Nous sommes particulièrement inquiets du sort des chrétiens du Proche Orient, forcés de quitter en masse leurs terres natales. Cela concerne l’Irak, où les chrétiens sont essentiellement soumis à un génocide programmé et massif. Cela concerne aussi la Lybie, l’Égypte et les régions de Syrie actuellement contrôlées par les rebelles. Aujourd’hui, même les puissances occidentales sont horrifiées devant ce qui se passe au Proche Orient avec leur aide directe. Lorsque les rebelles du soi-disant « État islamique » prennent des villes, exterminent les habitants, tuent des enfants, même en Occident on commence enfin à réfléchir à ce qui se passe et à ce qu’il faudrait faire. Vous savez que la position de l’Église orthodoxe russe, de même que la position de l’État russe n’a pas changé. Elle est restée conséquente depuis le début, ferme et claire. Nous ne soutenons pas une force politique en Syrie, mais le peuple syrien. Et nous nous prononçons contre le fait que d’autres pays décident du sort de la Syrie et de son peuple. Nous continuerons à défendre cette position par la suite. Nous sommes désolés de ce que des églises chrétiennes et des monastères soient attaqués, que des sanctuaires chrétiens soient détruits. Nous sommes inquiets du sort des deux métropolites disparus depuis près d’un an et demi et dont nous ne savons rien depuis. Nous avons été profondément bouleversés par la tragédie de la ville de Maaloula et par l’enlèvement des moniales du monastère Sainte-Thècle. Nous vous assurons une fois de plus que l’Église orthodoxe russe continuera à soutenir le peuple syrien à l’avenir. Nous avons reçu il y a quelques temps une lettre inquiétante du Patriarche Jean d’Antioche, à laquelle nous avons, naturellement, donné suite. Nous avons recueilli plus d’un million de dollars et les avons remis aux représentants syriens. Nous collaborons avec notre ministère des Situations d’urgence et avec la Société impériale orthodoxe de Palestine pour la préparation des convois humanitaires régulièrement acheminés en Syrie. »

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le président du DREE a exprimé ses condoléances après l’attentat visant des enfants de l’Église copte, à El-Minya Dans un message au chef de l’Église copte, S. S. le pape d’Alexandrie et patriarche du trône de saint Marc dans toute l’Afrique et au Proche Orient, Tawrados II, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a exprimé ses condoléances après l’attentat commis à Al-Minya, dans le sud de l’Égypte. Des pèlerins coptes se rendaient au monastère Saint-Daniel, lorsque leur car a été la cible de tirs. Au moins 28 personnes sont mortes, plus de vingt ont été blessées. Sainteté, Recevez mes profondes condoléances à la suite de la mort d’enfants de l’Église copte du fait d’une attaque terroriste commise aujourd’hui à Al-Minya. Les terroristes ont attaqué un autocar transportant des pèlerins et des personnes souhaitant travailler pour l’antique monastère Saint-Samuel. Parmi eux, beaucoup d’enfants. Une fois de plus, la terre d’Égypte rougit du sang de chrétiens innocents. Cette tragédie vise à détruire la paix et la concorde dans la société égyptienne, à semer le chaos et la haine interreligieuse dans le pays. Aujourd’hui, une vague de terreur s’abat sur le monde entier. Les récents évènements de Manchester, des Philippines et, maintenant, cette énième attaque en Égypte, en sont les dernières manifestations. Je partage entièrement votre opinion, exprimée lors de votre rencontre avec S. S. le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie il y a seulement quelques jours. Vous avez remarqué que le terrorisme international était un problème global et qu’il fallait employer trois moyens pour le contrer : l’instruction, le dialogue interreligieux et des efforts dans le domaine législatif. Nous prions pour que les mesures prises aujourd’hui par l’état égyptien pour s’opposer au terrorisme aient du succès, et que tous les membres de la communauté internationale prennent conscience que le terrorisme n’a pas et ne peut avoir aucune justification : c’est un mal absolu, contre lequel le monde entier doit s’unir. Avec mon amitié dans le Christ, Le président du Département des relations ecclésiastiques extérieures Du Patriarcat de Moscou, Métropolite Hilarion de Volokolamsk Publication imprimée Partager: Page is available in the following languages Retour d " information

