Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le Patriarche Cyrille a reçu le ministre des wakoufs de Syrie Le 7 mars 2017, le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a reçu à sa résidence du monastère Saint-Daniel le ministre des wakoufs de la République arabe syrienne, Mohammed Abdul Sattar al-Sayeed. La partie musulmane était aussi représentée par le directeur général des wakoufs à Damas, le cheik Ahmad Samir al-Kabbani ; le directeur du Mouvement de jeunesse religieux de Syrie, le cheik Adbullah al-Sayyed ; le président de l’Assemblée spirituelle des musulmans de Russie, le mufti Albir Krganov. L’ambassadeur de Syrie en Fédération de Russie, Riad Khaddad, était aussi présent. Le représentant du Patriarcat d’Antioche la Grande et de tout l’Orient auprès du Patriarche de Moscou et de toute la Russie, le métropolite Niphon de Philippopolis, assistait aussi à la rencontre, ainsi que l’archimandrite Philarète (Boulekov), vice-président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, et le prêtre Dimitri Safonov, secrétaire du DREE aux relations interreligieuses et secrétaire exécutif du Conseil interreligieux de Russie. Dans son discours d’ouverture, le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a mentionné sa rencontre avec son hôte, en novembre 2011, à Damas, pendant sa visite au Patriarcat d’Antioche. « C’était alors le début du profond conflit qui a causé tant de malheurs au peuple syrien, a dit Sa Sainteté. Mais c’était encore la Syrie dont je me souvenais bien et que j’ai toujours aimée, un pays paisible, tranquille, où vivaient des gens de différentes religions en paix et dans la concorde. J’ai pu constater le développement positif de l’économie, de la vie culturelle, j’ai vu les améliorations qui s’étaient produites à Damas durant les années précédant ma dernière visite. Je me souviens de l’unanimité des gens, aussi bien des chrétiens que des musulmans, qui m’avaient chaleureusement accueilli, notamment dans les rues de Damas. C’est cette vie paisible qui a été détruite. Mais il faut rendre hommage à l’héroïsme du peuple syrien, qui défend aujourd’hui courageusement son pays. »

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Rencontre du patriarche Cyrille avec les membres de la la Commission de dialogue entre l’Église orthodoxe russe et l’Église copte Service de communication du DREE, 20.09.2022 Le 20 septembre, à la salle du Haut Conseil de l’église du Christ Sauveur de Moscou, le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies a rencontré les membres de la Commission de dialogue entre l’Église orthodoxe russe et l’Église copte, qui se réunissait ces jours-ci en Russie. L’Église orthodoxe russe était représentée par : le métropolite Léonide de Klin, exarque patriarcal d’Afrique, l’évêque Gennade de Kaskelen, co-président de la Commission, le hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du DREE chargé des relations interchrétiennes, S. Alferov, membre de la commission, collaborateur du DREE. Le métropolite Sérapion de Los Angeles, coprésident de la Commission représentant l’Église copte, participait à la rencontre par visioconférence. Etaient présents : l’évêque Cyrille, secrétaire de la commission, vicaire du diocèse de Los Angeles, doyen du séminaire Saint-Athanase-Saint-Cyrille-d’Alexandrie, le hiéromoine Daoud-el-Antoni, représentant de l’Église copte en Russie, Barbara Soliman, chef du Département patriarcal de réalisation des projets ecclésiastiques, Iskhak Ibrahim Agban, secrétaire général de l’Institut de recherches coptes. « Nous tenons aux longues années de bonnes relations d’amitié qui lient nos Églises, et, bien entendu, à l’amitié entre Égyptiens et Russes qui existe depuis des siècles, a dit le patriarche Cyrille. Nous vivons actuellement une phase particulière des relations internationales qui, dans bien des cas, sont rompues, détruites, tendues,  aggravées par des conflits, mais il faut rendre grâce à Dieu de ce que les relations entre nos Églises, et entre nos pays, la Russie et l’Égypte, d’ailleurs, restent bonnes et solides. »

