâce du Saint-Esprit. Il ne convient pas de rechercher ce qui est personnel, car la perfection de la personne se réalise dans l’abandon total, dans le renoncement à soi-même. Toute personne qui cherche à s’affirmer n’aboutit qu’au morcellement de la nature, à l’être particulier, individuel, accomplissant une œuvre contraire à celle du Christ. «Qui n’amasse pas avec Moi, dissipe ( Mt 12, 30 ).» Or, il faut dissiper avec le Christ, abandonner sa nature propre qui est, en réalité, la nature commune, pour amasser, pour acquérir la grâce qui doit être appropriée à chaque personne, devenir sienne. «Si vous n’avez pas été fidèles dans ce qui est à autrui, qui vous donnera ce qui est à vous ? (Le 16, 12)» Notre nature est à autrui – le Christ l’a acquise par son sang très précieux la grâce incréée est à nous – elle nous est accordée par le Saint-Esprit. C’est le mystère insondable de l’Église, œuvre du Christ et du Saint-Esprit, une dans le Christ, multiple par l’Esprit une seule nature humaine dans l’hypostase du Christ, plusieurs hypostases humaines dans la grâce du Saint-Esprit. Pourtant, Église une – parce qu’un seul corps, une seule nature unie à Dieu dans la personne du Christ, car notre union personnelle, l’union parfaite à Dieu dans nos personnes, ne s’accomplira que dans le siècle futur. Les unions sacramentelles que nous propose l’Église – et même la plus parfaite de toutes, l’union eucharistique – se rapportent à notre nature, en tant qu’elle est reçue dans la personne du Christ. Par rapport à nos personnes, les sacrements sont des moyens, des données qui doivent être réalisées, acquises, devenir pleinement nôtres au cours des luttes constantes, où notre volonté se conformera à la volonté de Dieu dans l’Esprit-Saint présent en nous. Prodigués à notre nature, les sacrements ecclésiastiques nous rendent aptes à la vie spirituelle dans laquelle s’accomplit l’union de nos personnes avec Dieu. Notre nature reçoit dans l’Église toutes les conditions objectives de cette union. Les conditions subjectives ne dépendent que de nous.

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Voyez quelle magnifique liturgie nous avons célébré avec le père Philippe (l’archimandrite Philippe Vassilitsev, recteur de la Représentation de l’Église orthodoxe russe à Beyrouth) pour l’Annonciation ; tous étaient présents à cette fête de l’Église russe. Quand nous sommes à Moscou, nous ajoutons un peu de la beauté spirituelle de l’Orient. -          Nous vivons des temps difficiles ; à cause du coronavirus, beaucoup de choses ont changé dans le quotidien de l’Église. Quelle est la position de l’Église orthodoxe d’Antioche sur ce défi véritablement planétaire ? -        C’est, effectivement, un défi. Quelque chose de semblable s’est produit à Constantinople au V e et au VII e siècles. Et il n’y a pas si longtemps, dans différents pays, des maladies ont coûté la vie à des millions de personnes. Mais la pandémie de coronavirus qui se poursuit actuellement est un défi immense pour nous. Il faut prier et remercier Dieu de ce qu’Il nous envoie. C’est l’occasion de réfléchir : ne manque-t-il pas quelque chose à notre vie ? Faut-il revenir à la vérité ? Nous prions, naturellement. Notre patriarche nous a appelés à réciter une prière spéciale. L’Église orthodoxe d’Antioche partage la douleur de son peuple, des peuples du monde. Vous savez qu’à cause de cette maladie nous avons perdu des évêques, des archimandrites, des prêtres. L’Église russe en a perdu aussi. Nous prions le Seigneur de faire reposer leurs âmes avec les esprits des justes. L’essentiel est de comprendre qu’il n’y a pas de contradiction entre le respect des prescriptions sanitaires et notre spiritualité. Aucune contradiction. Il faut respecter ce qui est prescrit par l " État, et s’abstenir d’écouter ce que disent certaines personnes ayant tendance au fanatisme. Le Seigneur sauve. En même temps, si je ne sais pas nager et que je me jette à la mer en disant : « le Seigneur sauve », ça ne va pas. Il faut avoir une notion juste de la spiritualité. -        Vous êtes recteur du métochion antiochien et représentant de l’Église orthodoxe antiochienne auprès du patriarche de Moscou et de toute la Russie depuis 1978. On peut dire que vous êtes le doyen des représentants des Églises orthodoxes auprès du siège patriarcal moscovite. Parlez-nous des activités de votre Représentation. Quels sont vos souvenirs les plus forts de votre ministère en Russie ?

