1 Becker. Augustin. Studien zu seiner geistigen Entwickelung. 2 Thimme. Augustins geistige Entwickelung in den ersten Jahren nach seiner Bekehrung. 3 Migne. Patrologia latina, t.33. 4 S. Aur. Augustini epistulae (Corpus scriptorum eccles. latin. Vol. XXXIII, sectio II). 5 Thimme.L. с., стр. 10. 6 Которого он называет Тригецием: L. с., стр. 10, 240—243. 7 SoliloquiaII, 31. 8 Sol. 1,8. 9 Contra Academicos III, 43: «quoquo modo se habeat humana sapientia, eam me videonondumpercepisse». Ср. также: С. Ас. II, 22, De beata vita, 5. 10 Epistula I, 3: «Ut scribis, quod Academicos vicerim». 11 Ер. I, 1: «excogitatam occultandi veri artem». 12 Ibidem: «quid sincerum de fonte Platonico flueret». 13 Contra Acad. HI, 38, 39. B 14 Ep. I, 3. «Suspiciosius fortasse, quam certius». 15 C. Ac. m, 41 H 43. 16 Ep. I, 2: «In natura rerum atque animorum altissima et implicitissima latere veritas sentiebatur. Tanta porro nunc fuga laboris et inairia bonarum artium...» 17 Ib.: «tanto torpore indormiscent, ut nec caelesti tuba evigilent». 18 «labi, effluere et praesens nihil obtinere, id est, ut latine loquar, non esse». Ep. II. 19 Ib.: «horum... amorem... vera et divina philosophia monet frenare atque sopire, ut se toto animus, etiam dum hoc corpus agit, in ea, quae semper eiusdem modi sunt neque peregrini pulchro placent, feratur atque aestuet». 20 Ib.: “Invigilo tamen, quantum queo, et nitor, ut hihil amem, quod abesse a me invito potest». 21 Ep.III, 1. 22   De ord. I, 6. 23 Ер. III, 2: «rationes figurarum, per quas est». 24 Retr. С. Ш, De ord. П, 53. 25 О значении чисел в гносеологии Августина и Плотина см.: H. Leder. Untersuchungen uber Augustins Erkenntnistheorie. 26 «Et ideo fortasse merito philosophi in rebus inteligibilibus divitias ponunt, in sensibilibus egestatem» 19. Ep. IΙΙ, 3. 27    «Quid si moritur animus? ergo moritur veritas aut non est intelligentia veritas aut intelligentia non est in animo...» (Ep. IΙΙ, 4). 28 (An) illa ratiocinatio, cui tamquam unicae meae blandiri soleo et ea me nimis oblectare21 (IΙΙ, 3).

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Ce qui nous arrive ensuite ne dépend pas seulement de la puissance divine, mais de notre réponse à la grâce reçue du Seigneur. Lui est prêt à transfigurer chacun de nous de Sa lumière céleste. Il offre à chacun la plénitude de Sa grâce, non pas une petite partie de Son Corps, mais Son Corps tout entier. Non pas une goutte de Son Sang, mais tout Son Sang, indépendamment de notre dignité ou de notre indignité. En même temps, le Seigneur attend que nous recevions Ses Saints Mystères avec pénitence, avec un cœur contrit, ayant le sentiment de n’avoir devant Dieu aucun mérite, sachant que seule sa grâce est capable de guérir les péchés, de récréer la nature humaine, de la remplir de la lumière et de la présence divines. Le Seigneur aidera toujours ceux qui s’approchent avec de tels sentiments de repentir et de contrition de Ses Saints Mystères, ayant confessé ses péchés et exprimé le désir et la résolution de se corriger. Prions saint Serge de nous aider à toujours sentir la présence du Dieu vivant, à communier aux Saints Mystères du Christ non pour notre jugement et notre condamnation, mais pour la vie éternelle et l’immortalité. Que le feu divin contemplé par le vénérable Serge et par son entourage, quand il célébrait la Divine liturgie, touche nos cœurs, sans les brûler, mais les réchauffant, nous portant la grâce divine salutaire. Que par les prières de saint Serge nous montions de puissance en puissance dans notre cheminement vers le Royaume céleste. Amen. » Ensuite, un office d’intercession a été célébré sur l’esplanade de la laure, devant une icône de saint Serge. Le métropolite Hilarion a présidé la célébration de l’office, assisté du métropolite Denis de Voskressensk, chancelier du Patriarcat de Moscou ; de l’évêque Antoine de Moravica, représentant