En mars 2017, la Commission pour la coopération internationale du Conseil présidentiel pour la collaboration avec les associations religieuses a pris la décision de créer un groupe de travail spécial, chargé de coordonner l’activité des communautés religieuses russes pour aider la population de Syrie. Les communautés chrétiennes et musulmanes de Russie, notamment l’Église orthodoxe russe et l’Église catholique romaine ont uni leurs efforts pour collecter des fonds nécessaires pour soutenir la population syrienne. La Déclaration commune du patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie et du pape François de Rome a également lancé un appel en faveur de la paix et de la solidarité en Ukraine. « La hiérarchie de l’Église orthodoxe russe et le Saint-Siège ont souvent souligné que le seul moyen de résoudre le conflit ukrainien était d’appliquer les accords de Minsk, a rappelé le patriarche Cyrille. Il a aussi été déclaré, et c’est important pour parvenir à la concorde interconfessionnelle en Ukraine, que l’uniatisme n’est pas un moyen pour parvenir à l’unité entre les Églises, et que le prosélytisme sous toutes ses formes est inadmissible dans les rapports entre orthodoxes et catholiques. Pour la première fois dans l’histoire, cette condamnation de l’uniatisme et du prosélytisme n’émane pas seulement du côté orthodoxe, mais est aussi exprimée par le chef de l’Église catholique romaine. » Le patriarche a aussi mentionné avec reconnaissance le soutien du Saint-Siège à l’Église orthodoxe ukrainienne. Rome a, en effet, exprimé sa condamnation des projets de loi n° 4128 et 4511, discriminatoires pour la plus grande communauté chrétienne d’Ukraine, qui avaient été portés à la discussion de la Rada. Enfin, le transfert des reliques de saint Nicolas de Bari à Moscou et Saint-Pétersbourg, un évènement sans précédent, a aussi été l’un des résultats positifs de la rencontre de La Havane. « Grâce à l’accord atteint lors de de la rencontre de La Havane, il a été possible de transférer en Russie les reliques de saint Nicolas, qui n’avaient pas quitté Bari depuis 930 ans » a constaté le primat de l’Église orthodoxe russe, rappelant que des millions de fidèles de Russie, de Biélorussie, de Moldavie et d’autres pays sont venus vénérer les reliques durant les deux mois où elles ont restées à Moscou et à Saint-Pétersbourg.

http://mospat.ru/fr/news/47946/

Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le chef de l’Église malankare : nous soutenons l’Église russe sur tous les plans L’Église malankare orthodoxe syrienne de l’Inde est l’une des plus anciennes Églises du monde : selon la légende, elle a été fondée par l’apôtre Thomas en l’an 52. Son primat, le catholicos Basile Mar Thomas Matthieu III s’est rendu ces derniers jours en visite à Moscou et Saint-Pétersbourg. Pendant son séjour, il a accordé une interview exclusive à RIA-Novosti, faisant part de ses impressions sur la Russie et évoquant les événements en Ukraine, la vie des orthodoxes en Inde, les perspectives de développement des échanges avec l’Église orthodoxe russe. – Sainteté, étiez-vous venu en Russie avant 2023 ? – Mon dernier séjour en Russie date des années 1977-1979. A l’époque, je faisais mes études à l’académie de théologie de Léningrad et j’avais visité Moscou. 44 ans plus tard, j’ai enfin la possibilité de revenir à Moscou et Saint-Pétersbourg. Et j’ai pu constater de nombreux changements. – A votre avis, la vie de l’Église orthodoxe russe a-t-elle changé depuis ? – Les dirigeants actuels du pays ont accordé aux orthodoxes plus de liberté pour confesser leur foi. Je pense que les gens en ont heureux. – Comment voyez-vous la position de l’Église russe dans le monde, notamment aujourd’hui, compte tenu des événements en Ukraine ? – L’Église aspire et œuvre à la paix. Tout orthodoxe aspire à la paix. Comment faire la paix, voilà la question. D’un côté, nous voulons la paix, de l’autre nous voyons ce qui se passe en Ukraine, où des milliers de fidèles sont persécutés. Il faut chercher le moyen de régler ce conflit. – Que pense-t-on de l’Église russe dans l’Église malankare, quelle est la valeur de nos relations ? – Les relations entre nos Églises ont été établies dans les années 1950-1960, elles ont déjà plus de 70 ans. Les premiers contacts ont eu lieu à la conférence de l’Assemblée du Conseil œcuménique des églises à Dehli : parmi les représentants de l’Église russe figurait le métropolite Nicodème (Rotov) de Léningrad et de Ladoga. Ensuite, les relations se sont intensifiées, il y a eu des échanges de visites entre représentants et primats. Actuellement, notre amitié est plus solide que jamais : nous considérons l’Église orthodoxe russe comme une Église sœur. Nous tenons à cette amitié. L’Église malankare suit attentivement les progrès de l’Église russe et compatit lorsqu’elle se retrouve dans une situation difficile, lorsqu’elle est critiquée. Nous soutenons l’Église russe sur tous les plans.