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Message de Noël du patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies Message de Noël du patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies aux archipasteurs, pasteurs, diacres, moines et moniales, et à tous les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe Bien-aimés dans le Seigneur archipasteurs, honorables prêtres et diacres, moines et moniales aimant Dieu, chers frères et sœurs ! L’amour ineffable de Dieu nous a rassemblés aujourd’hui, pour célébrer dans l’unité de l’esprit par le lien de la paix (Eph 4,3) l’une des plus grandes solennités et, en même temps, l’une des plus mystérieuses fêtes de l’Église : la Nativité de notre Seigneur Jésus Christ. Glorifiant la venue au monde du Sauveur, je vous félicite tous, très chers, à l’occasion de cet heureux événement qui ouvre une ère nouvelle dans les rapports entre Dieu et les hommes. Chaque fois que nous réfléchissons à ce qui s’est passé il y a 2 000 ans, nous essayons de saisir la grandeur du miracle de l’incarnation divine et ne cessons de nous étonner de la bonté et de la miséricorde de notre Créateur. Durant de longs siècles, l’humanité a langui dans l’attente anxieuse du Pacificateur (Gn 49,10) promis par le Seigneur : Le roi juste et victorieux (Zach 9,9), en qui espèrent les peuples (cf Is 42,4). Et lorsqu’est venue enfin la plénitude des temps, un enfant nous est né (Is 9,5), afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle (Jn 3,16). L’amour de Dieu, qui surpasse l’entendement (Eph 3,19), n " a envoyé dans le monde ni un ambassadeur, ni un ange, ni un dirigeant fort et puissant, comme le pensait les hommes : Dieu Lui-même s’est incarné pour libérer l’homme du pouvoir du péché et du mal. Oui, cela est digne d’étonnement que le plus grand événement de l’histoire, annoncé par les prophètes de l’Ancien Testament et pressenti même par les plus éminents des penseurs de l’Antiquité, se soit accompli de façon si discrète et si effacée. Bethléem était endormie. Jérusalem dormait. Toute la Judée reposait. Le Seigneur Tout-Puissant, le Roi des rois et le Seigneur de l’univers n’est pas venu au monde aux sons solennels de la trompe (Ps 150,3) et devant une foule en liesse, mais humblement et modestement, dans le silence nocturne d’une pauvre grotte, magnifié par les anges et quelques bergers venus voir ce qui était arrivé (Lc 2,15).

