Je vous prie, Monsieur et très respecté Maître, d’accepter avec mes sincères remercîments l’hommage de mes sentiments respectés. G. Millet 19 10 avril 1917 [Paris] 34 rue Hallé XIV Monsieur et très respecté Maître. Vous aviez bien voulu m’annoncer l’envoi de votre t. II de l’iconographie de la Mère de Dieu, par la valise diplomatique. Je n’ai encore rien reçu. Je crains qu’il ne soit egaré. Si vous avez l’extrême bonté de m’indiquer la date où vous avez remis les volumes à l’Ambassade, je ferai une réclamation. Mr. Schlumberger 2094 a depuis très longtemps reçu les deux volumes par la poste. Je n’ai pas non plus les photographies de Macédoine que vous avez eu l’extrême bonté de m’offrir. Elles me seront très utiles en ce moment car il est temps que j’établisse le plan de mon ouvrage et de l’illustration. Puis-je espérer les recevoir bientôt? Permettez-moi de vous offrir mes voeux d’heureuses fêtes 2095 et de vous dire avec quel coeur nous souhaitons le bonheur de votre chère et grande patrie, au milieu des événements extraordinaires qui font notre admiration. La «Revue de Paris» vient de publier un article sur l’oeuvre des Zemstvos, à peu près tel que je l’avais écrit il y a six mois, pour faire comprendre à mes compatriotes l’élan d’idéalisme qui entraînait la société russe. Je vous prierais d’en accepter un tirage à part. 2096 Je vous prie, Monsieur et respecté Maître, d’agréer l’hommage de mes sentiments très dévoués. G. Millet Mes deux volumes vont paraître dans quelques jours. L’un est intitulé «L’Iconographie de l’Evangile aux XIV siècle», «L’École grecque dans l’architecture byzantine». 2097 Je me demande s’il est possible et s’il est prudent, en raison du blocus, de vous les envoyer dès maintenant. 20 [Paris] 34 rue Hallé XIV Monsieur et très respecté Maître. Je voulais lire votre beau livre 2098 avant de vous en remercier et je dois m’excuser du retard. Permettez-moi de vous dire combien j’admire la force de votre pensée toujours pénétrante et inventive. Vous savez découvrir, sous les formes artistiques, le contenu substantiel, les sentiments et les pensées qui leur donnent la vie. Vous nous montrez la méthode qui peut rendre l’histoire de l’art attrayante et vraiment humaine. Vous avez bien raison d’y réclamer une place pour l’iconographie, car elle nous montre souvent plus clairement que le style [est] la voie suivie par les influences, le type qui demeure, alors que la forme change d’un pays à l’autre. Votre livre qui embrasse un si vaste domaine nous apprendra ainsi à connaître l’iconographie de la Mère de Dieu et, en même temps, à mieux comprendre toute l’histoire de l’art chrétien pendant les premiers siècles.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion de Volokolamsk a célébré la Divine liturgie à la cathédrale Saint-Nicolas de Vienne Le 11 février 2018, dimanche du Jugement dernier, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a célébré la Divine liturgie à la cathédrale Saint-Nicolas de Vienne. L’archipasteur concélébrait avec l’archevêque Antoine de Vienne et de Budapest, responsable de la Direction des établissements du Patriarcat de Moscou à l’étranger. Concélébraient également l’archiprêtre Vladimir Tichtchouk, recteur de la cathédrale, l’hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du DREE aux relations interchrétiennes, l’archidiacre Viktor Chilovski, secrétaire du diocèse de Vienne et d’Autriche, et le clergé du diocèse. A la fin de l’église, l’archevêque Antoine a remercié le métropolite au nom du clergé et des nombreux paroissiens rassemblés dans la cathédrale : « En célébrant cet office aujourd’hui, j’ai pensé combien le Seigneur m’avait béni en me donnant de prendre part avec vous à de nombreux offices divins. J’ai célébré avec vous en tant qu’hiérodiacre, puis comme hiéromoine, comme archimandrite, enfin en tant qu’évêque. Une grande partie de ces offices ont eu lieu à l’église Sainte-Catherine de Rome, que vous aimez tant, lorsque vous veniez dans cette ville pour y remplir différentes missions que vous confiaient le patriarche et le Saint-Synode. Vous avez célébré presque chaque année à Rome et, en tant que recteur, j’ai souvent eu à vous accueillir au nom du clergé et des paroissiens. Aujourd’hui, je me tiens à l’ambon devant vous, et j’éprouve une émotion particulière, car je m’adresse à vous comme votre successeur à ce siège de Vienne. C’est un grand honneur pour moi, en même temps qu’une grande responsabilité. J’ai tenté de me représenter les sentiments qui ont dû être les vôtres lorsque vous avez pénétré sous les voûtes de cette église où vous avez pendant six ans accompli votre travail d’archipasteur. Sans doute beaucoup de souvenirs des années passées sur le sol viennois vous sont revenus. Nous savons que ce fut une époque toute particulière, joyeuse, pleine de grâces pour vous.

