Icon of the Mother of God of St Theodore Commemorated on March 14 The Theodore—Kostroma Icon of the Mother of God was painted by the Evangelist Luke and resembles the Vladimir Icon of the Mother of God. This icon received its name from Great Prince Yaroslav Vsevolodovich (+ 1246), the father of Saint Alexander Nevsky, and who in holy Baptism was named Theodore in honor of Saint Theodore Stratelates (February 8). According to Tradition, the icon was found by his elder brother, Saint George (February 4), in an old wooden chapel near the city of Gorodets. Later, the Gorodetsk Theodorov monastery was built on this spot. Prince Yaroslav-Theodore became the Great Prince of Vladimir after his brother Saint George perished in battle with the Mongols at the Sita River. In the year 1239, he solemnly transferred the relics of his brother from Rostov to the Vladimir Dormition cathedral. He gave the icon which he inherited from his brother to his own son, Saint Alexander Nevsky. Yaroslav-Theodore is renowned in Russian history. He continued with the glorious traditions of his uncle Saint Andrew Bogoliubsky (July 4), and of his father Vsevolod III Big-Nest, and he was connected to almost all of the significant events in the history of Rus in the first half of the thirteenth century. Russia was burned and torn apart by the Mongols in 1237-1238. He raised it up from the ashes, rebuilt and embellished the cities, the holy monasteries and the churches. He restored cities along the Volga devastated by the enemy: Kashin, Uglich, Yaroslavl’, Kostroma, Gorodets. He founded he church of Theodore Stratelates at Kostroma and the Theodorov monastery near Gorodets in honor of his patron saint. For eight years he ruled as Great Prince, but he had to guide the land through a singularly difficult path, maintaining a military-political balance with the Golden Horde to the East, while mounting an active opposition to Catholic Europe in the West. His closest companion was his son, Saint Alexander Nevsky, who also continued his policies.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : Dieu est prêt à donner à chacun le don étonnant de la foi, mais il faut être prêt à le recevoir Le 10 août 2020, 10 e dimanche après la Pentecôte, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriacat de Moscou, a célébré la Divine liturgie à l’église Notre-Dame-Joie-de-tous-les-affligés, rue Bolchaïa Ordynka, à Moscou. Des prières ont été dites pour la fin de l’épidémie de coronavirus. A la fin de la célébration, le métropolite a prononcé une homélie. « Bon dimanche à tous, chers pères, frères et sœurs. Ce dimanche coïncide avec la mémoire de saint Antoine de Rome, thaumaturge de Novgorod. Le Seigneur m’a trouvé digne, la semaine dernière, de me rendre sur les lieux où vécut ce saint, dans la région de Novgorod. J’ai pu aussi me rendre au monastère de saint Barlaam, patron de notre église. Vous savez tous que la première église bâtie à l’emplacement où nous nous trouvons était dédiée à saint Barlaam de Khoutyne. Elle se trouvait là où est maintenant le bas-côté de droite, dont l’autel est aussi consacré à saint Barlaam. Avec le temps, l’église a subi des remaniements, des reconstructions, des élargissements. On a construit l’autel principal, dédié à la Transfiguration, et le bas-côté consacré à l’icône de la Vierge « Joie de tous les affligés ». Saint Barlaam continue à être vénéré dans notre église, notamment grâce à son icône. L’un des recteurs de notre paroisse, le père Constantin Lioubomoudrovvouait une ardente dévotion à saint Barlaam de Koutyne, et son martyre, au polygone de Boutovo, eut lieu justement le jour où l’église fait mémoire de cet ascète. Le parcours de saint Barlaam, tel que le rapporte sa Vie, fut marqué par de nombreux miracles faisant suite à ses victoires sur différentes forces démoniaques. L’évangile d’aujourd’hui rapporte comment le Christ chassa un démon de l’adolescent, troublé par le démon à la nouvelle lune. Le Seigneur guérit l’adolescent, alors que Ses disciples n’y étaient pas parvenus. Les apôtres demandèrent à leur Maître pourquoi ils n’avaient pas réussi, alors qu’Il leur avait donné le pouvoir, entre autres, de chasser les démons et de guérir les maux. Le Seigneur répond nettement : «  C " est à cause de votre incrédulité... Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d " ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible. Mais cette sorte de démon ne sort que par la prière et par le jeûne  » (Mt 17,20-21).

