Но Дееписатель вовсе не упоминает о подобном «представительстве», как было бы странно и отправлять деньги из Галатии чрез Писидию и Ликаонию. 65 Разумеется, все эти и подобные хронологически даты не имеют абсолютной точности и указываются лишь приблизительно. Теперь по этому вопросу является важною Дельфийская надпись, что Галлион сделался проконсулом Ахаии ( Дeяh. XVIII, 12 ) летом 61 года. 66 Bp. J. B. Lightfoot (p. 73) не без права отмечает, что, упоминая о «всех братьях» (I, 2), Апостол ничего не говорит (–вопреки, напр., Puм. XVI, 16 –) о единомыслии с ним местной церкви (ср. 1Kop. IV, 17. XI, 16 ). А так как последнее было бы чрезвычайно важно в апологетических интересах, то надо заключать, что там еще не имелось организованной церкви, или она была незначительна и во всяком случае не совпадала с церковью Ефесской. 67 См. и Pastor em. Hermann Schulze, Die Urspunglichkeit des Galaterbriefes: Versuch einer Apologie auf literar-historischem Wege, Leipzig 1903, а отзыв об этой книжке (в 88 страниц) см. в «Theologisches Literaturblatt» XXIV, 43 (23. Oktober 1903), Sp. 511–512. 71 Целиком послание к Галатам сохранилось в 10-ти унцианах (из 20 ти Павловых) ПВ (IV–V века) С (со 2-го стиха I-й главы) А (V-ro в.) D (греко-лат. VI-ro века) Е (греко-лат.) FGKL (IX-ro века), отрывочно – в Н (VI-ro века: Гaл. I, 1–10. II, 9–17. 17, 30-V, 5 ) Fa (VII-ro века: Гaл. IV 21–22) N (IX-ro века: Гaл. V, 12–VI, 18 ). до 485-ти курсивных списков и около 265 лекционариев. Полезно отметить, что в своем издании Н. 3 † Prof. Н. v. Soden опять вернулся к взгляду Тишендорфа, ибо ценит В не столько, как W.–H., и придает больше значения ПАС (см. у Ernest De Witt Burton, p. LXXXII). Некоторые частные текстуально-критические замечания будут сделаны при толковании. 72 Для греческого текста см. специальные, но не всегда убедительные замечания у Prof. Friedrich Zimmer, Zur Textkritik des Galaterbrifs в „Zeitschrift fur wissenschaftliche Theologie» XXIV (1881), 4, S. 481–494; XXV (1882), 3, S. 327–343; XXVI (1883), 3, S.

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Ce qui nous arrive ensuite ne dépend pas seulement de la puissance divine, mais de notre réponse à la grâce reçue du Seigneur. Lui est prêt à transfigurer chacun de nous de Sa lumière céleste. Il offre à chacun la plénitude de Sa grâce, non pas une petite partie de Son Corps, mais Son Corps tout entier. Non pas une goutte de Son Sang, mais tout Son Sang, indépendamment de notre dignité ou de notre indignité. En même temps, le Seigneur attend que nous recevions Ses Saints Mystères avec pénitence, avec un cœur contrit, ayant le sentiment de n’avoir devant Dieu aucun mérite, sachant que seule sa grâce est capable de guérir les péchés, de récréer la nature humaine, de la remplir de la lumière et de la présence divines. Le Seigneur aidera toujours ceux qui s’approchent avec de tels sentiments de repentir et de contrition de Ses Saints Mystères, ayant confessé ses péchés et exprimé le désir et la résolution de se corriger. Prions saint Serge de nous aider à toujours sentir la présence du Dieu vivant, à communier aux Saints Mystères du Christ non pour notre jugement et notre condamnation, mais pour la vie éternelle et l’immortalité. Que le feu divin contemplé par le vénérable Serge et par son entourage, quand il célébrait la Divine liturgie, touche nos cœurs, sans les brûler, mais les réchauffant, nous portant la grâce divine salutaire. Que par les prières de saint Serge nous montions de puissance en puissance dans notre cheminement vers le Royaume céleste. Amen. » Ensuite, un office d’intercession a été célébré sur l’esplanade de la laure, devant une icône de saint Serge. Le métropolite Hilarion a présidé la célébration de l’office, assisté du métropolite Denis de Voskressensk, chancelier du Patriarcat de Moscou ; de l’évêque Antoine de Moravica, représentant de l’Église orthodoxe serbe auprès du Patriarcat de Moscou ; de l’archevêque de Kachira Théognoste, président du Département synodal aux monastères et au monachisme ; de l’évêque Eugène de Bronnitsa, président du Département synodal à l’enseignement religieux et à la catéchèse ; de l’évêque Thomas de Serguiev-Possad, supérieur de la laure ; de l’évêque Thomas de Pavlovo-Possad, président du Secrétariat administratif du Patriarcat de Moscou ; de l’évêque Stéphane de Klin, président du Département synodal aux relations de l’Église avec les forces armées et les organes du maintien de l’ordre ; de l’archimandite Séraphin (Chemiatovski), représentant de l’Église orthodoxe des Terres tchèques et de Slovaquie ; de l’archiprêtre Daniel Andreïuk, représentant de l’Église orthodoxe en Amérique, ainsi que d’autres évêques vicaires de la région de Moscou et de clercs de la laure de la Trinité-saint-Serge.