de l’Église orthodoxe serbe auprès du Patriarcat de Moscou ; de l’archevêque de Kachira Théognoste, président du Département synodal aux monastères et au monachisme ; de l’évêque Eugène de Bronnitsa, président du Département synodal à l’enseignement religieux et à la catéchèse ; de l’évêque Thomas de Serguiev-Possad, supérieur de la laure ; de l’évêque Thomas de Pavlovo-Possad, président du Secrétariat administratif du Patriarcat de Moscou ; de l’évêque Stéphane de Klin, président du Département synodal aux relations de l’Église avec les forces armées et les organes du maintien de l’ordre ; de l’archimandite Séraphin (Chemiatovski), représentant de l’Église orthodoxe des Terres tchèques et de Slovaquie ; de l’archiprêtre Daniel Andreïuk, représentant de l’Église orthodoxe en Amérique, ainsi que d’autres évêques vicaires de la région de Moscou et de clercs de la laure de la Trinité-saint-Serge.

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Será de gran ayuda comenzar con un relato del desarrollo de las perspectivas sobre el misterio de la redención y pasar luego a un relato más breve de la imitación de la humildad y el amor de Cristo, en especial en el período crucial del siglo X hasta el XII. Jacques Riviére ha mostrado que el período patrístico contribuyó con tres temas esenciales a las perspectivas medievales del misterio de la redención: 1) la divinización, concebida como la restauración de la inmortalidad; 2) la noción de los «derechos» del diablo, que enfatizaba la redención como la derrota de la dominación de Satanás sobre la humanidad; y 3) la importancia de la remisión de los pecados, que destacaba la muerte de Cristo primordialmente como un sacrificio de La teología latina de la redención, y la espiritualidad que la acompañaba, pueden ser vistas como un conjunto, complejo y en evolución, de variaciones sobre estos tres temas. La divinización (deificatio), cuyo lugar central en el pensamiento de los Padres griegos ha sido demostrado en el ensayo anterior, de ninguna manera estuvo ausente en la tradición Agustín insistía: «Dios desea hacerte Dios [Deus enim deum te vult faceré], no por naturaleza como en el caso del que te da el nacimiento, sino a través del don y de la adopción. De la misma manera en que vino para participar de tu mortalidad a través de la humanidad, así te ha hecho participar de la inmortalidad a través de la elevación...» (Sermón 166 [PL 38, col. 909]). En un pasaje famoso que describe el cuarto y más alto grado de la caritas, Bernardo había exclamado: «¡Oh puro y sagrado amor! ¡Oh dulce y agradable afecto!... Es deificante pasar por tal experiencia.» Con todo, la interacción del tema de la divinización con los otros componentes de los puntos de vista occidentales de la redención le otorgó un papel más restringido, con un sabor algo diferente del que caracterizaba al Oriente griego. Las cualidades distintivas de los puntos de vista latinos de la redención se ven más fácilmente a través de un análisis de la relación entre la comprensión tradicional de la redención en relación con los «derechos del diablo,» y la concepción de la redención como remisión de los pecados, que evolucionó hacia una teología de la satisfacción plenamente madura. Esta evolución afectó no solamente la comprensión de cómo la obra de Cristo cambió la relación de la humanidad hacia Dios y el diablo, sino también de cómo las personas humanas debían apropiarse de esta nueva relación a través del sistema sacramental de la Iglesia y de sus propias prácticas espirituales . La «comprensión característicamente occidental de Cristo» que fue producida durante este período (la frase es de Jaroslav Pelikan), y los nuevos sistemas de piedad que acompañaron y se edificaron sobre la comprensión de la redención centrada en la satisfacción, fueron desarrollos cruciales en la espiritualidad occidental.