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Fête de saint Serge de Radonège à la laure de la Trinité-Saint-Serge Le 7 octobre 2020, la laure de la Trinité-Saint-Serge fêtait son saint patron, Serge de Radonège. Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures  du Patriarcat de Moscou, a concélébré les vêpres et lu l’acathiste avec l’évêque Paramon de Naro-Fominsk, président de la Direction des finances et de l’économie du Patriarcat de Moscou, ainsi que l’évêque Eugène de Bronnitsa, président du Département synodal à l’enseignement religieux et à la catéchèse, l’évêque Pierre de Loukhovitsy, vicaire du diocèse de Moscou, l’évêque Stéphane de Klin, président du Département synodal chargé des relations avec les forces armées et les organes du maintien de l’ordre. Ensuite, le métropolite Hilarion a célébré les vigiles à la cathédrale de la Dormition avec l’évêque Thomas de Pavlovo-Possad, directeur du Secrétariat administratif du Patriarcat de Moscou, l’évêque Eugène de Bronnitsa et les frères de la communauté. Le 8 octobre 2020, alors que l’Église fait mémoire du rappel à Dieu de saint Serge, le métropolite Hilarion a célébré la divine liturgie à la cathédrale de la Trinité. L’archipasteur concélébrait avec le supérieur de la Laure, l’évêque Thomas de Serguiev-Possad, l’évêque Stéphane de Klin, et les membres de la communauté. Des prières ont été dites pendant la litanie instante pour la fin de l’épidémie de coronavirus. Le métropolite Hilarion a prononcé une homélie à la fin de l’office. « Chers frères et sœurs, Je vous souhaite à tous une bonne fête de notre saint et vénérable père Serge, higoumène de Radonège, thaumaturge de toute la Russie, dont nous célébrons aujourd’hui solennellement la lumineuse mémoire. Notre saint et vénérable père Serge priait ardemment et célébrait avec zèle la Divine liturgie. Rien d’étonnant à ce que chaque fois que nous venons à la Laure pour glorifier ce grand saint, nous célébrons la liturgie devant ses reliques, comme cela a été institué dès l’origine de l’Église, où la liturgie se célébrait sur les reliques des martyrs, des vénérables, des saints.

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Incarnation – l’Esprit est là. Opérations miraculeuses, grâces et guérisons: par l’Esprit-Saint. Les démons chassés: par l’Esprit de Dieu. Le diable enchaîné: l’Esprit étant présent. La rémission des péchés – dans la grâce du Saint-Esprit… conjonction avec Dieu: par l’Esprit. Résurrection des morts: par la vertu de l’Esprit 262 .» Et pourtant la parole de l’Évangile est formelle: «L’Esprit n’était pas encore (dans le monde) parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié» ( Jn 7, 38 ). Donc, l’action du Saint-Esprit dans le monde avant l’Église et en dehors de l’Église n’est pas la même que sa présence dans l’Église après la Pentecôte. Comme le Verbe, per quem omnia facta sunt, manifestait la Sagesse de Dieu dans la création avant qu’il ne fût envoyé dans le monde et n’entrât dans son histoire comme une personne divine incarnée, de même le Saint-Esprit dans lequel la volonté divine – créatrice et conservatrice de l’univers – s’accomplissait dès le moment de la création, fut envoyé à un moment donné dans le monde pour y être présent non seulement par son action, commune avec toute la Trinité, mais en tant que personne. Les théologiens ont toujours insisté sur la différence radicale entre la procession éternelle des personnes qui est «l’œuvre de nature» selon saint Jean Damascène – l’être même de la Sainte Trinité – et la mission temporelle du Fils et du Saint-Esprit dans le monde, œuvre de la volonté commune aux trois hypostases. En ce qui concerne le Saint-Esprit, les Pères grecs se servent habituellement du verbe κπορεομαι pour désigner sa procession éternelle, tandis que les verbes προημι, προχομαι désignent le plus souvent sa mission dans le monde. Dans le plan éternel, les personnes du Fils et de l’Esprit procèdent du Père «source unique de divinité». Dans le plan de mission temporelle, œuvre de la volonté qui appartient à la substance de la Trinité, le Fils est envoyé par le Père et s’incarne par le Saint-Esprit on peut dire aussi qu’il est envoyé par Lui-même en tant qu’il remplit la volonté d’être envoyé, n’ayant pas de «volonté propre».