http://mospat.ru/fr/news/90747/

Après son décès, le général Dibitsch envoya la dénoneiation àVarsovie; mais comme l’adresse portait à l’empereur Constantin, lui, fidèle et persistant strictement dans sa renonciation au trône, n’ouvrit pas le rapport et l’envoya à Pétersbourg. Sur ces entrefaites le général Dibitsch fit l’acte méritoire de rassembler un conseil des généraux les plus marquans à Taganrog, qui conclut àl’unanimité de sévir en qualité de l’étatmajor-général contre les conspirateurs, et envoya ordre d’arrêter quelques colonels, entre autre le plus taré, Pestel 2. Cela fit éclater l’insurrection de MouraviewApostoll, avec une partie du régiment de Tchernigoff; mais sans cette mesure il у aurait eu peut-être cinq à six régiments à soumettre, au lieu de quelques compagnies. Gloire en soit à Dibitsch d’avoir prévenu une plus forte commotion. A Pétersbourg le nouvel Empereur, par une magnanimité sans exemple, ne voulait pas profiter du manifeste posthume d’Alexandre et de la renonciation du Grand-Duc, et fut le premier à prêter serment à l’empereur Constantin, pendant que celui-ci en prêtait un à Varsovie à lempereur Nicolas; et, persistant dans sa déférence aux arrangemens pris avec son défunt frère, il réitéra avec instance sa renonciation formelle au trône. D’après cela le nouveau Monarque songeait à concilier son manifeste avec des mesures qui ne pussent pas choquer le serment prêté tout récemment par tout l’Empire; mais le gouverneurgenéral Miloradowitsch vint lui annoncer qu’on remarquait des menées sourdes, indiquant quelque projet sinistre, et qu’il fallait se prononcer plus promptement. Là-dessus parut le nouveau manifeste de Nicolas I-er et toutes les pièces у attenantes, et le 14 (26) décembre fut désigne pour la prestation de serment et d’hommage à lacour. Toute la cour était en grand galà, l’Empereur et tous les généraux en grande tenue, avec toutes leurs décorations, quand tout à coup on vint annoncer au Monarque que le régiment de Moscou s’était refusé au serment, avait maltraité le géneral Fréderichs et se dirigeait sur la place du Sénat avec des mouvemens séditieux. L’Empereur descend au corps de garde, fait chargerles fusils des fonctionnaires et donne des ordres pour faire arriver plusieurs régimens de la garde et le bataillon des saneurs, auquel il confie les avenues du palais. Il envoie le comte Miloradowitsch apaiser les insurgés, auxquels s’étaient join tes plusieurs personnes de différens services et en fracs, quelque peu de soldats de l’équipage marin et des leibgrenadiers.

http://azbyka.ru/otechnik/Aleksej_Homyak...

Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le Patriarche Sa Sainteté Cyrille, patriarche de Moscou et de toute la Russie Le dialogue de l’Église avec un monde qui lui est étranger fait partie intégrante de la mission orthodoxe. Celle-ci n’est pas toujours une prédication directe de la Parole de Dieu. Cependant, elle aide des millions d’hommes à voir l’orthodoxie de différents points de vue, notamment à en sentir la beauté et la force. Données biographiques générales Sa Sainteté le patriarche Cyrille (Vladimir Mikhaïlovitch Goundiaev) est né le 20 novembre 1946 à Leningrad de : Il a un frère aîné, l’archiprêtre Nikolaï Goundiaev, professeur de l’Académie de théologie de Saint-Pétersbourg, recteur honoraire de la cathédrale de la Transfiguration-du-Sauveur de Saint-Pétersbourg. Son grand-père, le prêtre Vassili Stepanovitch Goundiaev, prisonnier du camp des îles Solovki, a été condamné à plusieurs peines d’emprisonnement et de déportation dans les années 1920, 1930 et 1940 pour son engagement religieux et sa lutte contre le schisme des rénovateurs. Après la 8e classe, V. Goundiaev a travaillé à l’Expédition géologique complexe de Leningrad (Direction géologique du Nord-Ouest). De 1962 à 1965, il a rempli les fonctions de technicien-cartographe, poursuivant en même temps ses études dans l’enseignement secondaire. Son curcus scolaire terminé, en 1965, il entre au Séminaire de Leningrad, puis à l’Académie de théologie de Leningrad. Il termine sa formation en 1970 avec le titre de docteur en théologie. Le 3 avril 1969, il est tonsuré moine par le métropolite de Leningrad et de Novgorod Nicodème (Rotov) et reçoit le nom de Cyrille. Le 7 avril, il est ordonné hiérodiacre par le même métropolite, puis hiéromoine le 1er juin de la même année. De 1970 à 1971, il enseigne la théologie dogmatique et est assistant de l’inspecteur du Séminaire et de l’Académie de Leningrad. Il est en même temps secrétaire particulier du métropolite Nicodème de Leningrad et de Novgorod, chef de classe pour les étudiants en 1e classe de séminaire.

http://mospat.ru/fr/patriarch/

Vous savez ce qui nous arrive; à Pétersbourg le peuple s’est imaginé qu’on l’empoisonnait. Les gazettes s’épuisent en semonces et en protestations, malheureusement le peuple ne sait pas lire, et les scènes de sang sont prêtes à se renouveler. Nous sommes cernés à Sarsko-Sélo et à Pavlovsky et nous n’avons aucune communication avec Pétersbourg. Voilà pourquoi je n’ai vu ni Bloudof, ni Bellizard. Votre manuscrit est toujours chez moi; voulez-vous que je vous le renvoye? mais qu’en ferez-vous à Necropolis? laissez-le moi encore quelque temps. Je viens de le relire. Il me semble que le commencement est trop lié à des conversations antécédentes, à des idées antérieurement développées, bien claires et bien positives pour vous, mais dont le lecteur n’est pas au fait. Les premières pages sont donc obscures et je crois que vous feriez bien d’y substituer une simple note, ou bien d’en faire un extrait. J’étais prêt à vous faire remarquer aussi le manque d’ordre et de méthode de tout le morceau, mais j’ai fait réflexion que c’est une lettre, et que le genre excuse et autorise cette négligence et ce laisser-aller. Tout ce que vous dites de Moïse, de Rome, d’Aristote, de l’idée du vrai Dieu, de l’Art antique, du protestantisme est admirable de force, de vérité ou d’éloquence. Tout ce qui est portrait et tableau est large, éclatant, grandiose. Votre manière de concevoir l’histoire m’étant tout à fait nouvelle, je ne puis toujour être de votre avis; par exemple je ne conçois pas votre aversion pour Marc-Aurèle, ni votre prédilection pour David (dont j’admire les psaumes, si toutefois ils sont de lui). Je ne vois pas pourquoi la peinture forte et naïve du polythéisme vous indignerait dans Homère. Outre son mérite poétique, c’est encore, d’après votre propre aveu, un grand monument historique. Ce que l’Illiade offre de sanguinaire, ne se retrouve-t-il pas dans la Bible? Vous voyez l’unité chrétienne dans le catholicisme, c’est à dire dans le pape. — N’est-elle pas dans l’idée du Christ, qui se retrouve aussi dans le protestantisme. L’idée première fut monarchique; elle devint républicaine. Je m’exprime mal, mais vous me comprendez. Ecrivez-moi, mon ami, dussiez-vous me gronder. Il vaut mieux, dit l’Ecclésiaste, entendre la correction de l’homme sage que les chansons de l’insensé.