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Je vous prie encore de ne pas me tenir rigueur de mon silence et de vouloir bien me donner de vos nouvelles. Je serais trop heureux si je pouvais vous être utile. Veuillez accepter l’hommage de mes respectueux sentiments. G. Millet Veuillez m’écrire toujours à Paris 34 rue Hallé XIV. 28 19 octobre 1922 St Marselin par Mons Var Cher et respecté Maître. J’apprends avec plaisir que vous n’avez pas renoncé à publier votre ouvrage en France. Puisque vous voulez bien me faire connaître votre façon de voir, vous me permettrez de vous indiquer les conditions que me paraissent necessaires pour aboutir. Les éditeurs à qui je me suis adressé il y a deux ans ne se montraient nullement séduits par le sujet et ne croyaient pas au succès de la publication. Même avec une souscription certains refusaient l’affaire. La condition primordiale me paraît donc être une souscription de l’Académie ou de l’institut Slave. Il faudrait intéresser à la publication les Tchécoslovaques et les Yougoslaves. Les honoraires seraient légitimes. Mais ils grèveraient beaucoup les frais. On obtiendrait plus facilement un tant pour-cent sur la vente. C’est là une question d’ordre pratique et l’on peut toujours trouver un moyen de la résoudre. Il faut aussi prévoir quelques frais pour la traduction ou bien, si vous traduisez vous-même? Pour la mise au point et la correction des épreuves. Si vous désirez de donner suite à ce projet je vous prierais d’abord d’arrêter definitivement votre texte le plus court possible et votre illustration et de les envoyer à Paris. Il n’est pas possible d’engager des négociations sans montrer les documents: c’est ce que tous les éditeurs m’ont dit. Ainsi l’ordre à suivre serait le suivant: 1. Mettre la dernière main à votre ouvrage (en russe, si vous voulez) et envoyer votre manuscrit avec l’illustration à une personne de votre choix. 2. Négocier avec un éditeur. 3. Les conditions étant bien arrêtés, demander une souscription. 4. Je ne tarderai pas à rentrer à Paris où je serai très heureux de recevoir de vous une nouvelle lettre à ce sujet (34 rue Hallé XIV). Ma femme très touchée de votre aimable souvenir vous prie, comme moi-même, d’agréer l’hommage de nos respectueux sentiments.