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Alevisopoulos A. Das Gute und das Bose in der Sicht Basileios des Grossen im Zusammenhang mit seiner Welterklarung. – Mainz, 1963. Allard P. et Besse J. Basile de Cesaree//Dictionnaire de Theologie Catholique. – Paris, 1905. – T. 2. – P. 441–459. Allard P. M. J. Saint Basile. – Paris, 1903. Amand de Mendieta E. Les ascetiques de Saint Basile de Cesaree. – Louvain, 1935. Amand de Mendieta E. The Unwritten and Secret Apostolic Traditions in the Theological Thought of St. Basil of Caesarea. – Edinburgh, 1965. Bamberger J. Е. «Μνμη-δθεσιζ», the Psychic Dynamisms In Ascetical Theology of St. Basil//Orientalia Christiana Periodica. – Roma, 1968. – 34. – P. 233–251. Basilius, Heiliger der Einen Kirche: Regensburger Oekumenisches Symposium. – Munchen, 1981. Callahan J. F. Greek Philosophy and the Cappadocian Cosmology//Dumbarton Oaks Papers. – Cambridge, 1958. – Vol. 12. – P. 29–57. Clarke W. K. L. Saint Basil the Great: A Study of Monasticism. – Cambridge, 1913. Courtonne J. Saint Basile et l’hellenisme: Etude sur la recontre de la pensee chretienne avec la sagesse antique dans l’Hexaemeron de Basile le grand. – Paris, 1934. Danielou J. Introduction//SChr. – Paris, 1944. – T. 160: Traite de l’creation de l " homme. Doergens H. Der heilige Basilius und die classischen Studien: Eine gymnasial-padagogische Studie. – Leipzig, 1857. Dorries H. De Spiritu Sancto: Der Beitrag des Basilius zum Abschluss des trinitarischen Dogmas. – Gottingen, 1956. Ewell J. L. Basil and Jerome Compared. – New York, 1913. Fedwick P. J. The Church and the Charisma of Leadership in Basil of Caesarea. – Toronto, 1979. Fialon E. Etude historique et litteraire sur Saint Basile, suivie de l’Hexaemeron. – Paris, 1865. Fox M. M. The Life and Times of St. Basil the great as revealed in his Works: a dissertation. – Washington, 1939. Gibson A. G. Saint Basil’s Liturgical Authorship. – Michigan, 1979. Giet S. Les idees et l’action sociales de Saint Basile. – Paris, 1941. Giet S. Saint Basile a-t-il donne une suite aux Homelies de l’Hexaemeron?//Recherches de science religieuse. – Paris, 1946.