http://predanie.ru/book/221016-pisma/

Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Visite de travail du métropolite Hilarion de Volokolamsk à Chypre Le 25 mars 2017, avec la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, et à l’invitation du métropolite Isaïe de Tamassos et d’Oreini, le président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou est arrivé à Chypre pour participer à l’inauguration de la nouvelle église russe d’Episkopi (métropole de Tamassos, Église orthodoxe de Chypre), dédiée à saint André et à tous les saints de la terre russe. Le métropolite est accompagné de l’archiprêtre Igor Iakimtchouk, secrétaire du DREE aux relations interchrétiennes, du prêtre Anatole Tchouriakov, employé du DREE, et du hiérodiacre Nicolas (Ono), assistant du métropolite. Le dimanche 26 mars, Mgr Hilarion a concélébré avec le métropolite Isaïe et l’archevêque Ambroise de Peterhof, recteur de l’Académie de théologie de Saint-Pétersbourg, la première Divine liturgie dans la nouvelle église. Des clercs des Églises orthodoxes russe et chypriote concélébraient également. L’office était célébré en présence du métropolite Niphon de Philippopolis (Patriarcat d’Antioche), de l’évêque Antoine de Moravici (Patriarcat de Serbie), du métropolite Nicolas de Plovdiv (Patriarcat de Bulgarie), du métropolite Théoclète de Vrestheni (Église orthodoxe de Grèce), de l’ambassadeur russe à Chypre, S. V. Ossadtchi, de représentants des autorités publiques locales. Les chants étaient interprétés par le chœur des écoles de théologie de Saint-Pétersbourg. A la fin de la Liturgie, le métropolite Isaïe a salué l’assistance, disant sa joie de cette première liturgie dans l’église russe, dont la construction était prévue depuis longtemps. En mémoire de cet évènement, Mgr Isaïe a offert au président du DREE une icône de saint André et de tous les saints russes.

http://mospat.ru/fr/news/48625/

Revenant sur le cheminement des deux saints, le président du DREE a souligné leur contribution à la connaissance scientifique de la langue et des coutumes des pays où le Seigneur les envoya prêcher Sa parole. « Saint Nicolas, dans une lettre à saint Innocent, écrivait : « La science m’a longtemps attiré ; l’histoire japonaise et toute la littérature japonaise sont des trésors absolument intouchés, il suffit de puiser à pleines mains, tout sera nouveau, intéressant pour les Européens, et ce travail ne sera pas perdu. » De fait, les ouvrages de saint Nicolas ont fait sensation dans le monde des sciences orientales russes et ont été un véritable évènement pour la recherche littéraire de son temps » a constaté Mgr Hilarion. Cependant, la mission était une priorité absolue, souligne le métropolite : « Saint Nicolas déployait tous les efforts possibles et imaginables pour que les Japonais créent leur propre monde spirituel, aient leur Église. Cette aspiration est directement inspirée de l’école missionnaire de saint Innocent (Veniaminov), lequel se distinguait par son ouverture, son accessibilité, sa simplicité dans les échanges, sa douceur et sa tolérance envers le gens, par sa volonté de donner à chacun un espace de créativité et d’initiative. » Le métropolite Hilarion a terminé sa communication en citant le patriarche Serge (Stragorodski) de Moscou et de toute la Russie, qui œuvra en son temps à la mission au Japon : « L’orthodoxie, c’est le christianisme dans toute sa plénitude et dans toute sa simplicité… Comme un don du ciel, et non de la raison humaine, elle est au-dessus du monde et n’est pas déterminée par lui. Au contraire, elle veut renouveler le monde. Par conséquent, ici, en Orient, l’orthodoxie peut certainement pénétrer dans la conscience nationale, comme elle a su pénétrer en Europe, et elle deviendra ainsi la foi japonaise, comme elle est devenue en Europe la foi grecque ou russe, etc., à condition seulement que rien ne trouble sa pureté originelle. » Ont ensuite présenté à leur tour un exposé sur différents aspects de la mission de saint Innocent de Moscou et de saint Nicolas du Japon : le métropolite Daniel de Tokyo et de tout le Japon, chef de l’Église orthodoxe japonaise autonome, l’archevêque Séraphin de Sendai, l’higoumène Jean (Roubine, recteur du séminaire Saint-Nicolas-d’Ougrecha, des clercs de l’Église orthodoxe japonaise autonome et des diocèses de la région de Moscou, de Saint-Pétersbourg, de Kasimov et de Rjev (Église orthodoxe russe), ainsi que des enseignants et des collaborateurs de l’Institut d’Extrême-Orient de l’Académie des sciences russe, de l’Université de Tokyo, de l’Institut des pays d’Asie et d’Afrique de l’Université Lomonosov de Moscou, du Conservatoire de Moscou, des séminaires de Saint-Pétersbourg et de Saint-Nicolas-d’Ougrecha.