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Será de gran ayuda comenzar con un relato del desarrollo de las perspectivas sobre el misterio de la redención y pasar luego a un relato más breve de la imitación de la humildad y el amor de Cristo, en especial en el período crucial del siglo X hasta el XII. Jacques Riviére ha mostrado que el período patrístico contribuyó con tres temas esenciales a las perspectivas medievales del misterio de la redención: 1) la divinización, concebida como la restauración de la inmortalidad; 2) la noción de los «derechos» del diablo, que enfatizaba la redención como la derrota de la dominación de Satanás sobre la humanidad; y 3) la importancia de la remisión de los pecados, que destacaba la muerte de Cristo primordialmente como un sacrificio de La teología latina de la redención, y la espiritualidad que la acompañaba, pueden ser vistas como un conjunto, complejo y en evolución, de variaciones sobre estos tres temas. La divinización (deificatio), cuyo lugar central en el pensamiento de los Padres griegos ha sido demostrado en el ensayo anterior, de ninguna manera estuvo ausente en la tradición Agustín insistía: «Dios desea hacerte Dios [Deus enim deum te vult faceré], no por naturaleza como en el caso del que te da el nacimiento, sino a través del don y de la adopción. De la misma manera en que vino para participar de tu mortalidad a través de la humanidad, así te ha hecho participar de la inmortalidad a través de la elevación...» (Sermón 166 [PL 38, col. 909]). En un pasaje famoso que describe el cuarto y más alto grado de la caritas, Bernardo había exclamado: «¡Oh puro y sagrado amor! ¡Oh dulce y agradable afecto!... Es deificante pasar por tal experiencia.» Con todo, la interacción del tema de la divinización con los otros componentes de los puntos de vista occidentales de la redención le otorgó un papel más restringido, con un sabor algo diferente del que caracterizaba al Oriente griego. Las cualidades distintivas de los puntos de vista latinos de la redención se ven más fácilmente a través de un análisis de la relación entre la comprensión tradicional de la redención en relación con los «derechos del diablo,» y la concepción de la redención como remisión de los pecados, que evolucionó hacia una teología de la satisfacción plenamente madura. Esta evolución afectó no solamente la comprensión de cómo la obra de Cristo cambió la relación de la humanidad hacia Dios y el diablo, sino también de cómo las personas humanas debían apropiarse de esta nueva relación a través del sistema sacramental de la Iglesia y de sus propias prácticas espirituales . La «comprensión característicamente occidental de Cristo» que fue producida durante este período (la frase es de Jaroslav Pelikan), y los nuevos sistemas de piedad que acompañaron y se edificaron sobre la comprensión de la redención centrada en la satisfacción, fueron desarrollos cruciales en la espiritualidad occidental.

