Из 51 подготовленного документа на В. С. были одобрены всего 2. Они зафиксировали и усилили централизацию власти в католич. Церкви, определив новое соотношение власти папы и епископата. Хотя документы, разработанные подготовительными комиссиями, не были в большинстве своем рассмотрены и приняты, они послужили впосл. основой для мн. офиц. документов католич. Церкви, в т. ч. для ряда энциклик Льва XIII, а также принятого в 1917 г. нового Кодекса канонического права (см. Codex juris canonici ). Ист.: Cecconi E. Storia del Concilio Vaticano: Scritta sui documenti originali. R., 1873-1879. 3 vol.; Friedrich J. Documenta ad illustrandum Concilium Vaticanum anni 1870. Nordlingen, 1871; Acta et decreta sacrorum conciliorum recentiorum/Ed. G. Schemann. Freiburg i. Br., 1890. Vol. 7. (Coll. Lacensis); Mansi. Vol. 49-53; Dei Filius// Aubert R. Vatican I. P., 1964; Aubert R. , Gueret M. , Tombeur P. Concilium Vaticanum I. Louvain, 1977; I Ватиканский Собор: Догматическая конституция «Pastor aeternus»// Эве Ф. Тексты о Церкви. М., 1996. С. 5-9. Лит.: Ollivier E. L " Église et l " État au Concile du Vatican. P., 1879. 2 vol.; Geschichte des Vatikanischen Konzils/Hrsg. T. Granderath, K. Kirch. Freiburg i. Br., 1903-1906. 3 Bde; Mouret F. Le Concile du Vatican: D " après les documents inedits. P., 1919; Thils G. Primautee pontificale et prerogatives episcopales: «Potestas ordinaria» au Concile du Vatican. Louvain, 1961; idem. La primaute pontificale: La doctrine de Vatican I, les voies d " une revision. Gembloux, 1972; idem. Primaute et infaillibilite du Pontife romain à Vatican I. Louvain, 1989; Torrell J. P. La théologie de l " episcopat au premier Concile du Vatican. P., 1961; Rondet H. Vatican I: Le Concile de Pie IX: La preparation, les méthodes de travail, les schémas restes en suspens. P., 1962; Butler E. C. The Vatican Council, 1869-1870: Based on Bishop Ullathorne " s Letters. L., 19622; Horst F. , van der. Das Schema über die Kirche auf dem I. Vatikanischen Konzil. Paderborn, 1963; Aubert R. Vatican I. P., 1964; Bellone B. I vescovi dello Stato Pontificio al Concilio Vaticano I. R., 1966; Gomes-Heras J. -M. -G. Temas dogmaticos del Concilio Vaticano I. Vitoria, 1971. 2 vol.; Pottmeyer H. J. Unfehlbarkeit und Souveranitat: Die papstliche Unfehlbarkeit im System der ultramontanen Ekklesiologie des 19. Jh. Mainz, 1975; Patelos C. Vatican I et les eveques uniates: Une étape éclairante de la politique romaine à l " égard des orientaux (1867-1870). Louvain-la-Neuve, 1981; Petruzzi P. Chiesa e società civile al Concilio Vaticano I. R., 1984, 19964; Martina G. Pio IX (1867-1878). R., 1990. P. 111-232; Schatz K. Vatican I, 1869-1870. Paderborn, 1993; Лортц Й. История Церкви. М., 2000. Т. 2. С. 363-371.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : la rencontre des leaders russe et américain est une étape permettant d’espérer que le nœud gordien des problèmes relationnels entre les deux pays sera tranché La principale nouvelle de la semaine a été la rencontre à Genève du président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, avec le président des États-Unis, Joe Biden. Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, commentant ce sommet dans l’émission « l’Église et le monde », a remarqué que l’état des rapports entre les États-Unis et la Russie était alarmant. La rencontre des dirigeants des deux puissances est donc une étape importante, « dont l’objet est de trancher le nœud gordien et commencer à résoudre les nombreux problèmes qui se sont accumulés. » « Ce fut un entretien très long et très franc, a constaté Mgr Hilarion. Les observateurs qui espéraient que cette rencontre ferait du tort à la Russie ont ensuite exprimé leur sincère déception. » En même temps, le président du DREE a exprimé son désaccord avec l’opinion du président des États-Unis, comme quoi la politique extérieure serait la continuation logique des rapports personnels. « Je pense que les rapports personnels sont importants, mais, comme l’a dit le président Poutine, lors du briefing qui a suivi la rencontre avec le président Biden, les relations politiques doivent être surtout pragmatiques » a résumé le président du DREE. Le métropolite Hilarion a rappelé que chaque leader politique a le devoir de défendre les intérêts de son pays. Il doit aussi être capable d’établir des relations avec ses voisins. S’il s’agit de grandes puissances nucléaires, comme les États-Unis ou la Russie, « la sécurité du monde entier dépend de la stabilité des rapports entre eux. » Publication imprimée Partager: Page is available in the following languages Retour d " information

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A compter de juillet 1941, les services nazis essentiels s " intéressent de près aux Églises orthodoxes. C " est le cas de la Chancellerie du parti, de l " Office central de la sûreté du Reich (RSHA), du ministère des Territoires occupés de l " Est, et du ministère des Affaires étrangères. Le ministère des affaires ecclésiastiques du Reich est « relégué au second plan », il n " est pas admis sur les territoires occupés de l " URSS. En cas de victoire militaire du Troisième Reich, l’Église orthodoxe aurait été confrontée à la troisième étape de la politique religieuse nazie. Le RSHA et la Chancellerie du parti, en effet, élaborent un plan de liquidation progressive de l’Église, suivie de la mise en place d’une nouvelle religion dans les territoires occupés de l’Est. Malgré des différences initiales, la  politique religieuse nazie et la politique religieuse soviétique d’avant-guerre (1920-années 1930) ont beaucoup en commun. L’exemple du Warthegau (province de Poznanie), choisie en 1930 pour servir de « polygone d’expérimentation » aux nazis en matière de religion, le montre bien. Comme en URSS, les monastères y sont fermés, l’activité religieuse est réduite à la communauté paroissiale. Au début de la guerre, en URSS, les nazis décident d’accorder un certain répit aux orthodoxes sur les territoires occupés. Des directives prescrivent de ne pas empêcher la population locale de pratiquer sa religion, même s’il n’est pas question, cependant, de l’encourager. Un projet de loi sur la liberté de pratique religieuse à l’Est est même élaboré, mais la loi ne verra pas le jour. En dehors même de l " effet négatif qu " elle aurait pu avoir sur l’Église en Allemagne, signer cette loi aurait sans doute dépassé les forces d " Hitler, compte tenu de sa position foncièrement antichrétienne. La politique religieuse réelle de l " administration allemande sur les territoires occupés est d " ailleurs assez similaire à celle de la politique soviétique d " avant-guerre. Dans une ordonnance du 16 août 1941, Heydrich, chef du RSHA, ordonne aux sections de la police de sûreté et du SD de l’informer en permanence du développement de la situation religieuse sur les territoires occupés de l " URSS.