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G. Millet La poste ne répond pas des envois de livres en Bulgarie. Il faut que je cherche une voie plus sûre. 24 1 mars 1921 [Paris] 34 rue Hallé XIV Cher et respecté Maître. Mr. Whittemore 2102 a bien voulu se charger de mes deux volumes et de quelques tirages à part. J’espère que vous les avez reçus. Je vous suis très reconnaissant d’avoir songé à en publier vous-même un compte rendu. 2103 Ce sera pour moi un grand honneur. Je comprends que vous désiriez publier votre ouvrage en russe. Mais je doute qu’un éditeur français consente à s’en charger. Avez vous en vue une maison capable d’entreprende une telle édition? Ou bien désirez vous que je cherche à Paris. On m’a parlé de Jacques Povolozhy qui fait des éditions russes et françaises.Vous ne parlez dans votre lettre des planches exécutés par la phototypie Golike et Wilborg. Le travail fait pourrait-il être utilisé ou bien est-il perdu et doit être recommencé d’après les aquarelles originales? Ou porrait peut-être faire une double édition, l’une en russe, l’autre en français. Quoi que vous décidiez je serais toujours heureux, mon Cher Maître, de vous être utile et de vous donner par mon concours un témoignage de mon respect et de ma gratitude. Votre respectueusement dévoué. G. Millet 25 3 mai 1921 [Paris] 34 rue Hallé XIV Monsieur et cher Maître. Je vous prie d’abord d’agréer mes voeux d’heureuses fêtes de Pâques. Puissiez- vous nous donner, de longues années encore, les beaux travaux que nous attendons de vous. L’éditeur de l’Union des zemstvos publiera votre livre. Nous avons envisagé une édition russe et une édition française. On imprimera à Prague pour avoir moins de frais. Peut-être, à cette heure, êtes-vous déjà saisi de l’affaire. Lorsque le devis sera prêt, j’essayerai d’obtenir une souscription de Г Académie et du Gouvernement. Mr. Grabar m’a envoyé son compte-rendu. 2104 J’ai reçu d’ailleurs, par Mr. Ivanov, la collection complète du Bulletin de la Société archéologique bulgare. Je désirerais vivement lire le travail de Mr. Ajnalov sur les peintures du XIV siècle parus dans les «Zapiski». 2105 Comment pourrais-je me le procurer? J’attends bien impatiemment votre étude sur les fresques de Bojano. 2106 J’ai écris cet article sur les zemstvos, parceque, pendant la guerre, j’ai travaillé quelques mois, à titre de volontaire, dans le bureau de la Guerre et des affaires étrangères, sur la presse russe. Tous, nous avons ainsi volontairement cherché à nous rendre utiles.

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Je serai donc heureux de connaître vos intentions pour y conformer mon programme. Je vous serais reconnaissant de vouloir bien écrire à M. Homolle. Bien que ma mission soit indépendante de l’Ecole, je reste officiellement sous sa direction; d’autre part la mission de mon camarade Laurent dépende entièrement de lui. Je crois qu’il serait désireux de connaître directement vos projets et de recevoir de vous les propositions relatives à une entente entre les deux missions. Il parait redouter les dangers et les difficultes d’une mission en ces temps troublés. Si vous ne partagez pas ces craintes,votre lettre les dissipera. Veuillez croire, Monsieur, à l’assurence de mes sentiments respectueux. [G. Millet] 50 Rue Jacob. 29 avril 1897. 2 Couvent de Laura 15/27 avril Monsieur, J’aurais voulu vous souhaiter la bienvenue à Karyés mais en l’absence des représentants des couvents il nous était impossible de commencer par le Protaton; nous nous sommes donc rendus à Lavra. Je serais très heureux de vous voir dès votre arrivée. Voudriez – vous m’en prévenir au couvent de Lavra où nous resterons assez longtemps et me donner un rendez-vous. Je fais bien des voeux pour le succès de votre mission et vous prie de croire à mes sentiments respectueux. G. Millet. 3 7 Rue de Vemeuil 28 Mai 1901 Très honoré Monsieur, J’ai lu avec grand plaisir votre étude sur la peinture populaire contemporaine et vous remercie de votre gracieux envoi. Il y a là des données précieuses pour l’histoire de l’art au Mont Athos. Je profite de cette occasion pour vous entretenir de notre Collection byzantine dont vous avez pu lire le programme dans la Byzantinische Zeitschrift. Je desirerais beaucoup en faire un instrument de travail utile et je sais combien sa valeur en serait accrue si vous vouliez bien nous aider de vos conseils et de votre concours. C’est surtout pour les albums de l’Athos qu’ils me seraient précieux un echange entre vos photographies et les notres auxquelles je pourrais joindre celles de Mistra ou d’Italie, nous permettraient de mettre à profit pour nos recherches des documents encore inédits.