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Le patriarche Cyrille écrit régulièrement aux chefs d’état pour les prier de gracier des chrétiens menacés de la peine de mort. Aucun d’eux n’a été exécuté, certains ont été graciés et relâchés. En 2015, à l’initiative du Patriarcat de Moscou, du Vatican, de la Russie et du Liban, 65 pays du monde ont adopté à l’ONU une déclaration de soutien aux droits des chrétiens du Proche-Orient. Cette déclaration a constitué une ouverture dans le blocus informationnel entourant ce problème. Après la rencontre du patriarche Cyrille et du pape François, en février 2016, le génocide des chrétiens a été officiellement reconnu aux États-Unis. L’Église orthodoxe russe soulève le problème des persécutions contre les chrétiens dans son dialogue avec les communautés musulmanes et juives. Il en a été question, notamment, avec les leaders islamiques d’Égypte, d’Irak, de Syrie, du Maroc, d’Iran, d " Azerbaïdjan et de Turquie. Depuis la déclaration commune du patriarche Cyrille et du pape François, en 2016, l’Occident désigne ouvertement la tragédie des chrétiens de Syrie comme un génocide. Des déclarations en ce sens ont été faites au Département d " État du Congrès des États-Unis. Une étape concrète dans le dialogue orthodoxe-catholique a été la visite de représentants de l’Église orthodoxe russe et de l’Église catholique romaine au Liban et en Syrie, en avril 2016. Les consultations avec les représentants des confessions locales, effectuées pendant ce séjour, ont permis d’élaborer des projets communs pour soutenir les chrétiens en détresse. En 2017, à la suite de l’appel lancé à La Havane, orthodoxes et catholiques ont organisé plusieurs manifestations de défense des chrétiens du Proche-Orient. Ainsi, en janvier 2017, le V Forum européen orthodoxe-catholique, à Paris, avait pour thème la menace terroriste, et la situation au Proche-Orient, qui concerne des millions de personnes dans le monde entier. Un autre évènement marquant a été le Sommet pour la défense des chrétiens persécutés, en mai 2017, à Washington. Il a rassemblé 600 délégués venus de 136 pays. Le Sommet était organisé à l’initiative de l’Église orthodoxe russe et de l’Association évangélique Billy Graham. Des représentants des Églises orthodoxes, de l’Église catholique romaine, de différentes dénominations protestantes, ainsi que des Églises orientales y étaient invités.

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Le 23 mars, fête de saint Théodore le Conscrit, les victimes de l’attentat ont été commémorées pendant la Divine Liturgie à l’église de la représentation de l’Église russe à Sofia. Le 24 mars, dimanche du Triomphe de l’orthodoxie, l’exarque patriarcal d’Asie du Sud-Est a célébré la Liturgie à l’église Saint-Vladimir de Bekasi (Indonésie). L’archipasteur a prié pour le rétablissement des blessés et le repos de l’âme des innocents tués dans l’attaque terroriste de la salle de concert Crocus City Hall, à Krasnogorsk. Les mêmes prières d’intercession ont été dites dans toutes les églises du diocèse de Singapour : à Singapour, en Indonésie et en Malaisie. La liturgie a été suivie du rite propre au dimanche du Triomphe de l’Orthodoxie. Le 23 mars, l’exarque patriarcal d’Europe occidentale, le métropolite Nestor de Chersonèse et d’Europe occidentale, administrateur temporaire du diocèse d’Espagne et du Portugal a célébré à la cathédrale Sainte-Marie-Madeleine de Madrid un office à la mémoire de toutes les victimes de l’attentat du Crocus City Hall. Le même jour, à la cathédrale de la Sainte-Trinité de Paris, une Divine Liturgie et une pannychide ont été célébrées, pendant lesquelles le clergé et les paroissiens ont prié pour le repos de l’âme des victimes de cette tragédie et pour le rétablissement des blessés. Par ailleurs, le métropolite Nestor a donné sa bénédiction aux évêques et au clergé de l’Exarchat patriarcal d’Europe occidentale de célébrer les 23 et 24 mars dans toutes les églises et paroisses de l’Exarchat sans exception des offices à la mémoire des victimes. « La compassion, la miséricorde, notre foi dans le Seigneur Jésus, qui a souffert pour nous et souffre avec nous, notre prière commune, voilà notre réponse à la cruauté satanique et insensée, à l’inhumaine barbarie », a déclaré le métropolite Nestor. Pendant la liturgie dominicale du 24 mars, dans toutes les paroisses du diocèse de Souroge, des prières d’intercession ont été dites pour la santé des blessés dans l’acte terroriste de Krasnogorsk, ainsi que pour le repos de l’âme des serviteurs de Dieu innocents, tués pendant l’attentat. Suivant le site diocésain, « l’évêque Matthieu de Souroge partage avec le plérôme de l’Église orthodoxe russe la douleur des parents et des proches des victimes innocentes et prie ardemment pour le rétablissement des personnes blessées le 22 mars au Crocus City Hall. »