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Le patriarche Cyrille écrit régulièrement aux chefs d’état pour les prier de gracier des chrétiens menacés de la peine de mort. Aucun d’eux n’a été exécuté, certains ont été graciés et relâchés. En 2015, à l’initiative du Patriarcat de Moscou, du Vatican, de la Russie et du Liban, 65 pays du monde ont adopté à l’ONU une déclaration de soutien aux droits des chrétiens du Proche-Orient. Cette déclaration a constitué une ouverture dans le blocus informationnel entourant ce problème. Après la rencontre du patriarche Cyrille et du pape François, en février 2016, le génocide des chrétiens a été officiellement reconnu aux États-Unis. L’Église orthodoxe russe soulève le problème des persécutions contre les chrétiens dans son dialogue avec les communautés musulmanes et juives. Il en a été question, notamment, avec les leaders islamiques d’Égypte, d’Irak, de Syrie, du Maroc, d’Iran, d " Azerbaïdjan et de Turquie. Depuis la déclaration commune du patriarche Cyrille et du pape François, en 2016, l’Occident désigne ouvertement la tragédie des chrétiens de Syrie comme un génocide. Des déclarations en ce sens ont été faites au Département d " État du Congrès des États-Unis. Une étape concrète dans le dialogue orthodoxe-catholique a été la visite de représentants de l’Église orthodoxe russe et de l’Église catholique romaine au Liban et en Syrie, en avril 2016. Les consultations avec les représentants des confessions locales, effectuées pendant ce séjour, ont permis d’élaborer des projets communs pour soutenir les chrétiens en détresse. En 2017, à la suite de l’appel lancé à La Havane, orthodoxes et catholiques ont organisé plusieurs manifestations de défense des chrétiens du Proche-Orient. Ainsi, en janvier 2017, le V Forum européen orthodoxe-catholique, à Paris, avait pour thème la menace terroriste, et la situation au Proche-Orient, qui concerne des millions de personnes dans le monde entier. Un autre évènement marquant a été le Sommet pour la défense des chrétiens persécutés, en mai 2017, à Washington. Il a rassemblé 600 délégués venus de 136 pays. Le Sommet était organisé à l’initiative de l’Église orthodoxe russe et de l’Association évangélique Billy Graham. Des représentants des Églises orthodoxes, de l’Église catholique romaine, de différentes dénominations protestantes, ainsi que des Églises orientales y étaient invités.

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-        Le président de la Macédoine du Nord, Stevo Pendarovski, a demandé au patriarche Bartholomée de Constantinople de faire valoir ses droits pour reconnaître l’église orthodoxe macédonienne, fondée en 1967. Cependant, ni l’Église orthodoxe serbe, ni les autres Églises orthodoxes locales ne l’ont reconnue comme autocéphale. Peut-on éviter de nouveaux conflits ? -        Dans l’Église orthodoxe russe, on a toujours considéré et on considère toujours que la résolution de la question macédonienne est une prérogative de l’Église orthodoxe serbe. Aucune tentative d’ingérence ne devrait être possible sans son accord. -        En Macédoine du Nord, sur les fresques de certaines églises, on a modifié les noms des saints. Les Serbes de Macédoine se sont plaints aux autorités. Quels commentaires feriez-vous sur cet acte de vandalisme ? -        Je suis sûr que ceux qui l’ont fait ne sont pas pratiquants. L’inscription du nom du saint est une étape essentielle en iconographie. Une icône ne peut être bénite si le nom du saint représenté n’y figure pas. En dehors de cet aspect strictement spirituel, il s’agit, à mon avis, d’une tentative de réécriture de l’histoire. -        Le Synode de l’Église orthodoxe serbe a adressé plusieurs requêtes à l’UNESCO et à l’ONU, leur demandant de protéger les églises serbes des nationalistes albanais. Aujourd’hui, les Albanais ont changé de tactique et cherchent à convaincre la communauté internationale qu’ils ont eux-mêmes bâti ces églises. Quel conseil donneriez-vous aux Serbes ? -        Ayant visité le Kosovo et la Métochie, j’ai vu de mes yeux les ruines des églises, dynamitées par les extrémistes. J’ai vu les sanctuaires transformés en décharges et en lieux d’aisance. Une sensation de haine épouvantable était dans l’air, celle que les bandits éprouvent pour les sanctuaires. Ceux qui ont détruit ou profané les églises et les monastères du Kosovo et de la Métochie ont prouvé au monde entier par leurs méfaits qu " ils n " ont aucun lien, ni historique, ni spirituel avec ces sanctuaires. Si ce lien existait, ils se conduiraient autrement. Les Grecs, par exemple, ont une grande dévotion pour Sainte-Sophie, qu’ils portaient et portent dans leur cœur, alors qu’elle leur a été enlevée, même quand on en fait une mosquée. Nous prions pour nos frères serbes, qui supportent des conditions de vie très difficiles dans cette sainte contrée. Que le Seigneur leur donne la force et la patience pour préserver leur patrimoine !