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« L’adoption de ce projet de loi a été précédée de tout un ensemble de mesures dirigées contre l’Église canonique en Ukraine : une campagne de calomnie contre l’Église dans les médias nationaux, des saisies d’églises accompagnées de violences contre le clergé et les fidèles, l’ouverture de nombreuses affaires pénales fictives, des pressions sur l’épiscopat de la part des services spéciaux, des tentatives d’occupation du berceau du monachisme russe, la laure des Grottes de la Dormition de Kiev et d’autres grands monastères, l’expulsion de leurs habitants, ainsi qu’une vague de fermetures forcées d’églises de l’Église orthodoxe ukrainienne par les organes du pouvoir locaux, l’interdiction de célébrer les offices, la saisie des terrains occupés par les monastères, les églises et les sanctuaires », a souligné le primat de l’Église russe. Le patriarche Cyrille, au nom du plérôme de l’Église orthodoxe russe, s’est adressé aux primats des Églises orthodoxes locales, leur demandant de soutenir l’Église orthodoxe ukrainienne et ses fidèles enfants qui ont part à la tribulation à cause de la parole de Dieu et de leur témoignage du Christ Jésus (Ap 1,9). Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies a adressé son message aux primats des Églises orthodoxes locales, au pape François de Rome, au patriarche de l’Église copte Tawadros II, à l’archevêque de Canterbury Justin Welby, chef de la Communauté anglicane, au catholicos de l’Orient et métropolite de l’Église malankare Basile mar Thomas Matthieu III ; au patriarche-catholicos de tous les Arméniens Garéguine II ; au catholicos suprême de la Maison de Cilicie de l’Église apostolique arménienne Aram I ; au catholicos-patriarche de l’Église assyrienne de l’Orient Mar Awa III ; au patriarche maronite et de tout l’Orient Bechara Boutros al-Rahi ; au secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le docteur Jerry Pillay ; au président de l’association évangélique Billy Graham, Franklin Graham. Dans sa lettre aux dirigeants et aux représentants d’organisations religieuses, le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies a rappelé une nouvelle fois le caractère discriminatoire du projet de loi n°8371 : « Le 23 mars 2023, la Direction du haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a publié un rapport sur les droits de l’homme en Ukraine, qui reconnaissait que le projet de loi n°8371 pouvait avoir une dimension discriminatoire à l’égard de l’Église orthodoxe ukrainienne. Le 26 juillet, le journaliste ukrainien et écrivain Jan Taksiur, partisan de l’Église orthodoxe ukrainienne, est intervenu dans le cadre de la séance spéciale du Conseil de sécurité de l’ONU, mettant en évidence les multiples violations flagrantes de la liberté religieuse en Ukraine. »

http://mospat.ru/fr/news/90906/

Pero, además de eso, estoy preparando otro libro: " La vida y los versos espirituales de uno de los últimos confesores del monasterio de Alexander Nevsky, el archimandrita Sergei Belyakov " , que fue uno de los nuevo mártires, murió en 1930. Así también, sigo estudiando la historia de las Iglesias Ortodoxas durante la Segunda Guerra Mundial, y no sólo de la Iglesia Ortodoxa Rusa, sino, sobre todo, de las demás Iglesias. En particular, yo estudio sobre el período de la ocupación alemana a los Balcanes, y ahora he preparado una nueva monografía sobre el tema. Espero que el próximo año salga a luz, allí ya estarán reflejadas las historias de la Iglesia Ortodoxa de Bulgaria, de la Iglesia Ortodoxa de Serbia y, en parte, la historia de las Iglesias Ortodoxas de Rumanía y Grecia, durante la Segunda Guerra Mundial, también serán desarrolladas y algunas otras historias en los marcos de estas mismas investigaciones. Preparo también ahora un gran trabajo acerca de la relación de la Iglesia Ortodoxa hacia el Holocausto. Gran parte de este trabajo fue publicado recientemente en el portal Bogoslov.Ru, pero yo espero continuar con esta investigación, y al final después de varios