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En un an et demi, l’Exarchat patriarcal d’Afrique a ouvert plus de 200 (deux cents) paroisses dans 25 (vingt-cinq) pays africains. En dehors du développement de la vie liturgique, il a été possible de commencer à mettre en place un certain nombre de projets humanitaires et éducatifs, notamment la traduction de livres dans les langues locales. La fondation et le travail de l’Exarchat ont suscité un vif intérêt pour l’Église orthodoxe russe chez les Africains. Beaucoup apprécient que notre Église se fasse la gardienne vigilante de la tradition apostolique aussi bien en matière de doctrine et de sacrements que sur le plan de l’expérience spirituelle ; que nous soyons une Église qui n’altère pas les normes de la morale que Dieu nous a donnée pour satisfaire aux tendances de la mode idéologique. En développant notre activité pastorale, nous aspirons à apporter notre contribution au renforcement des relations entre la Russie et l’Afrique, à l’amélioration de la qualité de vie des populations. Là où sont fondées nos paroisses, sont aussi fondées des écoles, forés des puits, construits des stations électriques, des hôpitaux et des centres culturels. Nous avons l’intention d’interagir également de façon constructive avec les autres organisations religieuses d’Afrique. Nos paroisses sont enregistrées en pleine conformité avec la législation des pays où elles sont fondées. Je tiens à remercier particulièrement les chefs d’État de ces pays. Le Patriarcat de Moscou est ouvert à toute initiative pouvant servir le bien des populations, l’établissement de la paix et l’aide aux personnes en détresse. M’adressant affectueusement aux habitants du continent africain, j’invoque sur vous la bénédiction divine. Que le Seigneur envoie aux peuples de vos pays la paix et la prospérité, et qu’Il accorde aux dirigeants la sagesse, la patience et la force ! J’espère que le présent forum servira au développement ultérieur de la coopération entre nos peuples dans tous les domaines. Je vous remercie de votre attention et vous souhaite un travail fructueux.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Théodose de Tcherkassk et de Kanev : « La communauté internationale commence à prendre la défense de notre Église » Pour rappel, le 19 décembre 2023, un groupe de hiérarques et d’ecclésiastiques de différentes Églises orthodoxes locales, de même que de plusieurs représentants d’organisations de défense des droits de l’homme ayant le statut consultatif à l’ONU, a signé une convention pour la création d’une association de défense des droits de l’homme, « L’Église contre la xénophobie et la discrimination religieuse ». L’annonce de cet événement marquant pour l’agenda mondial religieux et humaniste a été faite par le club suisse de la presse. Le correspondant du portail « Pravoslavnaïa jizn’ » (Vie orthodoxe) s’est entretenu avec l’initiateur et co-président de cette association, le métropolite Théodose (Snegirev)de Tcherkassk et de Kanev. – Monseigneur, avec d " autres hiérarques des Églises orthodoxes locales, vous êtes à l’origine de la création de l’association « L’Église contre la xénophobie et la discrimination religieuse ». Cette association a été fondée dans l " objectif de défendre les droits des fidèles orthodoxes en Ukraine. Mais les fidèles ne sont pas confrontés à des difficultés qu’en Ukraine. Quelles seront les activités de cette nouvelle structure de défense des droits de l’homme ? Quel est son objectif principal ? – Le besoin d’une défense juridique des intérêts des orthodoxes au niveau international se fait sentir depuis longtemps, car il existe dans le monde des structures qui font depuis des décennies la promotion d’un agenda anti-chrétien. Il s’agit notamment du « droit à l’avortement », des « droits des communautés LGBT », du « droit à l’euthanasie », etc. En réalité, ces mouvements ne défendent pas les droits des défenseurs de ces idées, mais imposent agressivement cet agenda à tous. Sous prétexte de « défense des droits » de ces communautés, nous sommes confrontés à une guerre déclarée contre les valeurs chrétiennes et, plus généralement, contre les valeurs traditionnelles qui sont celles de personnes saines. Dans certains pays, cette agression conduit à introduire différents interdits et à restreindre la liberté d’expression des sentiments religieux et de la profession de foi des chrétiens. Cela se produit sous nos yeux ces dernières décennies. Et plus l’on va, plus cette tendance prend des formes violentes et irréconciliables.