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le métropolite Hilarion : Beaucoup de gens ont oublié que la guerre est un mal A l’antenne de l’émission de télévision « L’Église et le monde », le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a partagé les inquiétudes que lui cause la situation internationale. « Si cela ne cesse pas, les conséquences risquent d’être très graves » estime-t-il. L’archipasteur constate avec regret que beaucoup de nos contemporains ont oublié que la guerre est un mal : « Cela fait 76 ans que nous vivons en paix. Ceux qui ont connu la guerre sont de moins en moins nombreux. Or, ceux qui les remplacent, la jeunesse d’aujourd’hui, ont parfois des dispositions très belliqueuses. » Mgr Hilarion dénonce les hommes politiques qui se permettent des déclarations populistes irresponsables, particulièrement dangereuses dans la situation actuelle, « alors que le monde est une vraie poudrière, alors qu’un immense arsenal d’armement nucléaire a été accumulé ; en l’absence de facteurs dissuasifs, l’utilisation de cet armement peut conduire à une catastrophe générale. » « C’est pourquoi j’espère que les hommes politiques feront leur possible pour arrêter l’escalade, engager des pourparlers dans un esprit d’apaisement, et comme cela a souvent eu lieu dans le passé, empêcher une confrontation globale et une guerre généralisée » souligne l’archipasteur. Mentionnant la crise des Caraïbes, quand le monde se trouva au bord de la catastrophe, le métropolite Hilarion de Volokolamsk remarque : « A l’époque, les dirigeants politiques ont eu assez de courage et de sagesse pour mettre fin à cette nouvelle étape dans la course à l’armement. J’espère que cette sagesse ne leur fera pas défaut aujourd’hui. » Publication imprimée Partager: Page is available in the following languages Retour d " information

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Au XX e siècle, après la création de la République turque et la déportation de la population grecque d’Asie mineure, la position de Constantinople devint difficile. Les patriarches œcuméniques résolurent alors, avec le soutien de l’Entente, de transformer leur titre honorifique en statut réel de « patriarche de l’Univers ». Profitant de la situation extrêmement difficile de l’Église russe, soumise à des persécutions sans précédent, Constantinople regroupa de sa propre initiative et de façon anticanonique, les Églises locales fondées dans les nouveaux états d’Europe de l’Est sous sa « juridiction suprême ». Réinterprétant le 28 e canon de Chalcédoine, le Phanar considéra désormais comme « barbares » tous les peuples n’ayant pas eu leur Église orthodoxe dans l’Antiquité, étendant à elles son autorité. Non contents de disposer du statut canonique traditionnel de « premier parmi les égaux », les patriarches de Constantinople prétendirent à la place de « hiérarque universel », de « premier sans égaux », comme l’exprima l’un des adeptes de cette conception, l’archevêque d’Amérique Elpidophore (Lambriannidis). Une étape importante dans la mise en œuvre de ce projet fut l’organisation et la tenue du « Saint et Grand Concile panorthodoxe » de Crète, en 2016, contre l’avis de plusieurs Églises orthodoxes. Constantinople tenta de s " attribuer le rôle de « coordinateur » des Églises orthodoxes. Les démarches entreprises par le patriarche de Bartholomée en faveur de l’Église orthodoxe d’Ukraine non canonique donnent une idée de la valeur de cette " coordination " . Au mépris total des anciens canons, elles ont introduit et continuent à porter le trouble dans l’Église orthodoxe. L’Église orthodoxe russe reste fermement attachée au principe apostolique de conciliarité et reconnaît l’égalité des droits canoniques des primats des quinze Églises locales autocéphales : les Églises de Constantinople, Alexandrie, Antioche, Jérusalem, les Églises russe, géorgienne, serbe, roumaine, bulgare, chypriote, grecque, albanaise, polonaise, l’Église des Terres tchèques et de Slovaquie, l’Église en Amérique. Toutes ces Églises-sœurs sont à égalité membres de l’Église du Christ, une, catholique et apostolique.