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Je vais publier dans une l’histoire générale de l’art, que dirige M. Andrè Michel, un chapitre de 150 pages sur l’art byzantin. C’est une tâche malaisée que j’ai eu des scrupules à accepter. Heureusement des travaux tels que les vôtres et ceux de vos éléves m’ont beaucoup soutenu. Je vous demanderai l’autorisation de reproduire quelques unes des photographies de votre album du Sinaï, le sont les numeros 32, 34, 37, 54 et 60 de votre catalogue que je permettrai de citer sous la rubrique nouvelle: Hautes Etudes (Kondakov) en indiquant dans la bibliographie votre publication originale. J’admire beaucoup votre si féconde activité scientifique. J’ose espérer que vous voudrez bien m’honorer de l’envoi de l’album iconographique pour en faire un compte rendu. Si ce n’était pas trop demander j’exprimerais le voeu d’en recevoir un autre exemplaire pour la Collection où il rendrait les plus grands services. Veuillez agréer, Monsieur, l’hommage de mes sentiments respectueux. G. Millet. 7 St. Marcelin par Fagence Var 23 Sept. 1903. Très honoré Monsieur, J’ai eu l’honneur de vous écrire déjà pour vous demander l’autorisation de reproduire quelques photographies de votre album du Sinaï dans une Histoire de l’art’ dastinée à la vulgarisation, que publie la Maison Colin. Pensant que vous ne verriez pas la difficulté, j’ai pris la liberté de faire les gravures avant d’avoir reçu cette autorisation, car mon éditeur est pressé de terminer le volume. Mais je voudrais, avant de donner le bon à tirer, être assuré de votre consentement. Vous seriez donc bien bon de me l’envoyer le plutôt possible. Veuillez m’excuser de vous causer ce tracas. Il m’a semblé que les beaux documents, choisis et rapportés par vous de si loin, devaient figurer dans un livre que les rendra familiers au grand public et que vous ne pouviez que vous réjouir de voir ainsi populariser votre oeuvre. J’ai profité des vacances pour lire avec attention votre volume sur 1’Athos. J’ai ressenti une grande joie à voir ces monuments si intéressants publiés et appreciés avec votre incomparable maîtrise. Cette oeuvre fait grand honneur non seulement à votre science, mais aussi à votre habile diplomatie, car nul autre que vous n’aurait obtenu autant de l’astucieuse prudence des moines.

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Veuillez accueillir avec bienveillance trois brochures que je vous adresse avec cette lettre. Je vous prie de croire à ma très respectueuse consideration. G. Millet. 16 34 rue Hallé XIV 14 fevrier 1911 Monsieur et très honoré collègue, Mademoiselle Brunelli m’a remis de votre part les deux volumes de Bouslaev. Par suite d’un malentendu je les ai eus après quelque temps ce qui excuse mon retard à vous remercier de votre très aimable attention. Veuillez transmettre mes remercîments respectueux à l’Académie des sciences. Vous avez eu une très heureuse idée de réunir ces études pleines d’aperçus originaux et de vues pénétrantes. Les étrangers vous en sauront d’autant plus de gré qu’il leur est difficile de connaître les études publiees sur l’art russe et qu’ils trouveront là les plus précieuses informations. Veuillez agréer mes voeux sincères pour votre santé et croire à mes très respectueux sentiments. G. Millet. 17 34 rue Hallé Paris XIV 5 sept. Monsieur et respecté Maître, J’ai eu la plaisir de lire, il y a quelques mois, dans un journal de Moscou, un compte rendu de votre second volume de l’iconographie de la Mère de Dieu. Vous aviez eu autrefois la bonté de m’offrir le premier. Si vous avez encore pensé à moi et si vous ne craignez pas de confier à la poste une oeuvre aussi précieuse, je serais très heureux de recevoir ce second volume, pour faire, des deux ensemble, une longue analyse dans la Revue archéologique ou tout autre périodique. J’aurais grande joie à montrer ce puissant effort de votre inlassable énergie. Un tel compte-rendu sera lu chez nous avec grand plaisir, comme tout ce qui touche votre pays. On m’a demandé d’écrire aussi sur l’ancien art serbe pour faire honneur à nos heroïques alliés. Je prépare un article qui paraîtra dans une Revue et un volume plus considerable. Dans ces études, vos observations et vos idées tiendront naturellement une large place. Pour les faire mieux comprendre, j’aurais avantage à posséder, et à pouvoir reproduire les photographies de votre misson. Elles compléteraient admirablement ma propre collection. Aussi j’oserais vous demander, en m’excusant de tant de hardiesse, s’il serait possible de faire tirer ces épreuves. Naturellement, la Collection des Hautes – Etudes supporterait les frais.