años, completar una monografía sobre el tema. Por cuanto yo trabajo en el archivo, continuo una actividad de investigación y de publicación de materiales. En este momento, yo, junto a otro autor, que es jefe de uno de los departamentos científicos de nuestro archivo, preparo una colección de documentos sobre la historia de la diócesis de San Petersburgo después del final de la Segunda Guerra Mundial, de 1945 a 1991. Otra colección de documentos de nuestra iglesia, que está ya casi listo, y que se refiere a la historia de dos cementerios de San Petersburgo: Mitrofanjevskoe y Golumovskoe, ortodoxo y de los viejos creyentes. Hay muchos documentos de interés, el hecho es que ahora ha surgido el problema sobre la conservación de estos cementerios, ya que se está planeando en algunas de las partes de estos cementerios construir casas. La publicación de estos documentos es muy importante, esto ayudará a preservar la memoria de estos cementerios y de los templos que estaban allí: tres iglesias, en el cementerio ortodoxo, y dos – en el de los viejos creyentes. Ellas fueron demolidas durante la era soviética, pero ahora existe la posibilidad de su restaruración. Y esto es sólo parte de mis proyectos.

http://bogoslov.ru/article/2813964

En cuanto al aspecto exterior, las basílicas no mostraban nada de extraordinario. El edificio, aparte una cierta grandiosidad de mole en las más grandes, se presentaba más bien pesado, con flancos de estructura muy común en ladrillo, de arco plano, abiertas a la altura de la nave central. No obstante, cuanto más la basílica revelaba al exterior su pobreza constructiva y arquitectónica, se imponía interiormente por la suntuosidad y el esfuerzo de los ornamentos y de la decoración. El cielo raso estaba pintado y decorado; preciosos mármoles variados revestían las paredes inferiores; mosaicos policromados con fondo de oro estaban incrustados en los muros de la nave del medio y en el ábside; dos pulimentadas filas de columnas, que sostenía una riquísima viga, se reflejaban sobre el pavimento, finamente taraceado por artífices alejandrinos; cortinas de seda y de brocado y tapices históricos estaban colocados entre las columnas; una gran multitud de candelabros y de lámparas, ya suspendidos, ya apoyados, de bronce, de plata, a veces de oro, iluminados con centenares de llamitas, esparcían por la vasta aula una luz tranquila, que el oro y las piedras preciosas de los objetos sagrados – cruces, coronas, cálices, patenas – colocados sobre el altar y alrededor del ciborio reflejaban vivamente. Es interesante sobre el particular la respuesta del abad San Nilo (+ 430) a un cierto Olimpiodoro, noble bizantino, el cual, habiendo construido una iglesia, le pregunta sobre un proyecto suyo de decoración a base de escenas pastoriles, de caza, de pesca, etc. «Todo esto, responde el Santo, es muy vulgar.» Y sugería, por el contrario, el poner en el santuario una majestuosa figura de la cruz y pintar sobre las paredes las historias del Antiguo y del Nuevo Testamento , a fin de que también los neófitos pudiesen aprender a conocer las bellas acciones de los fieles servidores de Dios. La antigua iconografía basilical era, en efecto, eminentemente bíblica. Esto lo atestiguan en el 333 el peregrino de Burdeos para las basílicas de Jerusalén y San Félix de Nola para las iglesias por él construidas; y si, desgraciadamente, no nos queda nada de la decoración primitiva de las basílicas del siglo IV, los ciclos de mosaicos de los siglos V-VI todavía existentes en Santa María la Mayor, de Roma, y en San Apolinar el Nuevo, de Rávena, son una prueba de todo ello. Los objetos preferidos eran las historias de los patriarcas y los episodios de la vida del Salvador. Para estos últimos, el artista interpretaba no sólo las narraciones de los Evangelios canónicos, sino que se inspiraba con gusto también en las leyendas de la literatura apócrifa. Los mosaicos del arco triunfal de Santa María la Mayor, que contienen escenas de la infancia de Jesús, dependen ampliamente del Protoevangelio de Santiago.