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« L’adoption de ce projet de loi a été précédée de tout un ensemble de mesures dirigées contre l’Église canonique en Ukraine : une campagne de calomnie contre l’Église dans les médias nationaux, des saisies d’églises accompagnées de violences contre le clergé et les fidèles, l’ouverture de nombreuses affaires pénales fictives, des pressions sur l’épiscopat de la part des services spéciaux, des tentatives d’occupation du berceau du monachisme russe, la laure des Grottes de la Dormition de Kiev et d’autres grands monastères, l’expulsion de leurs habitants, ainsi qu’une vague de fermetures forcées d’églises de l’Église orthodoxe ukrainienne par les organes du pouvoir locaux, l’interdiction de célébrer les offices, la saisie des terrains occupés par les monastères, les églises et les sanctuaires », a souligné le primat de l’Église russe. Le patriarche Cyrille, au nom du plérôme de l’Église orthodoxe russe, s’est adressé aux primats des Églises orthodoxes locales, leur demandant de soutenir l’Église orthodoxe ukrainienne et ses fidèles enfants qui ont part à la tribulation à cause de la parole de Dieu et de leur témoignage du Christ Jésus (Ap 1,9). Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies a adressé son message aux primats des Églises orthodoxes locales, au pape François de Rome, au patriarche de l’Église copte Tawadros II, à l’archevêque de Canterbury Justin Welby, chef de la Communauté anglicane, au catholicos de l’Orient et métropolite de l’Église malankare Basile mar Thomas Matthieu III ; au patriarche-catholicos de tous les Arméniens Garéguine II ; au catholicos suprême de la Maison de Cilicie de l’Église apostolique arménienne Aram I ; au catholicos-patriarche de l’Église assyrienne de l’Orient Mar Awa III ; au patriarche maronite et de tout l’Orient Bechara Boutros al-Rahi ; au secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le docteur Jerry Pillay ; au président de l’association évangélique Billy Graham, Franklin Graham. Dans sa lettre aux dirigeants et aux représentants d’organisations religieuses, le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies a rappelé une nouvelle fois le caractère discriminatoire du projet de loi n°8371 : « Le 23 mars 2023, la Direction du haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a publié un rapport sur les droits de l’homme en Ukraine, qui reconnaissait que le projet de loi n°8371 pouvait avoir une dimension discriminatoire à l’égard de l’Église orthodoxe ukrainienne. Le 26 juillet, le journaliste ukrainien et écrivain Jan Taksiur, partisan de l’Église orthodoxe ukrainienne, est intervenu dans le cadre de la séance spéciale du Conseil de sécurité de l’ONU, mettant en évidence les multiples violations flagrantes de la liberté religieuse en Ukraine. »

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MacGregor, «Eucharist» MacGregor, G. H. C. «The Eucharist in the Fourth Gospe1.» NTS 9 (1962–1963): 111–19. MacGregor, John MacGregor, G. H. C. The Gospel of John. Moffatt New Testament Commentary. London: Hodder 8c Stoughton, 1928. MacGregor, Pacifism MacGregor, G. H. C. The New Testament Basis of Pacifism and the Relevance of an Impossible Idea1. Nyack, N.Y.: Fellowship Publications, 1954. MacGregor, «Principalities» MacGregor, G. H. C. «Principalities and Powers: The Cosmic Background of Paul " s Thought.» NTS 1 (1954–1955): 17–28. Mack, «Imitatio» Mack, Burton L. «Imitatio Mosis: Patterns of Cosmology and Soteriology in the Hellenistic Synagogue.» Studia philonica 1 (1972): 27–55. Mack, Lost Gospel Mack, Burton L. The Lost Gospel: The Book of Q and Christian Origins. San Francisco: Harper San Francisco, 1993. Mack, Myth Mack, Burton L. A Myth of Innocence: Mark and Christian Origins. Philadelphia: Fortress, 1988. Mack and Murphy, «Literature» Mack, Burton L., and Murphy, Roland E. «Wisdom Literature.» Pages 371–410 in Early Judaism and Its Modern Interpreters. Edited by Robert A. Kraft and George W. E. Nickelsburg. SBLBMI 2. Atlanta: Scholars Press, 1986. Mack and Robbins, Patterns Mack, Burton L., and Vernon K. Robbins. Patterns of Persuasion in the Gospels. Sonoma, Calif.: Polebridge Press, 1989. Mackowski, «Qanah» Mackowski, Richard M. «Scholars» Qanah: A Re-examination of the Evidence in Favor of Khirbet-Qanah.» RZ23 (1979): 278–84. MacLaurin, «Fishermen» MacLaurin, E. C. B. «The Divine Fishermen.» St. Mark " s Review 94 (1978): 26–28. Maclean and Aitken, Heroikos   Maclean, Jennifer K. Berenson, and Ellen Bradshaw Aitken. Heroikos by Flavius Philostratus. Prologue by Gregory Nagy, xi-xxxv. Epilogue by Hemut Koester, 257–64. SBL Writings from the Greco-Roman World 1. Atlanta: Society of Biblical Literature, 2001. MacLennan and Kraabel, «God-Fearers»   MacLennan, Robert S., and A. Thomas Kraabe1. «The God-Fearers–a Literary and Theological Invention.» BAR 12, no. 5 (September/October 1986): 46–53, 64.