http://mospat.ru/fr/news/48047/

9. Дамаск: Baumstark A. Syrische und syrisch-arabische Handschriften in Damaskus. ОС 5 (1905). P. 321−331. 10. Диарбекир (Турция): Vosté J. M. Notes sur les manuscrits syriaques de Diarb. et autres localités d " Orient. Mus. 50 (1937). P. 345−351; Scher A. Notice sur les manuscrits syriaques et arabes conservés à l " archevêché chaldéende Diakbékir. JA 10, 10 (1907). P. 331−362, 385−431 11. Индийский департамент (Лондон) (India Office): Furlani G. II manuscritto siriaco 9 dell " India Office. RSO 10 (1924). P. 315−320 12. Иерусалим: Chabot J. В. Notices sur les manuscrits syriaques conservés dans la bibliothèque du Patriarcat grec orthodoxe de Jérusalem. JA 9, 3 (1894). P. 92−132; Κοικνλδης Κ. Κατλογος συνοπτικς των εν τη βιβλιοθκη του ιερο κοινο το Αγου Τφου ποκειμνων συριακν χειρογρφων. Βερολνο, 1898; Монастырь св. Марка: Baumstark Α. Die liturgischen Handschriften des jakobitischen Markruskloster in Jerusalem. ОС 2, 1 (1911). S. 103−115, 286−314; Baumstark Α. Graf С, Rücker Α. Die literarischen Handschriften des jakobitischen Markuskloster in Jerusalem. ОС 2, 2 (1912). S. 120−136, 317−333; 2, 3 (1913). S. 128−134, 311−327; Несторианский монастырь: Rücker А. Ein alter Handschriftenkatalog des ehemaligen nestorianischen Klosters in Jerusalem. ОС 3, 6 (1931). S. 90−96. 13. Киркук (Ирак): Vosté J. M. Catalogue des manuscrits syro-chaldéens. OCP 5 (1939). P. 72−102. 14. Флоренция, Лаврентианская библиотека: Awemaw. Е. Bibliothecae Medicaeae Laurentianae et Palatinae codicum manuscriptorum orientalium catalogus. Florentiae, 1742; Cecchelli C, Furiani G., Salmi M. The Rabbuia Codex. Editio facsimile et studia. Olten-Lausanne, 1959; Botte В. Notes sur l " Evangéliaire de Rabbuia. Rev. Sc. Rel. 36 (1962). P. 13−26. 15. Санкт-Петербург: Catalogue des manuscrits et xylographes orientaux de la Bibliothèque Imperial publique de St. Pétersbourg. St. Pétersbourg, 1852; Goussen H. Über die syrischen Handschriften in Leningrad. ОС 3, 1 (1927). S. 169−173; Pigulevskaja N. V. Sur le manuscript syriaque de l " Histoire Ecclésiastique d " Eusèbe de Cesaree de la Bibliothèque publique. Orientalia. Fase. 1. Leningrad, 1926. P. 115−122; Eadem. Manuscrits syriaques bibliques de Leningrad. Rev. Bibl. 46 ( 1937). P. 83−92, 217−230, 373−400, 556−562; 47 (1938). P. 83−89, 214−227; Пигулевская H. В. Каталог сирийских рукописей Ленинграда. Палестинский сборник. Вып. 6 (69). М.; Л., 1960.

http://azbyka.ru/otechnik/Patrologija/si...