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Accepter Le site utilise des cookies pour vous montrer les informations les plus récentes. En continuant à utiliser le site, vous consentez à l " utilisation de vos métadonnées et cookies. Politique des cookies Une délégation d’higoumènes du Patriarcat de Moscou en Égypte Avec la bénédiction de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, à l’invitation du patriarche copte Tawadros II, une délégation de moines et de moniales de l’Église orthodoxe russe a effectué un pèlerinage en Égypte sur les sites où apparut et prospéra le monachisme chrétien durant les premiers siècles de notre ère. L’objectif était également de découvrir la vie actuelle des monastères féminins et masculins de l’Église copte. La visite avait lieu en prolongement du dialogue entre l’Église orthodoxe russe et l’Église copte, dans le cadre de l’activté de la commission bilatérale concernée. La délégation était conduite par l’évêque Porphyre de Lida et de Smorgonsk, président du Département synodal aux affaires des monastères et du monachisme de l’exarchat biélorusse. Elle se composait également de l’higoumène Julienne (Kaleda), supérieure du monastère de la Conception de Moscou, vice-président du Département synodal aux affaires des monastères du Patriarcat de Moscou ; de l’higoumène Bartholomée (Petrov), supérieur du monastère Saint-Nicolas d’Ougrecha ; de l’higoumène Victorine (Perminova), supérieure du monastère de la Nativité-de-la-Mère-de-Dieu de Moscou ; de l’higoumène Dominique (Korobeïkina), supérieure du monastère Saint-Alexandre-de-la-Neva d’Ekaterinboug ; de l’higoumène Élisabeth (Pozdniaïeva), supérieure du Couvent Marthe-et-Marie de Moscou ; de l’higoumène Michée (Baranovski), supérieur du monastère Saint-Zossime-Saint-Sabbatius du diocèse de Novogroudok ; de l’hiéromoine Hermogène (Kortchoukov), économe du monastère Zaïkonospasski de Moscou ; de l’hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du DREE aux relations interchrétiennes, moine du monastère Zaïkonospasski ; de la sœur Alexandra (Koupalenko), supérieure du métochion épiscopal du diocèse de Lida ; des moniales Serguïa (Gazarian) et Varvara (Rouban) et de la sœur Émilie (Tsvirova), du monastère de la Conception de Moscou. La délégation était accompagnée du prêtre Victor Koulaga, représentant du patriarche de Moscou et de toute la Russie auprès du patriarche d’Alexandrie et de toute l’Afrique, ainsi que d’évêques et de clercs de l’Église copte.