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Pero, además de eso, estoy preparando otro libro: " La vida y los versos espirituales de uno de los últimos confesores del monasterio de Alexander Nevsky, el archimandrita Sergei Belyakov " , que fue uno de los nuevo mártires, murió en 1930. Así también, sigo estudiando la historia de las Iglesias Ortodoxas durante la Segunda Guerra Mundial, y no sólo de la Iglesia Ortodoxa Rusa, sino, sobre todo, de las demás Iglesias. En particular, yo estudio sobre el período de la ocupación alemana a los Balcanes, y ahora he preparado una nueva monografía sobre el tema. Espero que el próximo año salga a luz, allí ya estarán reflejadas las historias de la Iglesia Ortodoxa de Bulgaria, de la Iglesia Ortodoxa de Serbia y, en parte, la historia de las Iglesias Ortodoxas de Rumanía y Grecia, durante la Segunda Guerra Mundial, también serán desarrolladas y algunas otras historias en los marcos de estas mismas investigaciones. Preparo también ahora un gran trabajo acerca de la relación de la Iglesia Ortodoxa hacia el Holocausto. Gran parte de este trabajo fue publicado recientemente en el portal Bogoslov.Ru, pero yo espero continuar con esta investigación, y al final después de varios años, completar una monografía sobre el tema. Por cuanto yo trabajo en el archivo, continuo una actividad de investigación y de publicación de materiales. En este momento, yo, junto a otro autor, que es jefe de uno de los departamentos científicos de nuestro archivo, preparo una colección de documentos sobre la historia de la diócesis de San Petersburgo después del final de la Segunda Guerra Mundial, de 1945 a 1991. Otra colección de documentos de nuestra iglesia, que está ya casi listo, y que se refiere a la historia de dos cementerios de San Petersburgo: Mitrofanjevskoe y Golumovskoe, ortodoxo y de los viejos creyentes. Hay muchos documentos de interés, el hecho es que ahora ha surgido el problema sobre la conservación de estos cementerios, ya que se está planeando en algunas de las partes de estos cementerios construir casas. La publicación de estos documentos es muy importante, esto ayudará a preservar la memoria de estos cementerios y de los templos que estaban allí: tres iglesias, en el cementerio ortodoxo, y dos – en el de los viejos creyentes. Ellas fueron demolidas durante la era soviética, pero ahora existe la posibilidad de su restaruración. Y esto es sólo parte de mis proyectos.

http://bogoslov.ru/article/2813964

Sin embargo, el promotor más activo de la teoría del mito fue Arthur Drews (1865–1936). Todos los argumentos en contra de la historicidad de Jesús los resume en su libro “El mito sobre Cristo”. La fe en la realidad histórica de Jesús es, en su opinión, el principal obstáculo para el progreso religioso. Sus ideas han sido objeto de críticas en los círculos académicos, aunque durante mucho tiempo contaron con el apoyo ideológico de la Rusia soviética. El contra argumento de tales señalamientos es el hecho de que la historicidad de la existencia de Cristo se confirma y en las obras de la literatura no cristiana. Entre ellas se encuentran las obras de Plinio el Joven (112 d.C.), Tácito (115 d.C.), Suetonio (120 d.C.) y otros testimonios más anteriores, como, por ejemplo, el famoso pasaje de Flavio Josefo (93 d.C.), la crónica de Fallus el Samaritano, escrita en Roma (60 d.C.), o la carta del sirio Mara Bar Sarapiona (73)  . Búsqueda del “Jesús histórico” “Jesús es el Cristo” (Jn. 20,31).  El hombre Jesús es el Cristo, es decir, el Ungido, el Mesías. Él es el Hijo de Dios hecho hombre, uno de la Santísima Trinidad. El siglo XIX fue la época de la busqueda del “Jesús histórico”, es decir, el de poner en claro las circunstancias culturales, históricas y geográficas de la vida de Jesucristo. Esta tendencia subrayaba “el método histórico radical” de su enfoque y buscaba las influencias externas en la formación del cristianismo. Varios autores de esta tendencia, entre ellos David Strauss (1836) y Ernest Renan (1860), escribieron libros de igual título “La Vida de Jesús”. En sus trabajos ellos aspiraban a revelar la imagen de Jesús “a como él era en realidad”, contranponiéndola al “Cristo dogmático”, a como él es representado tradicionalmente en los Evangelios. El comienzo de las investigaciones sobre “La vida de Jesús” en los marcos de la teología protestante se consideran los impulsos críticos de Raymarusa Herman Samuel (1694–1768), que fueron recogidos posteriormente por Friedrich Strauss (1808–1874). Ellos dividían a Jesús en su imagen judía profético-apocalíptica del cristianismo, que se contraponía al judaísmo como una invención de los Apóstoles. Lo importante era explicar los hechos sobrenaturales de Jesucristo desde un punto de vista racional. Ellos interpretaban el mito no como una ficción, sino como una forma de percibir a Cristo por las generaciones más tardía de sus discípulos. A la imaginación mítica le era atribuida la infracción de las leyes de la naturaleza, las contradicciones entre las distintas tradiciones y la extensión a Jesús motivos del Antiguo Testamento.