http://mospat.ru/fr/news/89664/

Pourtant, il est tout à fait légitime que nous cherchions à définir le sens d’une expression qui paraît être en contradiction avec tant d’autres témoignages de l’Écriture Sainte et de la tradition sur l’incommunicabilité absolue de l’Être divin. On pourrait dresser deux séries de textes contradictoires, tirés de l’Écriture et des Pères, les uns témoignant du caractère inaccessible de la nature divine, les autres affirmant que Dieu se communique, se livre à l’expérience, peut être réellement atteint dans l’union. Saint Macaire d’Égypte (ou pseudo-Macaire si l’on veut – cela ne change rien quant à la grande valeur des écrits mystiques connus sous ce nom), parlant de l’âme qui entre en union avec Dieu, insiste sur la différence absolue de ces deux natures dans l’union même: «Il est Dieu, elle n’est pas Dieu Il est Seigneur, elle est servante Il est Créateur, elle est créature… et il n’y a rien de commun entre leurs natures 104 .» Mais, d’autre part, le même auteur parle de la «transmutation de l’âme en la nature divine 105 .» Dieu serait donc totalement inaccessible et en même temps réellement communicable aux êtres créés, sans que l’on puisse supprimer ou réduire en quelque mesure l’un des termes de cette antinomie. En vérité, si la mystique chrétienne ne peut s’accommoder d’un Dieu transcendant, elle le saurait encore moins d’un Dieu immanent, et accessible aux créatures. M. Gilson exprime très bien ce principe fondamental de vie spirituelle: «Abaissez, dit-il, ne fût-ce que pour un instant et sur un point, la barrière que dresse la contingence de l’être entre l’homme et Dieu, vous privez le mystique chrétien de son Dieu, vous le privez donc de sa mystique: il peut se passer de tout dieu qui ne soit pas inaccessible, le seul Dieu qui soit naturellement inaccessible est aussi le seul dont il ne puisse se passer 106 .» L’union réelle avec Dieu et, en général, l’expérience mystique pose donc la théologie chrétienne devant une question antinomique, celle de l’accessibilité de la nature inaccessible.

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МУЗЫКА ОТ 52 МИН 38 СЕК ДО 55 МИН 1 СЕК. ВСЕ УХОДЯТ. АЛЕКСАНДРА АНДРЕЕВНА, уходит по авансцене: Царица Всеблагая! Кто бы сейчас помолился за Пьера? Душа его в плену у суеты мира, у тщеславия. Он горит гордостью, мечется славолюбием. Погибает. Наш Петя погибает. Ты молишься? ИЛЬЯ ПЕТРОВИЧ, уходит по авансцене: О Пресвятая Владычице Дево Богородице, спаси и сохрани под кровом Твоим моих чад Николая, Петра, Ипполита, Александру, Модеста и Анатолия, всех отроков, отроковиц и младенцев, крещеных и безымянных и во чреве матери носимых. ДЕЗИРЕ, остаётся у кулисы: Je vous salue, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Ainsi soit-il. МУЗЫКА – ОРГАН с 55 МИН 2 СЕК ДО 55 МИН 40 СЕК. ЧАЙКОВСКИЙ: Что? Уже финал?! Что, моя история закончена? Нет. Нет! Не так! Постойте! МУЗЫКА, КИКСУЯ, ОБРЫВАЕТСЯ. Совсем не то! Погодите. Мой герой, мой Манфред спустился в ад. Принести покаяние Астарте. Конечно, это я спустился в себя, это я хотел принести покаяние за … то, что должен был бросить всё и лететь к ней. Уговорить, уверить, спасти от от рокового поступка! Должен был. Но.... Поэтому я знаю, по себе чувствую и знаю – покаяние не освобождает от чувства вины. Ну, разве на минуты, на часы. А потом опять совесть. И если мой Манфред вдруг да станет покоен – это ложь. Ложь. Неправда. Господи, когда мы встретимся, все – живые и мёртвые, встретимся перед Страшным судом, что мы скажем друг другу? Чем оправдаемся? Чем мы оправдаем друг друга?.. Как фальшиво. Нет-нет, финал нужно переписывать. Нужен иной, новый финал. ЗАНАВЕС. 20. ПЕРЕД ЗАНАВЕСОМ У РАМПЫ ЧАЙКОВСКИ И ДЕЗИРЕ. ЧАЙКОВСКИЙ: Сударыня, я исполнил вашу просьбу, которой вы оказали мне честь, – сочинил к Рождеству шесть французских вокальных опусов для вашего голоса. Для вашего сегодняшнего диапазона. И неизменного мастерства. ДЕЗИРЕ: Mon meilleur ami, я получила их в августе! Благодарю за небесный подарок, мой маэстро! Я желала одну только песню, а вы щедро написали мне целых шесть!

http://ruskline.ru/analitika/2022/10/31/...

Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le président du DREE et le premier hiérarque de l’EORHF ont célébré la Liturgie à la résidence synodale de l’Église hors-frontières à New York Le 12 juillet 2021, fête de saint Pierre et saint Paul, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, et le métropolite Hilarion d’Amérique de l’Est et de New York, premier hiérarque de l’Église russe hors-frontières, ont célébré ensemble la Divine liturgie à la cathédrale Notre-Dame-du-Signe de l’Église hors-frontières à New York. L’évêque Nicolas de Manhattan , les clercs de Notre-Dame-du-Signe et le clergé de paroisses du Patriarcat de Moscou aux États-Unis concélébraient avec les deux hiérarques. Souhaitant la bienvenue au président du DREE, le premier hiérarque de l’Église russe hors-frontières l’a remercié de cette célébration commune : « Je ne trouve pas les mots pour exprimer les sentiments avec lesquels j’ai célébré la Divine liturgie avec vous. » « Je pense aujourd’hui au ministère et aux efforts d’un de mes prédécesseurs, le métropolite Anastase (Gribanovski), auteur de nombreux entretiens populaires, qu’il animait avec cœur. Il fut consacré évêque ce même jour, il y a 115 ans, à la cathédrale de la Dormition du Kremlin de Moscou. Nous prions aujourd’hui le Christ, pasteur des pasteurs, de multiplier les grâces de l’unité spirituelle entre l’Église hors-frontières et l’Église nationale, à laquelle nous sommes parvenus par la charité fraternelle et en travaillant beaucoup » a remarqué le métropolite Hilarion d’Amérique de l’Est et de New York. Il a souligné : « Nous croyons que cette unité entre nous sera source de consolation, de grâce et de courage pour tous les enfants de l’Église orthodoxe russe locale, en cette période difficile pour le monde orthodoxe. »

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : Le fait que le Patriarcat de Constantinople ait reconnu des structures schismatiques signifie pour nous qu’il est désormais aussi schismatique Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a donné une interview à l’agence britannique BBC, dans laquelle il parle de la situation engendrée par les agissements anti-canoniques du Patriarcat de Moscou et de la décision de l’Église orthodoxe russe de rompre la communion eucharistique avec lui. – Le 15 octobre, la séance du Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe a duré près de huit heures. Pourquoi si longtemps ? De quoi a-t-on débattu au Synode ? Il faut préciser que la séance du Synode a commencé avec un certain retard, causé par la rencontre de Sa Sainteté le patriarche Cyrille avec le président de la Biélorussie, A. Loukachenko, qui l’avait précédée. Ce type de rencontre dure ordinairement environ une heure, mais l’entretien d’hier s’est prolongé pendant deux heures. L’emploi du temps a donc été décalé. D’ailleurs, les séances du Saint-Synode durent, le plus souvent sept-huit heures, parce que beaucoup de questions s’accumulent entre les réunions : l’élection de nouveaux hiérarques, l’ouverture de monastères, différentes questions sur les cadres. Mais hier, en effet, nous avons consacré une grande partie du temps aux rapports avec le Patriarcat de Constantinople. La relecture et la correction du texte de la Déclaration du Saint-Synode, qui a été publiée le 15 octobre, a pris deux-trois heures. – Vous aviez donc déjà un brouillon de cette déclaration ? – Oui, nous avions un brouillon. – Ce qui veut dire qu’avant même la séance on savait déjà que la rupture était inévitable ? – On ne peut pas prévoir comment tournera la discussion au Synode. Un brouillon avait été rédigé à l’avance, qui contenait et exposait les arguments canoniques qui restent inchangés, indépendamment de la décision définitive sur la rupture de la communion eucharistique avec le Patriarcat de Constantinople.