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Nada se sabe de la historia personal de Novaciano después de estos acontecimientos. Por razones de crítica interna, se deduce que sus obras las escribió durante la persecución de Galo o de Valeriano, después de haberse separado de sus discípulos de Roma. Sócrates (Hist. eccl.–4,28) es el primero que recoge la noticia de que murió mártir durante la persecución de Valeriano. Eulogio, obispo de Alejandría, vio a fines del siglo VI unas actas del martirio de Novaciano, que describe como obra de ficción sin valor alguno. No obstante, en el Martirologio Jeronimiano se nombra a un tal Novaciano, sin otro apelativo, entre los mártires romanos el 29 de junio. Además de esto, en el verano de 1932 se descubrió en Roma una tumba ricamente decorada, en un cementerio anónimo recién descubierto cerca de San Lorenzo en Roma. La inscripción, pintada en caracteres rojos, en buen estado de conservación, dice así: Novatiano Beatissimo Martyri Gaudentius Diac Se trata del sepulcro auténtico de un Novaciano venerado como mártir, en cuyo honor el diácono Gaudencio mandó hacer trabajos de embellecimiento en la tumba. Hay razones para suponer que tenemos aquí la tumba de nuestro heresiarca, aunque parece extraño que en la inscripción no se le dé a Novaciano el título de obispo. Novaciano fue hombre de personalidad acusada, de gran talento y erudición, aunque un tanto débil de carácter. Se formó bien en la filosofía estoica (Cipriano, Epist. 55,24), y era maestro en retórica; en su estilo se nota la influencia de Virgilio. Casi todo lo que sabemos de él lo sabemos por sus adversarios; conviene, pues, recibirlo con cierta reserva. Fabiano tendría ciertamente sus razones para ordenarle a pesar de fuerte oposición. El autor del tratado Ad Novatianum dice (c.l) que podría haber sido «un vaso precioso» de haber permanecido dentro del seno de la Iglesia. Incluso su adversario, el obispo Cornelio, en su carta al obispo Fabio de Antioquía (Eusebio, Hist. eccl. 6,43), lo llama un «hombre maravilloso,» «esta persona tan distinguida» (7), «este maestro de doctrina, este campeón de la disciplina de la Iglesia» (8), «este vindicador del Evangelio» (11). Evidentemente, Cornelio dice todo esto en tono sarcástico; con todo, sus palabras hablan mucho en favor de la reputación de que gozaba Novaciano. Es interesante que diga de Novaciano que estaba «enamorado de una filosofía diferente» (16). Efectivamente, Novaciano parece haber sido un estoico cristiano. Sus obras, en más de un lugar, revelan la influencia de esa filosofía. Novaciano fue, además, el primer teólogo romano que publicó libros en latín y es, por lo tanto, uno de los fundadores de la teología romana. Su lenguaje es culto; su estilo, esmerado y muy estudiado, pero siempre claro y sereno.

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L a influencia de Orígenes no se dejó sentir con fuerza sólo en Egipto; sus ideas se extendieron mucho más allá de las fronteras de su país natal. El Asia Menor, Siria y Palestina se convirtieron en el campo de batalla de sus amigos y de sus adversarios. Es interesante observar que hasta sus mismos enemigos le deben más de lo que ellos admiten. Un ejemplo típico lo tenemos en Metodio. Los centros de esta controversia fueron dos escuelas; la primera de ellas, la de Cesárea de Palestina, fundada por el mismo Orígenes, continuó la obra del maestro después de su muerte; la otra, en Antioquía de Siria, se creó en oposición a su interpretación alegórica de la Escritura. La Escuela de Cesárea Cesárea tuvo el privilegio de servir de refugio a Orígenes al ser éste desterrado de Egipto (232). La escuela que él fundó allí se convirtió, después de su muerte, en asilo de su legado literario. Sus obras formaron el fondo de una biblioteca que el presbítero Panfilo transformó en centro de erudición y saber. Como director continuó la tradición del maestro. Allí fue donde se educaron Gregorio el Taumaturgo y Eusebio de Cesárea, y los Capadocios, Basilio el Grande, Gregorio de