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Un missionnaire orthodoxe en Afrique : le père Cosmas (Aslanidis) Afanasiy Zoitakis La mission orthodoxe en Afrique traverse aujourd’hui des temps difficiles. Pour différentes raisons : difficultés financières, manque d’unité des Églises locales, déficit de prédicateurs charismatiques, généreux et ardents. Pourtant, le XX e siècle fut une époque d’expansion pour le christianisme orthodoxe sur le continent africain. Les difficultés actuelles ne diminuent en rien les résultats des décennies précédentes, et, dans certaines régions d’Afrique, la mission se poursuit avec succès, envers et contre tout. Les statistiques sont toujours un outil contradictoire, plus encore s’agissant de l’Afrique. On peut, cependant, affirmer que les orthodoxes ne sont pas moins d’un million sur le continent noir ; certains parlent même de 5 millions de fidèles, dont 4,7 millions d’Africains de souche. Le succès de la mission orthodoxe en Afrique résulte de processus très divers. Certains deviennent orthodoxes après un miracle : guérison pendant une maladie, exorcisme réussi, découverte d’une source d’eau à la prière d’un prêtre orthodoxe.  D’autres Africains ont découvert l’Église orthodoxe pendant un voyage à l’étranger et ont ramené l’orthodoxie chez eux. Tout a commencé en 1929. Deux prêtres ougandais quittèrent l’Église anglicane avec leurs fidèles. Sous le slogan « l’Afrique aux Africains », ils tentèrent de créer leur propre église. Mais la rencontre d’un prêtre grec leur inspira le désir de devenir orthodoxes. Christophe II, patriarche de l’Église d’Alexandrie (1939-1967), fonda trois métropoles missionnaires : en Afrique de l’Est (avec Nairobi pour centre), en Afrique centrale et en Afrique de l’Ouest. Le patriarche Nicolas VI (1968-1986) poursuivit l’œuvre de son prédécesseur et fonda deux nouvelles métropoles, en Afrique du Sud (Le Cap) et au Zimbabwe. Une étape importante fut franchie avec la consécration épiscopale d’africains, qui donna une plus grande envergure à la mission patriarcale.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a rencontré le Patriarche de l’Église copte Théodore II Le 29 octobre 2014, le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a reçu à sa résidence du monastère Saint-Daniel le Patriarche de l’Église copte Théodore II. La délégation accompagnant le Patriarche copte se compose du métropolite Bichoy de Damiette, de l’évêque Raphaël du Caire central, secrétaire général du Saint Synode de l’Église copte, de l’évêque Cyrille de Milan, de l’évêque Sérapion de Los Angeles, de l’évêque Ange, vicaire en Grande-Bretagne, du père Ange Ishak, secrétaire du Patriarche, du père P. Halim, secrétaire de presse du Patriarche, de l’higoumène Edrossis Guirguis, supérieure du monastère Sainte-Théodora du Caire, du docteur Ishak Ibrahim Agban, professeur de théologie pastorale au collège de Port-Saïd. L’Église russe était représentée par le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, l’archimandrite Philarète (Boulekov), vice-président du DREE, l’archiprêtre Viktor Koulaga, représentant du Patriarche de Moscou et de toute la Russie auprès du Patriarche d’Alexandrie et de toute l’Afrique, le hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du DREE aux relations interchrétiennes, le père Alexandre Vassioutine, du DREE. Accueillant le Patriarche Théodore et les membres de la délégation de l’Église copte, Sa Sainteté le Patriarche Cyrille a constaté que cette visite ouvrait une nouvelle page dans l’histoire des relations entre les deux Églises. « Nous entretenons historiquement de bonnes et cordiales relations, mais les rapports bilatéraux sont devenus plus fréquents ces dernières 30-40 années, notamment grâce à notre participation commune au travail de différentes organisations interchrétiennes, a poursuivi Sa Sainteté. Le dialogue théologique entretenu de 1985 à 1995 a été une étape très importante dans le développement de nos relations bilatérales ; il nous a rapproché et nous a permis de mieux comprendre les positions de nos Églises sur les questions christologiques. »

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