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : créer des conditions favorables pour les immigrés, une tâche commune à l’Église et à l’État Le 8 février 2015, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, animateur de l’émission « Tserkov’ i mir » (L’Église et le monde) sur la chaîne de télévision « Rossia-24 » accueillait Tatiana A. Bajan, chef de la Direction pour l’aide à l’intégration du Service fédéral des migrations. Le métropolite Hilarion : Frères et sœurs, bonjour. Vous regardez l’émission « L’Église et le monde ». Nous parlerons aujourd’hui de la coopération entre l’Église et l’état dans l’accueil des immigrés. Je reçois aujourd’hui le chef de la Direction pour l’aide à l’intégration, du Service fédéral des migrations, Tatiana Alexeevna Bajan. Tatiana Alexeevna, bonjour. T. Bajan : Bonjour, Monseigneur. La question du travail avec les immigrés, la question de la coopération de l’Église et de l’état sont d’une grande actualité aujourd’hui. Ces dernières années, la Russie a attiré les populations de nombreux pays. Un grand nombre d’immigrés vivent sur notre territoire. Il y a quelques années (en 2010), le Service fédéral des migrations s’est rendu compte qu’il ne suffisait pas de fournir des papiers en règle aux immigrés ou de prendre des mesures répressives, comme interdire de séjour, déporter, imposer des amendes, etc. L’aspect humanitaire est très important dans le domaine de l’adaptation et de l’intégration. Lorsque des groupes importants de populations porteuses d’autres langues et d’autres cultures se retrouvent sur le territoire d’un pays, il importe que ces gens puissent s’intégrer organiquement à son espace spirituel, culturel et social. Pour cela, il faut beaucoup travailler. Et le Service fédéral des migrations a entrepris de travailler dans le domaine de l’intégration il y a quelques années. Nous avions conscience que ce travail n’avait pas de base législative suffisante. C’est pourquoi les contacts avec la société civile ont beaucoup compté.

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-        J’aimerais savoir où sont ces partisans... Pourquoi ne les voit-on ni dans les processions, ni dans les églises de « l’EOd’U » qui restent vides ? Les processions sont des moments de prière intense dans la vie spirituelle des orthodoxes. Non pas que je veuille me vanter du nombre de participants à la Grande procession, ou des nombreuses réunions de prières que notre Église organise un peu partout dans le pays, mais elles témoignent toutes que le Seigneur est avec nous. -         Dans ce contexte, la venue du patriarche Bartholomée à Kiev a paru tout à fait déplacée. Que diriez-vous de cette visite ? -        D’une part, le patriarche Bartholomée est venu à l " invitation des autorités civiles de l’État ; on ne sait donc pas très bien à quel titre il était reçu. S’il était reçu comme leader spirituel, il s’agit d’une violation du principe constitutionnel de séparation de l’Église et de l’État. S’il était reçu comme leader politique, il faut préciser qu " à la différence du Vatican, le Phanar n’est pas un État... D’autre part, l’Église orthodoxe ukrainienne n’a pas invité le patriarche Bartholomée ; bien plus, elle l’a prié de s’abstenir de cette visite, craignant fort justement qu’elle provoquerait une nouvelle vague d’usurpations d’églises et de violations des droits des fidèles, ce qui s’est d’ailleurs produit dans plusieurs diocèses de l’Église orthodoxe ukrainienne. La visite de l’actuel chef de l’Église constantinopolitaine n’est donc pas autre chose qu’une immiscion sur notre territoire canonique. -        Néanmoins, le patriarche Bartholomée, en annulant prétendument le transfert de la métropole de Kiev à la juridiction du Patriarcat de Moscou de 1686, a déclaré que l’Ukraine fait partie de son territoire canonique... -        Vous avez tout à fait raison de parler de prétendue annulation. Parce que la décision du Synode de l’Église constantinopolitaine d’annuler ce transfert, prise le 11 octobre 2018, ainsi que la réception dans la communion ecclésiale des schismatiques ukrainiens, ne sont pas seulement une infraction aux canons de l’Église : elles créent une sorte de « réalité » imaginaire, dans laquelle le Phanar vous invite à vivre.