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  Plus nous sommes proches de Dieu, plus nous sommes proches les uns des autres : la foi en Christ et l’amour du Christ unissent, ils ne divisent pas. Nous n’avons jamais divisé nos fidèles en fonction de leur nationalité.   Le sang d’innocents répandu à Kiev en février dernier a été une tragédie pour l’Ukraine. La justice de Dieu comme la justice des hommes exigent une enquête immédiate et approfondie de cette catastrophe. Cependant, les hommes politiques ukrainiens ne partagent pas tous la même opinion sur cette question, comme d’ailleurs sur de nombreux autres problèmes concernant le sort de l’Ukraine et du peuple ukrainien. Dans cette situation, le rôle de l’Église n’est pas de parler fort, mais de prier et de compatir.   -          Certains affirment que l’Église orthodoxe et l’état russe sont trop étroitement liés. Dans quelle mesure est-ce exact et en quoi ces relations affectent-elles la vie de l’Église et son intégrité (ou le contraire), en particulier lorsqu’il s’agit d’un problème comme la souveraineté de l’Ukraine ?   -          L’Église orthodoxe russe et l’état russe entretiennent des relations de respect mutuel, fondées sur les principes de coopération et de non-ingérence dans les affaires internes l’un de l’autre. Mais notre Église entretient le même type de relation avec beaucoup d’autres états sur le territoire desquels elle exerce sa mission. L’Église est le corps du Christ, elle vit suivant les lois instituées par Dieu, suivantr les valeurs spirituelles et morales indiquées dans la Révélation Divine. Son ministère est concentré sur le soin de ses fidèles, la défense et la diffusion des principes moraux traditionnels dans la vie personnelle et la vie publique, l’éducation spirituelle. L’Église orthodoxe russe et l’état n’interfèrent pas dans les affaires l’un de l’autre. Cependant, cela ne veut pas dire que l’Église peut être indifférente au développement de la situation en Ukraine. Kiev est le berceau du christianisme sur le sol de la Rus’ historique. L’Église orthodoxe ukrainienne, qui dispose d’une entière autonomie administrative, fait partie intégrante de l’Église orthodoxe russe locale. C’est pourquoi nous faisons de la douleur du peuple ukrainien croyant une douleur personnelle. Nous sommes profondément inquiets des manifestations d’agressivité envers nos frères et sœurs ukrainiens de la part d’extrémistes. En ces jours, nous prions pour que cesse au plus vite le conflit civil en Ukraine, pour que le peuple ukrainien revienne à une vie paisible.

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Aucun processus intérieur en Dieu, aucune «dialectique» des trois personnes, aucun devenir, aucune «tragédie dans l’Absolu» qui nécessiterait, pour être surmontée ou résolue, le développement trinitaire de l’être divin. Ces conceptions, propres aux traditions romantiques de la philosophie allemande du siècle dernier, sont totalement étrangères au dogme de la Trinité. Si l’on parle des processions, des actes ou déterminations intérieurs, ces expressions qui impliquent l’idée du temps, du devenir, de l’intention, montrent seulement à quel point notre langage, notre pensée même, sont pauvres, déficients devant le mystère primordial de la Révélation. De nouveau on est obligé de faire appel à la théologie apophatique, afin de se libérer des concepts propres à la pensée, tout en les transformant en supports à partir desquels on s’élèverait à la contemplation d’une réalité que l’intelligence créée ne peut contenir. C’est dans cet esprit que saint Grégoire de Nazianze s’exprime dans son oraison sur le baptême: «Je n’ai pas commencé de penser à l’Unité que la Trinité me baigne dans sa splendeur. Je n’ai pas commencé de penser à la Trinité, que l’Unité me ressaisit. Lorsqu’un des Trois se présente à moi, je pense que c’est le tout, tant mon œil est rempli, tant le surplus m’échappe car dans mon esprit trop borné pour comprendre un seul, il ne reste plus de place à donner au surplus. Lorsque j’unis les Trois dans une même pensée, je vois un seul flambeau, sans pouvoir diviser ou analyser la lumière unifiée 64 .» La pensée doit se mouvoir sans cesse, courir tantôt à l’un, tantôt aux trois, revenir de nouveau à l’unité elle doit osciller sans arrêt entre les deux termes de l’antinomie pour atteindre à la contemplation du repos souverain de cette monade trine. Comment faire tenir dans une image l’antinomie de l’unité et trinité ? Comment faire saisir ce mystère, si ce n’est à l’aide d’une idée impropre, celle du mouvement, du développement ? Et le même auteur emprunte consciemment le langage de Plotin, qui ne peut tromper que les esprits bornés incapables de s’élever au-dessus des concepts rationnels, esprits de critiques et d’historiens préoccupés de chercher dans la pensée des Pères le «platonisme» ou «l’aristotélisme».