http://bogoslov.ru/article/2821600

En cuanto al aspecto exterior, las basílicas no mostraban nada de extraordinario. El edificio, aparte una cierta grandiosidad de mole en las más grandes, se presentaba más bien pesado, con flancos de estructura muy común en ladrillo, de arco plano, abiertas a la altura de la nave central. No obstante, cuanto más la basílica revelaba al exterior su pobreza constructiva y arquitectónica, se imponía interiormente por la suntuosidad y el esfuerzo de los ornamentos y de la decoración. El cielo raso estaba pintado y decorado; preciosos mármoles variados revestían las paredes inferiores; mosaicos policromados con fondo de oro estaban incrustados en los muros de la nave del medio y en el ábside; dos pulimentadas filas de columnas, que sostenía una riquísima viga, se reflejaban sobre el pavimento, finamente taraceado por artífices alejandrinos; cortinas de seda y de brocado y tapices históricos estaban colocados entre las columnas; una gran multitud de candelabros y de lámparas, ya suspendidos, ya apoyados, de bronce, de plata, a veces de oro, iluminados con centenares de llamitas, esparcían por la vasta aula una luz tranquila, que el oro y las piedras preciosas de los objetos sagrados – cruces, coronas, cálices, patenas – colocados sobre el altar y alrededor del ciborio reflejaban vivamente. Es interesante sobre el particular la respuesta del abad San Nilo (+ 430) a un cierto Olimpiodoro, noble bizantino, el cual, habiendo construido una iglesia, le pregunta sobre un proyecto suyo de decoración a base de escenas pastoriles, de caza, de pesca, etc. «Todo esto, responde el Santo, es muy vulgar.» Y sugería, por el contrario, el poner en el santuario una majestuosa figura de la cruz y pintar sobre las paredes las historias del Antiguo y del Nuevo Testamento , a fin de que también los neófitos pudiesen aprender a conocer las bellas acciones de los fieles servidores de Dios. La antigua iconografía basilical era, en efecto, eminentemente bíblica. Esto lo atestiguan en el 333 el peregrino de Burdeos para las basílicas de Jerusalén y San Félix de Nola para las iglesias por él construidas; y si, desgraciadamente, no nos queda nada de la decoración primitiva de las basílicas del siglo IV, los ciclos de mosaicos de los siglos V-VI todavía existentes en Santa María la Mayor, de Roma, y en San Apolinar el Nuevo, de Rávena, son una prueba de todo ello. Los objetos preferidos eran las historias de los patriarcas y los episodios de la vida del Salvador. Para estos últimos, el artista interpretaba no sólo las narraciones de los Evangelios canónicos, sino que se inspiraba con gusto también en las leyendas de la literatura apócrifa. Los mosaicos del arco triunfal de Santa María la Mayor, que contienen escenas de la infancia de Jesús, dependen ampliamente del Protoevangelio de Santiago.