Nisa y Gregorio Nacianceno, recibieron la influencia e inspiración de la teología alejandrina. La Escuela de Antioquía La escuela de Antioquía fue fundada por Luciano de Samosata (312) en directa oposición a los excesos y fantasías del método alegórico de Orígenes. Esta escuela centraba cuidadosamente la atención en el texto mismo y encaminaba a sus discípulos hacia la interpretación literal y el estudio histórico y gramatical de la Escritura. Los sabios de los dos centros de enseñanza antagónicos tenían conciencia de la profunda diferencia y contradicción fundamental de sus métodos respectivos. En Antioquía, el objetivo de la investigación escriturística era descubrir el sentido más obvio; en Cesárea o en Alejandría, por el contrario, la atención iba dirigida a las figuras de Cristo. Una parte acusaba a la alegoría de destruir el valor de la Biblia como historia del pasado y convertirla en una fábula mitológica; la otra llamaba «carnales» a todos los que se adherían a la letra. A pesar de todo, no existía una contradicción absoluta entre las dos escuelas; antes bien, estaban de acuerdo en toda una tradición exegética ; pero cada uno recalcaba sus propios puntos de vista. Orígenes descubre tipos, no solamente en algunos episodios, sino en todos los detalles de la palabra inspirada. Cada línea está, para él, preñada de misterio. Antioquía, en cambio, estableció como principio fundamental no reconocer, en el Antiguo Testamento, figuras de Cristo más que ocasionalmente. Admitía una prefiguración del Salvador sólo allí donde la semejanza era marcada y la analogía clara. Los tipos forman la excepción, no la regla; la Encarnación, si bien era preparada en todas partes, no estaba prefigurada siempre.

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În cldirea Societii de istorie din Rusia S.E. Narykin i Sanctitatea Sa Patriarhul Chiril au efectuat extincia timbrului potal artistic, dedicat aniversrii a 150 de ani de la fondarea Societii de istorie. La ceremonia extinciei au participat, de asemenea, eful Ageniei federale pentru comunicaii O.G. Duhovnitski i preedintele SIOP S.V. Stepain. Pe timbrul editat într-un tiraj de mai bine de 40 de milioane de exemplare este redat logotipul Societii de istorie din Rusia. Dizainul este elaborat de pictorul Alexandr Povarihin. Sanctitatea Sa Patriarhul Chiril a transmis în dar icoana cuviosului Serghie de Radonej Casei Societii de istorie din Rusia. În perioada 1866 – 1920 În Rusia a activat Societatea de istorie din Rusia. Fondatorii ei au fost istorici remarcabili, oameni de stat, oameni de cultur, diplomai. De la bun început activitatea SIR a fost patronat de Casa Regal. Peste câiva ani de activitate Societatea a cptat denumirea de Imperial. Scopul activitii Societii Imperiale de istorie din Rusia a fost publicarea cercetrilor în domeniul istoriei. Timp de 50 de ani au fost editate 148 de volume. Majoritatea dintre ele nu i-au pierdut actualitatea pân în zilele noastre. Au fost publicate materialele Comisiei Ecaterinei – predecesoarea parlamentului rus, documente ale istoriei Rzboiului pentru aprarea Patriei din anul 1812, corespondena diplomatic extins. Dup revoluia din 1917 Societatea Imperial de istorie din Rusia a fost desfiinat prin decizia Adunrii generale a Academiei de tiine din cauza insuficienei de mijloace pentru continuarea activiti sale. La 20 iunie 2012, 27 de instituii de vaz din Rusia din domeniul învmântului, tiinei i culturii, fundaiile de cercetare i mass media ai reînfiinat Societatea de istorie din Rusia în forma organizaional juridic de asociaie. Printre fondatorii Societii de istorie din Rusia figureaz: Academia de tiine a Rusiei,  MGU „M.V. Lomonosov”, Universitatea de Stat din Sanct-Petersburg, Muzeul de Stat de istorie,  Galeria de Stat „Tretiakov”, Ermitajul de Stat, Muzeul de Stat de arte plastice „A.S. Pukin”, Biblioteca prezidenial „B.N. Eltsyn”, Biblioteca de Stat din Rusia, VGTRK, „Interfax”, Fundaia de art contemporan, Fundaia „Opinia public” .a.

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