Скачать epub pdf Préface Soixante ans après sa première parution, l’Essai sur la théologie mystique de l’Église d’Orient de Vladimir Lossky (1903–1958) jouit toujours d’un rayonnement exceptionnel. Cet exposé de l’essentiel de la foi orthodoxe est devenu un manuel et, pour beaucoup de ceux qui s’intéressent à la tradition orientale de l’Église, un véritable livre de chevet. En 1922, Nicolas Lossky, célèbre philosophe à l’université de Saint-Pétersbourg, est expulsé de Russie. Il embarque avec toute sa famille à bord du fameux «navire philosophique». Vladimir, son fils, est alors âgé de dix-neuf ans. Les Lossky s’installent à Prague, où ils resteront jusqu’en 1944. Dès ses études à Saint-Pétersbourg, Vladimir Lossky avait été initié à la théologie patristique et à la pensée du Moyen Âge français. En 1924, il obtient une bourse et se rend à Paris pour achever ses études à la Sorbonne. Il devient disciple et ami des grands médiévistes Ferdinand Lot et Étienne Gilson. Ses études sont couronnées par une thèse sur le mystique rhénan Maître Eckhart, qui demeurera l’objet principal de sa recherche 1 . «Vladimir Lossky était donc bien un Russe exilé, et toute sa vie il est resté très russe, tout en disant qu’il avait toujours été un “occidentaliste” convaincu et que, pour lui, être Russe signifiait avoir un sens cosmopolite du mariage des cultures et se sentir “chez soi” partout dans le monde 2 .» La tension entre le Russe exilé et l’ «occidentaliste» convaincu permet de mieux comprendre le théologien Lossky. Tout son enseignement en dogmatique et en histoire de l’Église a été dispensé en français. Toute son œuvre théologique a été écrite en français à la demande de ses amis catholiques, anglicans ou protestants pour présenter la théologie orthodoxe. C’est dans ce contexte de dialogue œcuménique que naîtra, en 1944, l’Essai sur la théologie mystique de l’Église d’Orient. Il a pour origine une série de conférences sur la théologie orientale données à Paris quelques mois auparavant. Le livre est donc rédigé directement en français par un auteur orthodoxe baigné dans la tradition occidentale. Il est adressé aux intellectuels occidentaux pour leur exposer l’essentiel de ce qu’enseigne l’Église orthodoxe. C’est la première présentation de l’orthodoxie de ce genre.

http://azbyka.ru/otechnik/Vladimir_Lossk...

Patriarcat de Moscou Département des relations ecclésiastiques extérieures Patriarcat de Moscou Département des relations ecclésiastiques extérieures Le Département Histoire du département Contacts Documents Archives Analyse Actualité Le Patriarche Le Président du Département Réseaux sociaux Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Actualité Une délégation venue de l " Inde a visité le&nb… Une délégation venue de l " Inde a visité le département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou Le 16 août 2021, une délégation de l " Église malankare indienne a visité le département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. La délégation était composée du professeur du Séminaire de Kottayam, le prêtre Bijesh Philip, du conservateur des programmes sociaux de l " Église malankare, Jacob M. Shaji, et du partenaire de vieille date de l " Église orthodoxe russe en matière de développement de l " interaction avec les chrétiens en Inde, le docteur Cherian Eapen. Les invités ont été reçus par le secrétaire du département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou pour les relations entre les chrétiens, le hiéromoine Stéphane (Igumnov). Un membre du secrétariat pour les relations entre les chrétiens, le hiérodiacre Pierre (Akhmatkhanov), a également pris part à la rencontre. Divers aspects des relations actuelles entre l " Église orthodoxe russe et l " Église malankare ont été discutés, y compris des projets communs dans les domaines social et universitaire et dans le domaine d " échanges d " étudiants qui sont menés par le biais du groupe de travail sur le développement des relations bilatérales. En plus de visiter le département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, le programme de la délégation incluait un pèlerinage vers des lieux saints. Ainsi, la délégation a visité des églises et des monastères à Moscou et dans la région de Moscou : la cathédrale du Christ-Sauveur, le couvent de l " Intercession, le monastère Sretenski, le monastère Saint-Daniel, la laure de la Trinité-Saint-Serge, les sanctuaires de la métropole de Saint-Pétersbourg, les Académies théologiques de Moscou et de Saint-Pétersbourg, où la délégation a été chaleureusement accueillie.

http://mospat.ru/fr/news/87889/

   001    002    003    004    005    006    007    008    009   010