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion de Budapest et de Hongrie : Le Vatican a cédé aux libéraux sur la question des mariages homosexuels Service de communication du DREE, 29.02.2024 . Un rapport de la Commission synodale biblique et théologique sur la déclaration catholique « Fiducia supplicans » a été soumis à l’examen de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies. Cette déclaration, récemment adoptée par la Congrégation pour la doctrine de la foi de l’Église catholique romaine, traite de la bénédiction des couples hétérosexuels non mariés à l’église et des couples homosexuels. Le métropolite Hilarion de Budapest et de Hongrie, président de la Commission synodale biblique et théologique, a répondu aux questions de Ria-Novosti sur ce thème d’actualité, ainsi que sur le dialogue avec les catholiques, les prétentions « papistes » du Patriarcat de Constantinople et les églises en Hongrie. – Mgr Hilarion, comment la commission que vous présidez s’est-elle attelée à l’étude de la déclaration « Fiducia supplicans » ? – Nous avons étudié ce document à la demande de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies. Le plénum de la Commission synodale biblique et théologique s’est réuni, et j’ai pu présenter les résultats du travail de la commission à Sa Sainteté le patriarche. – Pourquoi l’Église orthodoxe russe a-t-il décidé d’étudier ce document ? Ne s’agit-il pas d’un document interne à l’Église catholique romaine ? – Parce que nous dialoguons et coopérons avec l’Église catholique. Nous nous devions de réagir à une innovation aussi radicale. – Cette déclaration a été interprétée différemment : certains assurent qu’il s’agit d’une étape intermédiaire avant le mariage des couples homosexuels, d’autres que le document ouvre aux personnes la possibilité de recevoir l’aide de l’Église, notamment pour lutter contre leurs passions, que ceux qui demandent une bénédiction sont bénis personnellement, l’un après l’autre, sans que ce geste puisse être interprété comme une imitation de mariage. Qu’en pensez-vous ?

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Amen». Опоясанный мечом король его вынимает из ножен и поднимает над своей головой; затем надевается на его палец кольцо, в знак союза его с Церковью, и начинается коронование; при этом коронующий читает: 27 «Recevez la couronne du royaume qui est mise sur votre tête par les mains des évêques indignes; reconnaissez y l " embléme de la gloire, de la sainteté et de la force; et sachez que par elle vous tes rendu participant de notre ministére, afin que comme nous sommes les pasteurs et les conducteurs des ames à Pinterieur, vous soyez au dehors le vrai serviteur de Dieu, le fort défenseur de l " Eglise de Jesus Christ contre tout ce qui s " oppose à elle, le chef puissant du peuple et invincible appui du royaume qui vous est confié de Dieu et qui est remis a votre garde par l " effusion des bénédictions célestes que nos mains apostoliques font descendre sur votre tête parmi les priéres de tous les saints». Затем вкладывается скипетр в правую руку короля, le bâton de justice в левую, и его ведут в процессии, неся перед ним меч, к его трону, на который его возводит Архиепископ. Затем Архиепископ выходит на портик и возглашает «vivat rex in aeternum», и хор поет Te Deum в благодарность Богу за дарование народу покровителя и благодетеля, подчиненного Божиему закону и освященному для поддержания блага и справедливости. После пения песнопений коронующий входит в алтарь, и месса возобновляется. Читается послание из Levitique 27, 6 со включением слов для неисполняющих воли Божией; затем следует чтение Евангелия Мф. 22, 15 или на почитание трех царей ( Мф. 2, 1 ). Во время дароприношения король идет в алтарь и причащается под двумя видами (привиллегия французских королей), после чего Архиепископ дает общее благословение. В этом обряде чувствуется оттенок мысли, что Церковь , владеющая двумя мечами, один из них вручает королю, возлагая на него обязанность вынимать его для её защиты; такой обряд вручения меча соответствует расширенному пониманию церковной власти в Католической Церкви, где наместник Апостола Петра владеет в принципе властью не только духовной, но и светской, согласно булле Unam Sahctam: «Uterque ergo est in potestate ecclesiae spiritualis scilicit gladius et materialis.

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