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J’insistai vivement pour connaître cette histoire, et M me de Coriolis me la raconta ainsi: Pendant l’été de 1838, un personnage de haute importance, à en juger par la richesse de son costume et par la suite nombreuse de laquais dont il était entouré, se présentait à la porte du monastère des religieuses basiliennes de Minsk en Lithuanie, et demandait à être introduit. Quoique cet homme se dit évêque et plus encore, sa présence, loin d’exciter cette sainte allégresse que la visite d’un prélat fait éprouver à de pieuses filles, ne répandit au contraire dans ce couvent qu’une tristesse mêlée de terreur. La portière alia toute tremblante avertir la mère abbesse de l’arrivée de Siemazsko. А се nom redouté, qui lui rappelait de douloureux souvenirs, la supérieure pâlit; mais levant les yeux vers de ciel, comme pour у puiser cette force divine qui transforme les âmes, elle se recueillit un instant, puis appelant ses soeurs: «Qu’on introduise Siemazsko, puisqu’il nous faut subir sa présence», dit-elle. Makrena Mieczyslaweska, abbesse de ce monastère, était alors une femme de trente-cinq ans, aux traits nobles et beaux, d’une taille majestueuse, d’un caractère gai et aimable. Tant que Siemazsko, autrefois évêque de Minsk, avait été fidèle à son Dieu, elle lui avait toujours témoigné la respectueuse déférence due à la dignité dont il était revêtu; mais depuis le jour où, par ambition plus encore que par faiblesse, il avait renoncé au catholicisme pour embrasser le schisme de l’Eglise russe, Makrena et ses sœurs ne voulurent plus avoir rien de commun avec leur ancien évêque. En vain celui-ci, à trois reprises différentes, leur avait-il envoyé l’invitation de renoncer à l’Eglise romaine, un refus positif avait été la seule réponse des religieuses polonaises. «Pourquoi n’avez-vous pas signé l’écrit que je vous ai adressé? dit Siemazsko à la supérieure dès qu’il fut admis en sa présence. – Parce que j’en ai découvert les erreurs, répondit-elle avec fermeté. – Que voulez-vous dire par là, hydre infernale, et qui vous donne l’audace de me tenir un pareil langage? s’écria-t-il.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : Dieu est prêt à donner à chacun le don étonnant de la foi, mais il faut être prêt à le recevoir Le 10 août 2020, 10 e dimanche après la Pentecôte, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriacat de Moscou, a célébré la Divine liturgie à l’église Notre-Dame-Joie-de-tous-les-affligés, rue Bolchaïa Ordynka, à Moscou. Des prières ont été dites pour la fin de l’épidémie de coronavirus. A la fin de la célébration, le métropolite a prononcé une homélie. « Bon dimanche à tous, chers pères, frères et sœurs. Ce dimanche coïncide avec la mémoire de saint Antoine de Rome, thaumaturge de Novgorod. Le Seigneur m’a trouvé digne, la semaine dernière, de me rendre sur les lieux où vécut ce saint, dans la région de Novgorod. J’ai pu aussi me rendre au monastère de saint Barlaam, patron de notre église. Vous savez tous que la première église bâtie à l’emplacement où nous nous trouvons était dédiée à saint Barlaam de Khoutyne. Elle se trouvait là où est maintenant le bas-côté de droite, dont l’autel est aussi consacré à saint Barlaam. Avec le temps, l’église a subi des remaniements, des reconstructions, des