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Le soir, le groupe est reparti pour Moscou. Dans sa visite dans la métropole de Nijni Novgorod, le groupe de l’Église copte était accompagné de l’évêque Théophilacte de Dmitrov, prieur du monastère stavropégique Saint-André de Moscou, de l’higoumène Élisabeth (Pozdniakova), supérieure du couvent Marthe-et-Marie, de l’archiprêtre Alexandre Malafeïev (métropole de Nijni Novgorod), et de S. Alferov, du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Le soir du 19 septembre, après une brève halte dans la capitale russe, la délégation est repartie pour Le Caire, accompagnée à l’aéroport par l’archevêque Théognoste de Kachira, président du Département en charge des monastères et du monachisme de l’Église orthodoxe russe, de l’higoumène du monastère de la Conception, mère Julienne (Kaleda), de la supérieure du couvent Marthe-et-Marie, mère Elisabeth (Pozdniakova), du hiéromoine Hermogène (Kortchoukov), du hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du DREE aux relations interchrétiennes, et de R. Akhmatkhanov, employé du DREE. La délégation se composait de : l’évêque Daniel, supérieur du monastère Saint-Paul-de-la-Thébaïde, assistant du patriarche pour les affaires des monastères et du monachisme dans l’Église copte, chef de la délégation ; l’évêque Dametrios ; l’évêque Marcos ; le hiéromoine Dawoud el-Anthony, représentant de l’Église copte en Russie ; Anton Milad, représentant du Patriarcat copte ; l’higoumène Kiria, du monastère Saint-Mercure ; mère Marteria, du monastère Saint-Mercure ; l’higoumène Takla, du monastère Saint-Georges du Vieux-Caire et mère Kiria, du même monastère ; l’higoumène Adroses, du monastère Saint-Théodore, et mère Youana, du même monastère ; l’higoumène Athanasia, du monastère Saint-Georges de Zweila et mère Kiria, du même monastère ; l’higoumène Bacilia, supérieur du monastère de la Sainte-Vierge-Marie d’Haret Zewila du monastère de la Sainte-Vierge-Marie de Nubaria, Elbeheira ; mère Helpes, monastère d’El Batool, Malawi ; mère Wahrany, monastère Sainte-Sara, Elminia ; mère Bestes, monastère Saint-Damien d’Albliana.

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Idem. Jérôme, auditeur d’Apollinaire de Laodicée à Antioche//Revue des Études Augustiniennes, 20 (1974). P. 36–41. Idem. Allegoriae Nubilum chez Saint Jérôme’//Ibid., 22 (1976). P. 82–89. Idem. Saint Jérôme et le triple sens de l’Écriture//Revue des Études Augustiniennes, 26 (1980). P. 214–227. Idem. La datation des premières traductions de l’Ancien Testament sur l’hébreu par saint Jérôme//Ibid., 28 (1982). P. 208–212. Idem. L’exégèse de Saint Jérôme: D’après son Commentaire sur Isaïe. Paris, 1985. Idem. Jérôme à Bethléhem. Les Tractatus in Psalmos//Jérôme entre l’Occident et l’Orient. Paris, 1988. P. 367–380. Idem. Saint Jérôme et la prophétie//Studia Patristica, 18.4 (1990). P. 152–165. Idem. Jerome//Handbook of Patristic Exegesis: The Bible in Ancient Christianity/Ed. C. Kannengiesser. Leiden, 2004. P. 1094–1133. Idem. Jérôme et la pratique de l’exégèse//Le monde latin antique et la Bible. Bible de tous les temps, 2. Paris, 1985. P. 523–541. Jeanjean B. Saint Jérôme et l’hérésie. Paris, 1999. Idem. Saint Jérôme, patron des chroniqueurs en langue latine//Saint Jérôme. Chronique. Continuation de la Chronique d’Eusèbe, années 326–378/Ed. B. Jeanjean, B. Lançon. Rennes, 2004. P. 137–178. Jeanjean B., Lançon B. Introduction//Ibid. P. 15–53. Jérôme entre l’Occident et l’Orient. Actes du Colloque de Chantilly (sept. 1986)/Ed. Y.-M. Duval. Paris, 1988. Jerome of Stridon. His Life, Writings and Legacy/Ed. A. Cain, J. Lössl. Ashgate Publishing Group, Cornwall, G.B., 2009. Johannessohn M. Hieronymus und die jüngeren griechischen Übersetzungen des A.T.//Theologische Literaturzeitung, 73 (1948). S. 145–152. Idem. Zur Entstehung der Ausdrucksweise der lateinischen Vulgate aus den jüngeren alttestamentlichen Übersetzungen//ZNTW, 44 (1952–1953). S. 90–102. Jüngblut R. Hieronymus: Darstellung und Versuchung eines Kirchenvaters. Tübingen, 1967. Kamesar A. Jerome, Greek Scholarship and the Hebrew Bible: A Study of the Questions Hebraicae in Genesim. Oxford, 1993. Idem. San Girolamo, la valutazione stilistica dei profeti maggiori, ed i generi dicendi//Adamantius, 11 (2005). P. 179–183.