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L a influencia de Orígenes no se dejó sentir con fuerza sólo en Egipto; sus ideas se extendieron mucho más allá de las fronteras de su país natal. El Asia Menor, Siria y Palestina se convirtieron en el campo de batalla de sus amigos y de sus adversarios. Es interesante observar que hasta sus mismos enemigos le deben más de lo que ellos admiten. Un ejemplo típico lo tenemos en Metodio. Los centros de esta controversia fueron dos escuelas; la primera de ellas, la de Cesárea de Palestina, fundada por el mismo Orígenes, continuó la obra del maestro después de su muerte; la otra, en Antioquía de Siria, se creó en oposición a su interpretación alegórica de la Escritura. La Escuela de Cesárea Cesárea tuvo el privilegio de servir de refugio a Orígenes al ser éste desterrado de Egipto (232). La escuela que él fundó allí se convirtió, después de su muerte, en asilo de su legado literario. Sus obras formaron el fondo de una biblioteca que el presbítero Panfilo transformó en centro de erudición y saber. Como director continuó la tradición del maestro. Allí fue donde se educaron Gregorio el Taumaturgo y Eusebio de Cesárea, y los Capadocios, Basilio el Grande, Gregorio de Nisa y Gregorio Nacianceno, recibieron la influencia e inspiración de la teología alejandrina. La Escuela de Antioquía La escuela de Antioquía fue fundada por Luciano de Samosata (312) en directa oposición a los excesos y fantasías del método alegórico de Orígenes. Esta escuela centraba cuidadosamente la atención en el texto mismo y encaminaba a sus discípulos hacia la interpretación literal y el estudio histórico y gramatical de la Escritura. Los sabios de los dos centros de enseñanza antagónicos tenían conciencia de la profunda diferencia y contradicción fundamental de sus métodos respectivos. En Antioquía, el objetivo de la investigación escriturística era descubrir el sentido más obvio; en Cesárea o en Alejandría, por el contrario, la atención iba dirigida a las figuras de Cristo. Una parte acusaba a la alegoría de destruir el valor de la Biblia como historia del pasado y convertirla en una fábula mitológica; la otra llamaba «carnales» a todos los que se adherían a la letra. A pesar de todo, no existía una contradicción absoluta entre las dos escuelas; antes bien, estaban de acuerdo en toda una tradición exegética ; pero cada uno recalcaba sus propios puntos de vista. Orígenes descubre tipos, no solamente en algunos episodios, sino en todos los detalles de la palabra inspirada. Cada línea está, para él, preñada de misterio. Antioquía, en cambio, estableció como principio fundamental no reconocer, en el Antiguo Testamento, figuras de Cristo más que ocasionalmente. Admitía una prefiguración del Salvador sólo allí donde la semejanza era marcada y la analogía clara. Los tipos forman la excepción, no la regla; la Encarnación, si bien era preparada en todas partes, no estaba prefigurada siempre.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Une délégation d’higoumènes du Patriarcat de Moscou en Égypte Avec la bénédiction de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, à l’invitation du patriarche copte Tawadros II, une délégation de moines et de moniales de l’Église orthodoxe russe a effectué un pèlerinage en Égypte sur les sites où apparut et prospéra le monachisme chrétien durant les premiers siècles de notre ère. L’objectif était également de découvrir la vie actuelle des monastères féminins et masculins de l’Église copte. La visite avait lieu en prolongement du dialogue entre l’Église orthodoxe russe et l’Église copte, dans le cadre de l’activté de la commission bilatérale concernée. La délégation était conduite par l’évêque Porphyre de Lida et de Smorgonsk, président du Département synodal aux affaires des monastères et du monachisme de l’exarchat biélorusse. Elle se composait également de l’higoumène Julienne (Kaleda), supérieure du monastère de la Conception de Moscou, vice-président du Département synodal aux affaires des monastères du Patriarcat de Moscou ; de l’higoumène Bartholomée (Petrov), supérieur du monastère Saint-Nicolas d’Ougrecha ; de l’higoumène Victorine (Perminova), supérieure du monastère de la Nativité-de-la-Mère-de-Dieu de Moscou ; de l’higoumène Dominique (Korobeïkina), supérieure du monastère Saint-Alexandre-de-la-Neva d’Ekaterinboug ; de l’higoumène Élisabeth (Pozdniaïeva), supérieure du Couvent Marthe-et-Marie de Moscou ; de l’higoumène Michée (Baranovski), supérieur du monastère Saint-Zossime-Saint-Sabbatius du diocèse de Novogroudok ; de l’hiéromoine Hermogène (Kortchoukov), économe du monastère Zaïkonospasski de Moscou ; de l’hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du DREE aux relations interchrétiennes, moine du monastère Zaïkonospasski ; de la sœur Alexandra (Koupalenko), supérieure du métochion épiscopal du diocèse de Lida ; des moniales Serguïa (Gazarian) et Varvara (Rouban) et de la sœur Émilie (Tsvirova), du monastère de la Conception de Moscou. La délégation était accompagnée du prêtre Victor Koulaga, représentant du patriarche de Moscou et de toute la Russie auprès du patriarche d’Alexandrie et de toute l’Afrique, ainsi que d’évêques et de clercs de l’Église copte.

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