élargissements. On a construit l’autel principal, dédié à la Transfiguration, et le bas-côté consacré à l’icône de la Vierge « Joie de tous les affligés ». Saint Barlaam continue à être vénéré dans notre église, notamment grâce à son icône. L’un des recteurs de notre paroisse, le père Constantin Lioubomoudrovvouait une ardente dévotion à saint Barlaam de Koutyne, et son martyre, au polygone de Boutovo, eut lieu justement le jour où l’église fait mémoire de cet ascète. Le parcours de saint Barlaam, tel que le rapporte sa Vie, fut marqué par de nombreux miracles faisant suite à ses victoires sur différentes forces démoniaques. L’évangile d’aujourd’hui rapporte comment le Christ chassa un démon de l’adolescent, troublé par le démon à la nouvelle lune. Le Seigneur guérit l’adolescent, alors que Ses disciples n’y étaient pas parvenus. Les apôtres demandèrent à leur Maître pourquoi ils n’avaient pas réussi, alors qu’Il leur avait donné le pouvoir, entre autres, de chasser les démons et de guérir les maux. Le Seigneur répond nettement : «  C " est à cause de votre incrédulité... Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d " ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible. Mais cette sorte de démon ne sort que par la prière et par le jeûne  » (Mt 17,20-21).

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Interview de l’archevêque Léonide de Vladikavkaz et d’Alanie au journal grec « Dimocratiki tis Rodu » Dans une interview au journal « Dimocratiki tis Rodu », l’archevêque Léonide de Vladikavkaz et d’Alanie, vice-président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a évoqué, notamment, les divisions dans le monde orthodoxe et la situation de l’Église en Ukraine. -         Éminence, vous avez fait des études en Grèce, vous parlez couramment grec. Quelles impressions gardez-vous de vos études à Athènes ? Quels sont vos meilleurs souvenirs ? -        J’ai vécu en Grèce de 1998 à 2002, j’ai fait des études à la faculté de théologie sociale de l’université d’Athènes. Je desservais en même temps la paroisse russe de l’église basse Saint-Pantéléimon, sur l’Acharnon. Je garde un excellent souvenir de cette période, des lieux et des personnes qui m’entouraient. J’étais sous le charme de la Grèce. Les églises, les monastères, les chefs-d " œuvre de l’architecture, le riche patrimoine de l’Hellade antique, le mode de vie, la façon de voir la vie, tout était nouveau pour moi. J’ai connu les drachmes. Ces quatre années passées là-bas, pleines d’impressions intéressantes, ont été une formidable expérience, dont le souvenir restera toujours gravé dans mon cœur. Je garde un souvenir particulièrement ému du monument au roi Léonidas, à Thermopyles, et de la voie qui y mène. -        Cela fait plus de 20 ans que vous travaillez dans la sphère diplomatique ecclésiastique. Nous avons tous été attristés par la rupture de la communion entre le Patriarcat de Moscou et le Patriarcat œcuménique. Comment l’Église russe explique-t-elle les causes de cette rupture ? Quelle est actuellement sa position ? -        Vous avez raison, la rupture de la communion entre nos Patriarcats a affligé tous les orthodoxes. Je le vis comme une tragédie personnelle, car une part importante de ma vie est liée à la Grèce, à l’orthodoxie grecque.

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