http://mospat.ru/fr/news/47047/

Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Déclaration commune du Pape François et du Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie Déclaration commune du Pape François et du Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie   « La grâce de Notre Seigneur Jésus Christ, l’amour de Dieu le Père et la communion du Saint-Esprit soit avec vous tous » (2 Co 13, 13).   1. Par la volonté de Dieu le Père de qui vient tout don, au nom de Notre Seigneur Jésus Christ et avec le secours de l’Esprit Saint Consolateur, nous, Pape François et Kirill, Patriarche de Moscou et de toute la Russie, nous sommes rencontrés aujourd’hui à La Havane. Nous rendons grâce à Dieu, glorifié en la Trinité, pour cette rencontre, la première dans l’histoire. Avec joie, nous nous sommes retrouvés comme des frères dans la foi chrétienne qui se rencontrent pour se « parler de vive voix » (2 Jn 12), de cœur à cœur, et discuter des relations mutuelles entre les Eglises, des problèmes essentiels de nos fidèles et des perspectives de développement de la civilisation humaine.   2. Notre rencontre fraternelle a eu lieu à Cuba, à la croisée des chemins entre le Nord et le Sud, entre l’Est et l’Ouest. De cette île, symbole des espoirs du « Nouveau Monde » et des événements dramatiques de l’histoire du XX e siècle, nous adressons notre parole à tous les peuples d’Amérique latine et des autres continents. Nous nous réjouissons de ce que la foi chrétienne se développe ici de façon dynamique. Le puissant potentiel religieux de l’Amérique latine, sa tradition chrétienne séculaire, réalisée dans l’expérience personnelle de millions de personnes, sont le gage d’un grand avenir pour cette région.   3. Nous étant rencontrés loin des vieilles querelles de l’« Ancien Monde », nous sentons avec une force particulière la nécessité d’un labeur commun des catholiques et des orthodoxes, appelés, avec douceur et respect , à rendre compte au monde de l’espérance qui est en nous ( cf . 1 P 3, 15).

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion de Volokolamsk : La réunification est impossible si l’une des parties intéressées considère l’autre comme « hérétique » Dans une interview au journal « Kommersant », le métropolite Hilarion a parlé des perspectives de réunification de l’Église orthodoxe russe et des vieux-croyants. -        Le Concile local de l’Église orthodoxe russe qui a eu lieu il y a cinquante ans avait levé les anathèmes que le Grand Concile de Moscou de 1667 avait lancé contre l’ancien rite. Qu’est-ce qui a changé pour les vieux-croyants depuis le Concile de 1971 ? -        La décision que prit le Concile local de l’Église orthodoxe russe de 1971 était véritablement historique ; elle témoignait de la volonté de dialogue sérieux de l’Église russe avec l’ancien rite, dialogue dont l’objectif était, naturellement, de mettre un terme à des siècles de division. Un long et difficile chemin reste à parcourir. Les décisions du Concile ont au moins permis d’en finir avec la méfiance mutuelle. Il est désormais possible de dialoguer, d’avoir des projets communs, d’organiser ensemble des expositions, des festivals. Nous coopérons dans de nombreux domaines de la vie culturelle. Les représentants de l’Église orthodoxe russe d’ancien rite, avec leur métropolite Corneille, par exemple, participent tous les ans à l’Assemblée mondiale russe et à d’autres forums, organisés par l’Église orthodoxe russe. Des membres de communautés de vieux-croyants ont fait leurs études dans les établissements de l’Église orthodoxe russe ou sont en train d’y étudier. Les pèlerinages de vieux-croyants aux sanctuaires et aux reliques situés dans des églises ou des monastères orthodoxes se développent. Les exemples de coopération active entre orthodoxes et vieux-croyants au niveau local sont multiples. -         Il y a quelques temps, vous avez déclaré que l’Église orthodoxe russe ne voit pas d’obstacles à une réunification de l’Église orthodoxe russe et de l’Église orthodoxe russe vieille-ritualiste. A quelles conditions pourrait-elle avoir lieu ?