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-        Selon vous, est-il possible de surmonter des divergences de plusieurs siècles, et si oui, comment ? -        Certes, plus la division s’éternise, plus il est difficile d’en venir à bout. Dans le cas des vieux-croyants, il n’y a pas eu seulement des divergences, mais aussi des persécutions de la part des autorités, parfois d’une extrême violence, ayant coûté la vie à des milliers de personnes, en obligeant d’autres à fuir le pays. Il n’est pas facile de panser les blessures de la mémoire historique. Cependant, l’Église orthodoxe russe a déjà l’expérience. Depuis 1800, elle abrite ce qu’on appelle des communautés d’ancien rite, ou coreligionnaires : ce sont des vieux-croyants réunis à l’Église, qui prient suivant l’ancien rite russe, tout en étant en communion canonique avec la hiérarchie orthodoxe. Le nombre de ces paroisses augmente progressivement. Un Centre patriarcal de tradition liturgique russe ancienne a même été fondé à l’église de l’Intercession de Roubtsovo ; on y publie de la littérature à l’usage des paroisses d’ancien rite, on y forme les lecteurs et les chantres, on y étudie la musique médiévale et l’histoire de la liturgie. -          Où en sont actuellement les relations du Patriarcat de Moscou avec les vieux-croyants ? -        La hiérarchie de l’Église orthodoxe russe est pleinement consciente des conséquences du schisme du XVII e siècle, qu’elle considère comme une tragédie nationale. Elle ne manque donc jamais une occasion de contribuer à la résolution des problèmes qu’il a créés. Quant aux relations, elles ne sont pas seulement au niveau officiel, entre Églises, mais aussi entre personnes. De ce point de vue, depuis le Concile de 1971, la situation est favorable, la méfiance disparaît peu à peu. Il faut dire que la réunification de nombreux vieux-croyants à l’Église orthodoxe russe, parfois par familles entières, est un phénomène notoire dans la Russie d’aujourd’hui. -        L’Église orthodoxe russe reconnaît-elle la hiérarchie de l’Église vieille-ritualiste ?

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion a comparé les lois sur l’auto-identification de genre au conte du roi nu Plusieurs pays européens cherchent à adopter des lois sur l’auto-identification de genre, permettant aux personnes le désirant de changer de sexe sur le plan administratif, sur la foi d’une simple déclaration. Si cette législation est adoptée, une opération ou une thérapie hormonale ne seront même plus nécessaires pour qu’un homme soit officiellement reconnu comme une femme. Commentant cette tendance, à la demande de la présentatrice de télévision E. Gratcheva, dans l’émission « L’Église et le monde », le métropolite Hilarion de Volokolamsk a remarqué que les Russes ne se rendaient pas compte de l’ampleur de ce phénomène, auquel est confrontée la société occidentale. « Le changement de sexe, qu’on peut obtenir par les moyens les plus différents, est, en réalité, une fraude, a souligné Mgr Hilarion. L’homme ne peut pas changer de sexe. Il peut modifier son apparence et ses caractéristiques sexuelles secondaires, mais un homme ne deviendra jamais pleinement une femme pouvant, par exemple, concevoir et donner naissance à un enfant ; et une femme ne sera jamais pleinement un homme. » Ainsi, les manipulations conduisant au « changement de sexe » sont « une fraude de A à Z, une fraude qui coûte cher et qui handicape les gens » a résumé le métropolite. Selon lui, l’accessibilité de ces manipulations à des personnes très jeunes, voire, dans certains pays, à des enfants, est une véritable tragédie. A présent, on propose au niveau législatif une nouvelle façon de « transformer » un homme en femme ou une femme en homme, simplement en changeant de papier d’identité, remarque le hiérarque. Selon lui, cette situation n’est pas sans rappeler le conte du roi nu, auquel on faisait croire qu’il était magnifiquement vêtu, alors qu’il était nu, l’obligation de son entourage consistant à lui répéter qu’il était splendide dans « ses vêtements royaux ». « Quelque chose d’approchant se produit en ce moment en Occident, a souligné le métropolite Hilarion. On peut, même sans opération chirurgicale, même sans changement extérieur simplement déclarer « être transformé » d’homme en femme ou de femme en homme, tout le monde devant faire comme si c’était le cas ». Publication imprimée Partager: Page is available in the following languages Retour d " information