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Notre rencontre au Japon est rattachée au 220 e anniversaire de la naissance d’un fidèle enfant de l’Église orthodoxe russe, d’un grand missionnaire, dont les travaux lui valurent le titre d’apôtre de la Sibérie et de l’Amérique. Je veux parler de saint Innocent de Moscou. C’est saint Innocent de Moscou qui, fort de 40 années d’expérience apostolique, sut montrer au jeune hiéromoine Nicolas (Kassatkine), alors âgé de 24 ans, quels efforts entreprendre, sur quoi concentrer ses travaux afin que son ministère au service du peuple japonais donne de bons résultats. Saint Innocent devint missionnaire en 1823. Quoique marié, celui qui était encore le prêtre Jean Veniaminov, fut le seul à ne pas craindre les difficultés et accepta d’entreprendre avec sa famille le long voyage vers le continent nord-américain, pour annoncer l’Évangile aux populations locales. Le Seigneur le récompensa en lui donnant non seulement des enfants dans la chair, mais aussi des dizaines de milliers d’enfants spirituels, auxquels il apporta la lumière de la foi en Christ. Prêchant l’Évangile aux petits peuples du Nord, il étudiait leur langue et leur culture, leurs coutumes et leurs mœurs, ainsi que leurs traditions religieuses. Il créa ainsi un alphabet aléoute, sur la base de l’alphabet cyrillique, composa et publia le premier livre de lecture aléoute, formula les bases de la grammaire de cette langue et traduisit l’Évangile, le catéchisme et les prières et les cantiques les plus usités. Après la mort de son épouse, l’archiprêtre Jean devint moine en 1840 sous le nom d’Innocent. Il fut bientôt consacré évêque, continuant à œuvrer pour répandre la foi chrétienne parmi les peuples du Kamtchatka, des îles Aléoutes, d’Amérique du Nord, de Yakoutie, de la province de Khabarovsk. Saint Innocent donna ainsi un demi-siècle à la mission dans les régions arides du Nord, non sans risquer sa vie. » Le métropolite Hilarion a souligné que saint Innocent resta fidèle à sa vocation missionnaire jusqu’à la fin de ses jours : « Il avait 70 ans lorsqu’il fut transféré à la chaire de Moscou, mais il n’abandonna pas la mission pour autant… C’est grâce au soutien et à la sollicitude de saint Innocent que fut fondée la Mission orthodoxe japonaise, en 1870, confiée à l’archimandrite Nicolas (Kassastkine), futur égal-aux-apôtres. La même année, à la requête du métropolite Innocent, furent fondés les diocèses de Yakoutie, d’Aléoutie et d’Alaska. Saint Innocent comprenait qu’un évêque était nécessaire pour poursuivre l’œuvre missionnaire sur les territoires où s’élevait l’édifice invisible de l’Église du Christ, et se battit donc pour la création d’un diocèse du Japon, à la tête duquel fut placé l’archimandrite Nicolas, devenu évêque. Il mourut cependant quelques mois avant de voir ses efforts couronnés de succès, en 1879. »

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L’incarnation du Verbe est un mystère plus grand, plus profond que celui de la création du monde pourtant l’œuvre du Christ se réalise en rapport avec le contingent, comme une action divine accomplie en conséquence du péché d’Adam. Conséquence préexistante, volonté divine du salut qui précédait la volonté humaine de la chute, ce «mystère caché avant tous les siècles en Dieu» se révélant dans l’histoire comme le mystère de la Croix du Christ, n’est pas, à proprement parler, occasionnel, dans la mesure où la liberté humaine était impliquée dans l’idée de la création. C’est pourquoi cette liberté n’a pu briser l’univers conçu par Dieu: elle se trouva incluse dans un autre plan existentiel, plus vaste, ouvert par la croix et la résurrection. Une nouvelle réalité entre dans le monde, un corps plus parfait que le monde – l’Église, fondée sur une double économie divine: l’œuvre du Christ et l’œuvre du Saint-Esprit, deux personnes de la Trinité envoyées dans le monde. Les deux œuvres sont à la base de l’Église, les deux sont nécessaires pour que nous puissions atteindre l’union avec Dieu. Si le Christ est «le Chef de l’Église qui est son corps», le Saint-Esprit est «Celui qui remplit tout en toutes choses». Ainsi les deux définitions que saint Paul donne de l’Église (Ep 1,23) signalent en elle deux pôles différents, correspondant à deux personnes divines. L’Église est corps en tant que le Christ est son Chef elle est plénitude, en tant que le Saint-Esprit l’anime, la remplit de divinité, car la divinité habite en elle corporellement comme elle habitait dans l’humanité déifiée du Christ. On peut donc dire avec saint Irénée: «où est l’Église, là est l’Esprit où est l’Esprit, là est l’Église 261 .» Cependant, l’Esprit «qui a parlé par les prophètes» n’était jamais étranger à l’économie divine dans le monde où se manifestait la volonté commune de la Sainte Trinité. Il était présent aussi bien dans l’œuvre de la création que dans celle de la rédemption. C’est l’Esprit-Saint qui accomplit tout, selon saint Basile: «Venue du Christ: l’Esprit devance.