http://mospat.ru/fr/news/87823/

Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : La présence invisible de la Reine des Cieux se fait sentir dans nos vies Le 28 août, fête de la Dormition de la Mère de Dieu, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a célébré la Divine liturgie à l’église Notre-Dame-Joie-de-tous-les-affligés, rue Bolchaïa Ordynka, à Moscou. Des prières ont été dites pour la fin de l’épidémie de coronavirus. Avant la communion, un clerc de l’église a lu le Message du Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe à l’épiscopat, au clergé, aux moines et aux laïcs sur le fléau actuel. A la fin de l’office, le métropolite a prononcé l’homélie suivante : « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ! Nous célébrons aujourd’hui la dernière fête de l’année liturgique, car, comme vous le savez, l’année liturgique, comme l’année scolaire, commence en septembre et se termine en août. La première grande fête de l’année est la Nativité de la Mère de Dieu, la dernière étant sa Dormition. Durant toute l’année liturgique, la vie de la Mère de Dieu se déroule sous les regards spirituels du chrétien, depuis sa naissance jusqu’à sa bienheureuse dormition. Les fêtes du cycle marial n’existaient pas aux premiers siècles du christianisme : on ne célébrait ni sa Nativité, ni son Entrée au temple, ni sa Dormition. Les chrétiens de l’Antiquité faisaient mémoire des martyrs, et la vie de l’Église était centrée sur leurs tombes. Chaque ville avait ses martyrs, ses reliques, ses fêtes. Mais il n’existait pas encore de fête en l’honneur de la Mère de Dieu, bien que les chrétiens l’aient toujours vénérée. Même au IV e siècle, alors que les saints pères avaient écrit beaucoup de choses nouvelles sur l’Église, alors qu’on avait construit quantité d’églises, on ne savait pas encore comment la Mère de Dieu avait terminé ses jours. Saint Épiphane de Chypre écrivait dans son traité Contre les hérésies , qu’on ignorait comment la Mère de Dieu avait quitté ce monde : peut-être était-elle morte martyre, puisque saint Syméon avait prédit qu’un glaive lui transpercerait le cœur. Peut-être était-elle montée aux cieux...

http://mospat.ru/fr/news/45425/

Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : Un sommet des chefs d’Églises est possible dans un proche avenir Interview du métropolite Hilarion de Vokololamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, à RIA Novosti. -             Monseigneur, le patriarche Théophile prévoit-il une rencontre comme celle d’Amman ? Ou quelqu’un d’autre ? Cette année ? Quand ? Que savez-vous des négociations en cours à ce sujet ? -             Je tiens à rappeler que toutes les délégations ayant pris part à la rencontre d’Amman, en février de l’année précédente, avaient fait part de leur désir de continuer les échanges entre primats et représentants des Églises locales. Dans le communiqué ayant suivi la rencontre, le souhait d’une nouvelle rencontre « de préférence avant la fin de l’année » était exprimé. Certes, à ce moment-là, personne ne savait qu’il y aurait une pandémie, que beaucoup de projets ne pourraient voir le jour. Très naturellement, un an après la rencontre d’Amman, le patriarche Théophile de Jérusalem a rappelé ces intentions dans son message. Bien que le risque de contagion soit toujours élevé, les mesures de précaution sont peu à peu assouplies dans certains pays, parce que de plus en plus de gens ont développé une immunité à cette maladie : certains l’ont déjà eue, d’autres ont été vaccinés. Dans ces conditions, la perspective d’une nouvelle rencontre des primats dans un avenir proche devient réelle. Cependant, il est encore trop tôt, à mon avis, pour parler de dates concrètes. Je rappelle que l’an dernier, l’initiateur de cette rencontre était le patriarche Théophile de Jérusalem. Je suppose que la nouvelle rencontre, si elle a lieu, sera aussi convoquée par le primat de l’Église de Jérusalem, la mère de toutes les Églises. L’Église russe, quant à elle, soutient l’organisation de rencontres semblables en vue de trouver une issue à la crise interorthodoxe et de restaurer l’unité.

http://mospat.ru/fr/news/86955/

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