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1966. 56. С. 222-238; Экуменические свидетельства//Россия и Вселенская Церковь. Брюссель, 1966. 1 (67). С. 1-9; La Costituzione sulla S. Liturgia e l " istituzione per l " esatta applicazione presentata ai fedeli. Alba, 1967; La chiesa incontro al mondo: per una lettura della Costituzione pastorale su «La chiesa nel mondo contemporaneo». Mil., 1967; II Ватиканский собор: замыслы и итоги. М., 1968. (Вна; Вып. 6); Beach B. B. Vatican II: bridging the Abyss. Wash., 1968; Bonn E. L " Église catholique et l " oecuménisme depuis la fin du Concile Vatican II jusqu " à la fin du premier Synode episcopal. P., 1968; Pierini F. Catechismo del Concilio Vaticano II. R., 1968; Martelet G. Les idées maîtresses de Vatican II: Initiation à l " esprit du Concile. P., 1969; Commentary on the Documents of Vatican II. N. Y., 1969. 5 vol.; Dizionario del Concilio Ecumenico Vaticano II. Vat., 1969; Gonzales-Carvajal L. La Legión de María: Un apostolado para los tiempos del postconcilio. Estella, Romero Gomez M. Interpretacion et applicacion du réglement du Concile Vatican II. P., 1970; Казанова А. Второй Ватиканский Собор: критика идеологии и практики совр. католицизма. М., 1973; L " ecclesiologia dal Vaticano I al Vaticano II. Brescia, 1973; H é gy P. L " Autorité (dans le catholicisme contemporaine: Du «Syllabus» à Vatican II. P., 1975; Lefevre M. , mgr. J " accuse le Concile! Martigny, 19762; idem. Ils l " ont découronné: Du libéralisme à l " apostasie: la tragédie conciliaire. Escourolles, 1987; Enchiridion Vaticanum: testo ufficiale. Bologna, vol. Никодим (Ротов), митр. Иоанн XXIII, папа Римский//БТ. 1979. Сб. 20. С. 83-240; Grootaers J. De Vatican II (Jean Paul II: le grand tournant de l " Église catholique. P., 1981; Giovanni Battista Montini, Archivescovo di Milano, e il Concilio Ecumenico Vaticano II. Brescia, 1983; Glaube in Prozess: Christsein nach II. Vatikanum: Für K. Rahner. Freiburg i. Br., 1984; Fede, tradizioni, profezia: Studi su Giovanni XXIII e sul Vaticano II/A. Melloni etc.

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La chorale paroissiale d’enfants et l’orchestre paroissial de scouts orthodoxes ont proposé un concert à l’assistance. Les invités ont aussi visité l’école et les locaux paroissiaux. Le même jour, le patriarche Jean, les hiérarques de l’Église orthodoxe d’Antioche et le métropolite Antoine de Volokolamsk et la délégation l’accompagnant, ainsi que les invités d’honneur se sont dirigés vers la ville d’Az-Zabadani pour la consécration de l’église de la Dormition-de-la-Mère-de-Dieu, également endommagée pendant les combats en Syrie, et restaurée avec l’aide de la Russie et de l’Église orthodoxe russe. Saluant l’assistance, le primat de l’Église orthodoxe d’Antioche a souligné que, malgré les destructions dans la ville d’Az-Zabadani et les traces des crimes des rebelles, qui avaient commis ici des assassinats et des vols, « tous les habitants, musulmans et chrétiens, vivent paisiblement ensemble, si bien que les forces extérieures qui voulaient utiliser la religion pour les diviser, ont échoué. » « Notre patrie, c’est notre œuvre commune, nous sauvegardons de nos mains la prospérité dans ce pays et la transmettrons à nos enfants » a témoigné le patriarche Jean X, remarquant qu’à cause de la tragédie vécue par la Syrie, beaucoup de familles, notamment des habitants d’Az-Zabadani ont dû quitter leur pays, mais « sont aujourd’hui en train de revenir ici, famille après famille ». Selon Sa Béatitude, la renaissance de l’église est un nouveau prétexte au retour des habitants dans leur ville. Ce qui semblait naguère un rêve – le retour à Zabadani, la restauration de l’église – est aujourd’hui réalité. « Nos frères de Russie nous ont aidé à restaurer cette église, a dit le patriarche. Aujourd’hui, elle se dresse devant nous, semblable à une belle fiancée, grâce aux efforts de l’État russe et de l’Église orthodoxe russe. » Le patriarche Jean a souligné l’amour qui unit tous les habitants de Zabadani, indépendamment de leur appartenance religieuse. La présence de représentants de l’islam à cette fête importante pour les chrétiens de la ville est un exemple parmi d’autres de cette affection.

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