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Corpus scriptorum ecclesiasticorum Latinorum (Vindobonae [i.e. Vienna]: Hoelder-Pichler-Tempsky; apud C. Geroldi filium). v. 1 (1866)-. Irregular. V. 25called Nova series, v. 10. Issued by Academia Litterarum Caesarae Vindobonensis, v. 1–70; by Academia Scientiarum Austriaca, v. 71-. Cyril, Saint, Patriarch of Alexandria, ca. 370–444. Cyril of Jerusalem’s Lectures on the Christian Sacraments: The Procatechesis and the Five Mystagogical Catecheses. F. L. Cross, ed. London: S.P.C.K., 1951. xli, 83 p. (Texts for students; n. 51.) Greek text with introduction and translation in English. The translation is that prepared by R. W. Church for the Library of the Fathers. Fifth impression 1978. Bibliography: p. xxxix-xli. Desert Wisdom: Sayings from the Desert Fathers. Selected and translated by Yushi Nomura. Garden City, NY: Doubleday, 1982. xv, 106 p. “Translated from texts found in Patrologia Latina, volume 73, compiled by J. P. Migne, Paris, 1849, and in Patrologia Graeca, volume 65, compiled by J. P. Migne, Paris, 1858.” Ephraem, Syrus, Saint, 303–373. The Harp of the Spirit: Eighteen Poems of Saint Ephrem. Introduction and translation by Sebastian Brock. 2d enlarged ed. San Bernardino, CA: Borgo Press, 1988.89 p. Reprint. Originally published: London: Fellowship of St. Alban and St. Sergius, 1983. (Studies supplementary to Sobornost; n. 4.) Includes bibliographical references (p. 86–89). -. Hymns on Paradise. Commentary and translation from Syriac by Sebastian Brock. Crestwood, NY: St. Vladimir’s Seminary Press, 1989. 240 p. Translation of Hymni de paradiso and Section 2 of Commentarium in Genesim. Explanation by Blessed Theophylact, Archbishop of Ochrid and Bulgaria, of the Holy Gospel according to St. Matthew. Translated from the original Greek. House Springs, MO: Chrysostom Press, 1992. Fathers of the Church [series]. Washington, DC: Catholic University of America Press, 1947-. See especially: 37. John, of Damascus, Saint. Writings: The Fount of Knowledge. (Translated by Frederic H. Chase, Jr. 1958. 1, 426 p. Bibliography: p. xxxviii.) 61, 64. Cyril, Saint, Patriarch of Alexandria, ca. 370–444. The Works of Saint Cyril of Jerusalem. (Translated by Leo P. McCauley and Anthony A. Stephenson. 1969–70. 2 v.) 76–77: Cyril, Saint, Patriarch of Alexandria, ca. 370–444. St. Cyril of Alexandria: Letters. (Translated by Joh n I. McEnerney. 1987. 2 v. Bibliography: v. 1, p. xi-xiii; v. 2, p. xi-xiii.)

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